Les 210 mines d’uranium n’ont pas fait dans la dentelle en France. Elles se sont comportées comme les trois petits cochons, réunis en un seul.
166 millions de tonnes de « stériles » et 50 millions de tonnes de résidus.
On a amplement utilisé ces stériles pour les routes, les chemins, les remblais des maisons ou des bâtiments.
C’était d’autant plus intéressant, que c’était souvent gratuit… Il suffisait de demander.
On ne savait qu’en faire.
« On n’est pas dans le caché, dans le non-su. » Les utilisateurs savaient ils ce qu’ils utilisaient ? Certainement pas.
A la proximité des sites, d’ailleurs, il n’y avait pas le choix. La concurrence n’existait plus. Qui aurait été payer une chose gratuite ?
Désormais, il y a remise en cause : » Je demande juste à Areva, qui m’apparaît responsable clairement, juridiquement et entièrement, de faire son boulot. Je demande d’avoir le rapport d’enquête« .
« Le sujet des résidus des fermetures du passé, qui a été traité de manière négligente, sera traité. «
Faux, il n’a pas été traité de « manière négligente ». Il n’était pas traité DU TOUT, serait la première et véritable marque de vérité.
Commencer par reconnaitre que si on fait appel à « la mémoire locale« , c’est qu’aucune trace ne voulait être gardée…
Mercredi 11 Février 2009

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