La Grande-Bretagne à fond dans les gaz de schistes

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Qui a déclaré: » Je veux que la Grande-Bretagne (la France) soit le leader de la révolution des gaz de schistes. Avec un potentiel de création de milliers d’emplois et de réduction de la facture énergétique de millions de personnes »?

François de Tulle ou le chancelier britannique George Osborne qui vient de réduire par deux les taxes sur l’exploitation des gaz de schistes?

Ne téléphonez-pas! Bien que la question soit stupide: George n’a jamais intégré l’ENA. Il a de toute évidence du mal à comprendre les règles « justes » d’une saine économie.

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Commentaires

9 réponses à “La Grande-Bretagne à fond dans les gaz de schistes”

juillet 20, 2013
Tonton
Ah. C’est le même Osborne qui est en train de mettre en place un subprimes à l’anglaise. Un homme crédible.
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juillet 21, 2013
Ray
Pourquoi un ministre des finances britanniques ne serait-il pas crédible?
Poser une telle question me semble anachronique.
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1. janvier 24, 2014
  Menoura
  / Bonjour,Effectivement le Business Plan permet de de9terminer la fabisialite9 d’un projet en examinant diffe9rentes hypothe8ses. On va pouvoir donc voir concre8tement si le projet est re9aliste (sur la base de donne9e chiffre9).Si le business plan est bien re9alise9, il pourra eatre un bon support aux yeux des investisseurs (banque, investisseur prive9e ect.).En tout cas comme vous le soulignez, il doit eatre complet et re9pondre aux nombreuses questions que pourraient se poser des investisseurs. Donc il est ne9cessaire de passer du temps dessus.Pierre
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juillet 21, 2013
Tonton
Vous n’avez sans doute pas suivi ce qui se passe sur l’immobilier britannique et les propositions de Mr. Osborne.
Je n’ai pas de doutes sur leur volonté d’attaquer les gaz de schistes. Même les Allemands vont finir par s’y mettre avant nous…
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juillet 27, 2013
el gringo
Il faut dire que les négociations avec EDF pour construire 2 EPR sur le site Hinkley Point C ne se passe pas bien et que les coûts (+40%) et les délais (+4 ans)ont déjà dérapé dangereusement menaçant la Grande-Bretagne de black-out électrique à la fin de la décennie.
Devant les difficultés pour EDF pour trouver 14 milliards de livres sur les marchés (depuis Fukushima les investisseurs évitent le nucléaire), Londres a dû consentir à prêter 10 milliards de livres fin juin.
EDF demande un prix garanti sur 20 ans de 100 Livres le MWh (soit 120 euros le MWh) alors que Londres ne veut pas dépasser 80 Livres (le prix de gros actuel est de 50 Livres le MWh).
La date de mise en service est passée de 2018 à 2022 et représente de sérieux risque de black-out électrique pour la Grande-Bretagne.
La menace pour EDF est à peine voilée, une baisse du prix du gaz dans les prochaines années, ce qui est probable surtout avec le gaz de schiste, pourrait réduire fortement les ambitions britanniques dans le nucléaire.
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août 11, 2013
Ray
Cameron: ‘UK fracking will be safe’
http://www.upstreamonline.com/live/article1334201.ece
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août 12, 2013
Tonton
Lennart Bengtsson: Global climate change and its relevance for a global energy policy
http://klimazwiebel.blogspot.fr/2013/03/lennart-bengtsson-global-climate-change.html
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octobre 21, 2013
Raymond Bonnaterre
Ceci n’empêche pas la Grande Bretagne de relancer ses investissements dans le nucléaire. De toute évidence les éoliennes offshore ne suffiront pas pour assurer une fourniture fiable.
Dans tout réseau, Il faut une ressource électrique de base qui ne peut pas être intermittente.
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décembre 17, 2013
Tonton
L’optimisme règne chez les Grands Bretons.
http://www.energylivenews.com/2013/12/17/first-wave-of-shale-gas-could-supply-uk-for-more-than-two-years/#.UrCVz-sjqt4.twitter
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