hydroliennes à paimpol.

Images_2_2 Le premier champ d’hydroliennes va être installé au large de l’ile de Bréhat. Il sera opérationnel en 2012.
4 turbines, permis de construire, enquête d’utilité. La première sera en service en 2011 et les trois autres un an plus tard.
On peut donc voir que nous vivons dans un monde malade. Il est en effet, complètement malade et ivre de ses procédures.
En effet, la technologie utilisée n’a rien de bien révolutionnaires et les risques sont minimes (peut être va t’on traumatiser des moules ? Qui se refermeront dans leur coquille ?).

Le problème principal vient du non-échelonnement des risques.
En effet, on voit mal ce que cette technologie pourrait amener comme « risques », à part des risques financiers (24 millions d’euros engagés) ou celui de tomber à l’eau.
Comme on est dans un champ d’hydrolienne, la chute ne sera pas très forte.

Il serait plus judicieux d’être pointilleux sur la sécurité nucléaire, la sécurité des barrages et le traitement des déchets nucléaires.
Apparemment, on préfère l’enculage des mouches, dans bien des domaines.

Lundi 2 Mars 2009.

Commentaires

4 réponses à “hydroliennes à paimpol.”

  1. Avatar de rem
    rem

    L’administration a peut-être peur que le bruit des hydroliennes traumatisent les dorades et les mérous.

  2. Avatar de Aquilon
    Aquilon

    Surtout, que l’on ne fait que re-découvrir des principes déjà développés à plus grandes échelle il y a longtemps déjà (Cf. l’usine de la Rance…).
    C’est drôle quand même, que tout paraisse plus compliqué maintenant, qu’il y a 40 ans (Faire tourner des hélices dans l’eau, aller sur la Lune…).

  3. Avatar de Aquilon
    Aquilon

    Surtout, que l’on ne fait que re-découvrir des principes déjà développés à plus grandes échelle il y a longtemps déjà (Cf. l’usine de la Rance…).
    C’est drôle quand même, que tout paraisse plus compliqué maintenant, qu’il y a 40 ans (Faire tourner des hélices dans l’eau, aller sur la Lune…).

  4. Avatar de JP
    JP

    Aquilon, vous n’avez aucune compétence particulière (disons, pas plus que le vulgum pecus) ni en mécanique des fluides, ni dans la technologie des alternateurs. Est-ce que je me trompe?
    Apprenez donc qu’il ne s’agit pas de « juste redécouvrir un principe » (en passant, il y a eu des moulins à marée dans la région bien avant l’usine de la Rance), mais d’essayer encore, avec les savoirs et techniques d’aujourd’hui de résoudre un problème très complexe: la vitesse des courants de marée est a-priori incompatible avec les conditions d’un rendement correct d’un alternateur.
    Ce qui n’empèche effectivement, pour abonder dans le sens de Patrick que les délais réclamés par la bureaucratie sont bien moins justifiés que ceux imposés par les ingénieurs.

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