L’aide à Opel

Images L’idéologie n’abdique pas, pour l’instant, devant les faits. Mais les faits sont têtus.
Ce qui pose problème avec Opel, et d’ailleurs avec la crise économique en général, c’est que les responsables économiques et politiques ne cèdent qu’à chaud, quand la situation économique est devenue intenable et couteuse.
Le gouvernement allemand veut bien aider Opel, maintenant, reste à savoir l’importance de l’aide (3.3 ou 5 milliards), les modalités, prêts ou prises de participation, tout en niant que la valeur actuelle d’Opel, c’est zéro.

Fournir des aides, mais à condition que ce ne soit pas siphonner par GM. Louable, mais impossible. Dans un groupe, les comptabilités et facturations sont élastiques.
Tous ceux qui ont un semblant d’expérience professionnel en la matière le savent. Sauf les parfaits cancres que sont les hommes politiques.
«  »L’Etat devrait rester en dehors de cela », a déclaré Martin Winterkorn, président du directoire de VW au magazine Der Spiegel.  « 
Oui, c’est bien connu, les grandes catastrophes totales relèvent du privé. Il n’y a que les firmes privées qui arrivent à faire aussi bien.

Yes, we can disent les salariés, mais sans GM

Dimanche 1°mars 2009

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