Le solaire sera bon pour tout.
Pour la lumière, le chauffage et l’eau chaude sanitaire.
« Les mesures prises l’an dernier devraient permettre d’équiper 1,6 million de logements d’ici à 2012 pour atteindre les 8 millions en 2020, estime Richard Loyen, délégué général de l’Association professionnelle de l’énergie solaire, Enerplan « .
Cette production énergétique regroupe solaire thermique et solaire photovoltaïque. L’un est au point et compétitif, même s’il reste cher, l’autre est un espoir.
Bien entendu, c’est une production largement décentralisée et ne correspondant pas au schéma antérieur. Une fois l’investissement réalisé, les frais de chauffage ne sont constitués que par la part résiduelle que le solaire thermique ne peut couvrir, quoiqu’on puisse faire monter cette proportion de manière importante en augmentant la surface couverte.
Intégrée au toit, ou fixée sur celui-ci, c’est souvent la disposition la plus judicieuse, mais d’autres solutions sont possibles : en auvent, terrasse et vérandas, toujours plein sud.
La production insuffisante n’est que le lot de deux mois dans l’année et peut aisément être complétée.
Le solaire photovoltaïque est, pour le moment, un placement financier, du à la générosité du législateur.
Bien entendu, le travail de base reste le même, c’est l’isolation qui réduit encore davantage les besoins.
Elle est souvent, d’ailleurs bien meilleur marché que toutes les innovations.
Les professionnels sont correctement rémunérés, il n’y a que des abus marginaux. Et en plus, la main d’oeuvre est expérimentée, sauf exception.
Bien entendu, une bonne isolation implique une VMC (la meilleure est la double flux), mais là aussi, il n’y a aucun problème pour trouver des professionnels compétents.
Samedi 6 décembre 2008

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