Une mesure risque de précipiter l’agonie du marché immobilier classique, c’est l’obligation de travaux.
En cas de revente, le Grenelle de l’environnement a sérieusement envisagé cette obligation, et il n’est pas interdit d’envisager cette obligation, même sans revente.
250 kwh de moyenne de consommation par M2 construit à l’heure actuel, c’est considérable, et en cas de pénurie, on imagine le problème des propriétaires des immeubles les plus gourmands (qui ne doivent pas être éloigné des 400 kwh/ m2), soit une consommation des années 1950, avec une technologie des années 1950.
Ne vous étonnez pas, c’est beaucoup plus fréquent que l’on ne pense.
Evidemment, c’est la vision des propriétaires qui a vieillie. Ils en sont bien souvent resté à leur vieille technologie, sans bien comprendre ce que cela leur coûte , la dépense est annuelle et progressive, au lieu d’une grosse dépense d’investissement.
Et rien, dans l’organisation économique actuelle ne limite une « consommation » (qui comme l’on sait est le dynamisme de « l’oeconomie »). Ce qui est nouveau dans l’air du temps est la fin de la déréglementation.
On assiste à un retour fracassant de l‘économie dirigée…

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