… en Chine. Et dans ce cas là, l’attaque vaut mieux que la défense.
La situation économique chinoise est infiniment plus dramatique qu’avouée, et la situation économique américaine, infiniment plus dramatique qu’avouée.
Tout le monde sera en récession, Chine comprise, et pas à 7.5 % de croissance officielle.
Certes, le Dalaï-lama, n’est pas le personnage qu’il parait. C’est un stipendié. Mais ce n’est pas nouveau, cela fait 50 ans que cela dure.
La diatribe de pékin vis à vis de la France, vise à plusieurs choses. Un round diplomatique pour faire oublier la politique intérieure, des « sanctions » vont suivre, opportunes pour annuler des contrats que, de toute façon, on voulait annuler.
Partout, c’est la même histoire, la crise économique entraine le désinvestissement. Tout ce qui a été investi, devra être désinvesti (Keynes) ! Mais, devant l’effet de la crise financière, le désinvestissement tourne à la catastrophe. Les deux millions de véhicules chez les concessionnaires français, ces immeubles vides, ces quartiers entiers saisis aux USA, tout ce qui déclenche, une formidable vague d’économie d’énergie. Les surfaces par habitants avaient doublées depuis 1970. Le Queens se vide.
La chute, déjà observée dans la consommation US de produit pétrolier, chute observée aussi en Europe est liée à ce désinvestissement brutal.
Bientôt, là où il y avait des quartiers et des habitants, il y aura des parcs. C’est particulièrement vrai aux USA, plus insidieux dans nos pays. On préfère laisser pourrir.
Comme le problème général de la société, c’est le blocage des salaires, on assiste au retour de la crise des années 1930. Quand il y aura déblocage, on assistera à la modernisation profonde de l’économie. Y compris avec la donne, « économie d’énergie ».
Ce sera sans doute, d’ailleurs, le moteur de la prochaine révolution industrielle.
Samedi 29 novembre 2008.

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