Le solaire thermique piétine chez les particuliers et progresse fortement chez les professionnels. Les surfaces en fonctionnement chez les particuliers gagnent 6 % et dans l’usage collectif de 80 %.
Reste à savoir pourquoi.
Le point d’orgue de la campagne de modernisation, ce sont les PAC (pompes à chaleur), aérothermes, surtout.
Le reste des énergies renouvelables est marginale.
Le particulier fonctionne sur un « mode tout/rien » et le rejet du fossile est massif.
Or, pour le solaire thermique, il faut un appoint.
Bien entendu, les PAC ne règlent pas les VRAIS problèmes. La solution la plus adéquate, c’est l’isolation. L’énergie la moins chère, c’est celle que l’on ne consomme pas. Moderniser les installations est incontournable et les « bons résultats » obtenus avec les nouvelles installations auraient été obtenus AUSSI avec des chaudières fioul ou gaz neuves, avec un rendement élevé.
Trop souvent, fonctionnent encore des nanards épouvantables à moins de 50 % de rendement.
Ensuite, pour les problèmes GLOBAUX d’énergie, les PAC aérothermes ne règlent rien, au contraire.
Si elles économisent, LA PLUPART DU TEMPS , les 2/3 de l’énergie (ou plus), en période de pointe (les plus froides), elles basculeront aussi sur leur résistance électrique.
On peut donc imaginer, une consommation électrique de plus en plus hiératique. La consommation pouvant baisser globalement fortement, mais en période de froid, explosant les consommations de pointe.
La démarche du particulier obéi rarement à une vision et une analyse globale.
Vendredi 28 novembre 2008

Laisser un commentaire