Areva risque bientôt de vouloir chanter « j’voudrais ben, mais j’peux point ».
En effet, la société, bénéficie de la relance du nucléaire italien : « Quand le processus législatif et technique pour le retour du nucléaire en Italie sera terminé, Enel et EDF s’engagent à développer, construire et faire entrer en service au moins quatre unités (…) ayant comme référence la technologie EPR. »
Donc, au niveau politique, c’est emballé.
Les imprécisions technologiques sont balayés devant la politique, mais c’est à un autre niveau que le bât
blesse.
Avec les déboires en tous genres, les pépettes manquent. Il lui faut 4 milliards (je vous rassure : dans un premier temps seulement, après ce sera plus…).
On comprend bien, ce genre « d’institution » est incapable d’arriver à dégager des moyens financiers suffisants, sans état derrière.
Au fait, pourquoi c’est le WSJ (wall street journal) qui l’annonce ?
A cela, s’ajoute d’autres genres de problèmes : la décrue de la production d’uranium, par exemple.
Mardi 24 Février 2009

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