Les nouvelles qui se veulent « bonnes » sont tout simplement ridicules et sans rapport avec la situation.
On crédite l’arctique de 90 milliards de barils de pétrole de réserves, sans préciser qu’au rythme mondial de 86 millions de barils jours, c’est 1046 jours, soit, pas tout à fait trois ans de consommation.
Là aussi, des cacahouètes.
Elles font partie des réserves « non-découvertes, mais exploitables », sans doute labellisées par Astradamus.
On ne peut qu’être frappé par ce degré d’humour, aussi loufoque qu’ involontaire, aggravé par l’affirmation, totalement gratuite que « les réserves prouvées n’ont jamais été aussi hautes ».
Là, les affirmations gratuites rejoignent les désinformations gouvernementales
Bien entendu, dans le monde merveilleux officiel, on se gargarise des « découvertes » effectives, sans jamais préciser que l’on ne fait souvent que les changer de catégories.
Rien de moins, là aussi qu’une simple affaire de propagande, d’abord pétrolière, ensuite militaire.
Il sera, en effet, nécessaire d’avoir de gros budgets, pour contrer « l’ennemi », qui pourrait s’emparer de cette source (non prouvée), mais des fois que…
En tout état de cause, cela ne changera absolument rien à l’avenir.
On tient DEJA compte des découvertes à venir, découvertes qui ont de plus en plus de mal à se vérifier et qu’en conséquence on remplace par des « non-découvertes », mais exploitables.
Il n’y a pas à dire, c’est très fort, le-pas-découvert-mais-qu’est-exploitable…
Jeudi 24 juillet 2008

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