Avec le paquet acheté, il faut un cadeau. Le paquet acheté par la Chine, ce sont les centrales EPR, le cadeau, ce sera le centre de retraitement.
Enfin, un cadeau qui leur couterait 15 milliards d’euros, mais cadeau quand même, car il y aurait transfert de technologie.
Les centrales vendues couteraient 8 milliards, le centre de retraitement est deux fois plus cher, mais permet d’accéder à la maitrise technologique.
On le voit, notre bon roi, Nicolas 1° est en train de disséminer l’atome au 4 coins de la planète (sauf à l’Iran).
La Chine désire un engagement « irréversible » pour exécuter le contrat EPR.
Comme on le voit, ce contrat n’est pas finalisé, la vente des réacteurs dans le golfe est virtuelle, la construction du prototype finlandais est digne d’un scénario noir du bâtiment : retard à tous les étages, quand à celui de Flamanville, sa construction se voit contestée en justice.
Bien entendu, même s’il était livré à l’heure, il arriverait au moment des problèmes d’approvisionnement en uranium et empêcherait l.a réalisation de l’objectif des 23 % d’énergies renouvelables dans le panier énergétique français.
De plus, il existe une contestation forte de l’EPR, plus forte que celle des anciens réacteurs.
En effet, cette technique est loin d’être nouvelle, elle date des années 1950, et serait aussi dangereuse.
Mais le problème le plus récurrent est celui de l’approvisionnement en uranium, la production ne progressant guère, exception faite du Kazakhstan.

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