Christine Lagaffe et les pétroliers…

Images Pauvre fille, elle n’a rien compris au film.
Il faut dire, il faut être gonflé. Confier le troupeau de brebis à garder aux loups, c’est miser un peu gros sur la nature humaine, ou méconnaitre totalement qu’il y a des gens qui ne paient pas l’impôt sur les fortunes, ou même sur le revenu.
« Les distributeurs ont maintenus leur engagement de modérer les prix en « lissant » les hausses à la pompe ».
En réalité, le néant est la politique de l’énergie la plus répandue.
La chose qui va se passer est l’adaptation au déclin pétrolier. Il peut être sauvage ou ordonné, tout en étant doublé d’une tendance des pays exportateurs à exporter le moins possible.

Agir sur les pétroliers, il n’y a qu’une manière de le faire : les taxer.
Car, si les banquiers dans la crise actuelle provisionnent à minima, les pétroliers, provisionnent au maximum.
Les bénéfices actuels, malgré cela restent coquets, sans aucun rapport avec leur activité.
Reste que la politique d’effacement du pic pétrolier est à son niveau zéro, exactement au même niveau que les pensées de Christine Lagaffe.

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