Connaitre et utiliser les ressources végétales, locales. Car l’augmentation du cout du transport va mettre fin à la grande transhumance du pondéreux et de l’alimentaire que l’on connait actuellement.
J’avais consacré un article au fait qu’il fallait cultiver son jardin. Un internaute avait demandé alors, que fallait il faire ? question, non pas candide, mais compliquée et ardue. Car ce qui est vrai localement est faux dans le département voisin, faux à 10 ou 15 km.
Aussi, une exposition comme « Ressources végétales de la Lozère, les connaître et les utiliser«
est très didactique, et très intéressante.
On apprend entre autre :
« Au travers de cette exposition se rencontrent de nombreuses connaissances sur ces plantes avec la description botanique, les propriétés chimiques et leurs vertus, leurs utilisations, les us et coutumes, leurs transformation ainsi que les produits finis commercialisés ».
Choses que l’on connaissait en 1970, qu’on a oublié aujourd’hui…
Evidemment, pour un jardin classique, on peut utiliser n’importe quel guide du jardinage.
Mais il y manque avant tout le coup de man, le savoir faire local qui fait que nous sommes ici.
Car nos ancêtres n’auraient pas survécu sans lui.

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