la propagande uranifère et nucléaire continue de plus belle.
l’uranium, c’est bon, c’est beau, c’est propre, il y en a à foison. Voilà le message.
le seul problème c’est qu’on ne produit que la moitié de ce qui est nécessaire (55 %), le reste étant un recyclage de stocks militaires.
Les gisements d’accès facile, riches sont exploités ou en cours d’exploitation, le reste… reste à découvrir.
Et plus encore, le reste, nécessite de l’investissement, beaucoup d’investissements, dont on n’a pas vu le commencement du premier Kopeck.
La hausse jusqu’à 130 $ de la livre d’uranium à entrainé le développement d’une « dot.com » économie, avec des start-up à foison, et les seules bonnes affaires, ce sont les petits génies qui ont vendus leur entreprise, aussi fraichement crée que déficitaires, à des grosses, souvent à des prix aussi indécents que surévalués.
On peut d’ailleurs se poser des questions sur la santé mentale des dirigeants de ces entreprises capables de payer des wagons d’argent sur des « concepts », là aussi, aussi biscornus que farfelus, et dont aucun n’a rien donné.
On peut se poser aussi des questions sur cette propagande qui arrive à un moment où des parcs nucléaires s’avèrent à bout de souffle, où l’économie se recompose à une allure si phénoménale qu’on peut réellement se demander si TOUTES les options ont été étudiées, et notamment, celle d’un effondrement de la consommation (notamment énergétique).
Dimanche 11 janvier 2009
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