Donc la vérité s’est levé sur l’état réel de la sécurité nucléaire en France. C’est une passoire.
En fait de « culture de la sécurité », on a eu droit à l’amateurisme et au je-m’en-foutisme le plus élémentaire et le plus complet.
D’abord avec des terrils d’uranium abandonné, ensuite par des contaminations cachées pendant 30 ans, et la plus élémentaire des pannes industrielles, c’est à dire la rupture de canalisation qui arrive…Il y a plusieurs années de cela…
Bien entendu, ce genre d’incident doit être légion, et non isolé.
Car, s’il y a eu » sous-investissement dans la sécurité, la protection de la santé humaine et de l’environnement « , c’est généralisée, car c’est un coût brut.
Et l’économie actuelle veut réduire les coûts. Donc, banalement, on a laissé filé la radio-activité dans la nature et par de multiples fuites, dont la réparation et encore moins la recherche, était le cadet des soucis des « responsables ».
Le Rhône, entre autre, est devenue une poubelle, poubelle dont on se sert amplement en agriculture.
Quand aux « normes » AIEA et OMS, elles n’engagent que ceux qui y croient (ou font semblant d’y croire), les conseilleurs n’étant pas les payeurs…
Image : le nouveau logo de la sureté nucléaire.
Vendredi 18 août 2008

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