Daimlerchrysler : Gaston lagaffe…

ChryslerIl est clair qu’avec Chrysler, la firme allemande s’est purgé de son excès d’embonpoint.
Et a fait une bonne affaire. Diable, pensez, acheter ce machin, 36 milliards, le vendre rien du tout ou presque et être obligé de souscrire à l’emprunt de cerberus pour s’en débarrasser, on voit bien la bonne affaire.
Les pertes accumulées dans cette histoire mériterait que l’on pende haut et court les dirigeants qui l’avaient concocté. La sanction sera sans doute plus faible : une augmentation de salaire de seulement 40 %, sans doute.

80.1 % de Chrysler a été cédé donc à Cerberus, 19.9 restant à Daimler.
Reste que le conseil d’administration sera réduit à 6 membres (ils s’augmenteront sans doute pour ce surcroit de travail) et sera dirigé par Robert Nardelli, réputé pour des compétences et des résultats plus que modestes et pour une rapacité inverse.
En un mot le feuilleton « Chrysler se casse la gueule » ou « plume, plume le pigeon » attend son prochain épisode, on comprend bien qu’ effectivement seul le capitalisme fonctionne.
Dans aucun autre système on ne trouverait autant de naïfs, de gogos, d’incompétents et de ploucs autossatisfaits .
Moi, je vais me faire l’avocat du diable : et si le problème de Chrysler était de fabriquer des automobiles qui ne correspondent pas aux besoins des consommateurs : au niveau consommation et prix ?

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