Auteur/autrice : valerie jungen

  • Blogueur jardin

    Bonjour,

    je n’ai malheureusement plus assez de temps pour faire vivre ce blog comme il le mérite. Je passerais néamoins le plus souvent possible pour participer aux discussions et répondre à certains commentaires. Je souhaite longue vie au blog jardin et j’espère être vite remplacée !

  • Basilic

    Basilic

    Basilic Il faut cueillir les feuilles avant l’ouverture des fleurs (normalement en août), notamment lorsqu’on veut s’en servir tout de suite. Mais pour ne rien perdre de cette odeur de l’été, j’enléve les fleurs dès leur apparition et je coupe totalement le plant avant les gelées, et je congèle de petits paquets de feuilles. On peut aussi en conserver dans de l’huile d’olive, mais je ne sais pas combien de temps on peut conserver le mélange, pour ma part je l’utilise tout de suite.

    http://www.leblogjardin.com/2005/03/le_basilic_ou_p.html

  • Laurier

    Laurier Les feuilles peuvent s’utiliser fraîches, au fur et à mesure des besoin, mais je trouve qu’elles dégagent plus de parfums lorsqu’elle sont sèches. Je coupe une branche que je laisse sécher dans la cuisine et à portée de main pour faire de délicieux plats en sauces.

    http://www.leblogjardin.com/2005/04/le_lauriersauce.html

  • Le persil

    Persil_1

    Couper les feuilles selon les besoins, pas plus de deux à trois par pied. Il se conserve très bien en congelé. De plus la congélation permet d’émietter finement les feuilles : il suffit de froisser le paquet de feuilles encore congelées car elles sont si cassantes à ce moment là que vous obtiendrez un persil émincé finement sans peine. Le séchage est possible, mais compliqué, car après avoir ébouillanté les feuilles, il faut les attacher en bouquet et les faire sécher au four.

    Lire également: semez le persil

  • Le thym et le romarin

    Romarin_1Romarin et thym, toujours verts, se récoltent suivant les besoins, et vous prélèverez des pousses fraîches jusque tard dans la saison. Le séchage est cependant possible, notamment si vous désirez avoir des herbes à portée de main dans votre cuisine, ou si vous n’avez pas de plants personnels dans votre jardin. Pour ce faire, il vous suffit de couper des pousses de l’année, et de les lier, puis de les pendre la tête en bas en les protégeant des insectes.

    Vous pouvez aussi les déposer dans un linge que vous replierez, mais vous devrez les retourner souvent pour que le séchage soit uniforme.  Une autre méthode, plus moderne, mais non moins efficace, car elle garde tout son arôme aux feuilles, est la congélation. Vous emplirez, de quelques branches, de petits paquets bien étiquetés que vous sortirez au fur et à mesure de vos besoins.  articles déjà parus

    http://www.leblogjardin.com/plantes_aromatiques/index.html

    http://www.leblogjardin.com/2005/03/le_thym.html

  • Conserver les plantes aromatiques pour l’hiver

    Pour garder à votre cuisine et à vos tisanes toute les saveurs des plantes ramassées, il est préférable de les consommer immédiatement après la cueillette. Cependant, le séchage ou la congélation peuvent être de bonnes solutions pour les mois d’hiver, ou pour ceux qui veulent toujours avoir ces aromates a portée de main dans la cuisine. Dans la plupart des cas, il est préférable de cueillir les jeunes pousses, le matin de bonne heure. Il faudra évidemment bien les secouer voire les rincer à l’eau claire avant de les congeler ou de les faire sécher.

    Le séchage idéal se fera dans une pièce bien aérée possédant une température avoisinant les 20 °C, les plantes seront attachées en bouquets ou délicatement posées sur des claies, protégées de préférence par des linges légers. Le séchage au four est également possible mais plus délicat à réaliser car il ne faut pas cuire la plante. La congélation reste aujourd’hui le moyen que je préfère et qui garde bien les arômes.

  • La dionée : une Jolie carnassière

    La dionée : une Jolie carnassière

    Dionee Cette « belle » plante est une carnivore, appelée Venus ou dionée attrape-mouche. La Dionaea muscipula qui appartient à la famille des Droséracées est la plus connue et la plus vendue en jardinerie. Petite, puisqu’elle ne mesure qu’une dizaine de centimètres, elle nous captive par des feuilles disposées en rosette et composées d’un limbe bilobé, muni de « dents » et qui peut se replier et se fermer brusquement pour piéger les insectes. Beaucoup sont tentés de faire se fermer ces piéges mécaniquement,

    mais cela est souvent préjudiciable à la plante.  Cette belle dame demande quelques soins : beaucoup de lumière ! Un terreau retenant bien l’eau ou un pot déposé sur une coupelle remplie d’eau ou sur de la sphaigne, il faut l’arroser abondamment en été, de préférence avec de l’eau de pluie et la maintenir légèrement humide en hiver. Elle ne craint pas la chaleur ni le soleil, au contraire, si elle reçoit assez de lumières ces pièges seront bien rouges. Il faut la protéger du gel voire même lui fournir une température d’hivernage de 8°C  pendant sa période de repos (octobre à mars) pour que dés mars elle reprenne sa croissance et fleurisse peut-être fin avril…

  • Beaucarnéa : beau comme un éléphant ?

    Beaucarnéa : beau comme un éléphant ?

    Beaucarnea_1 Le Beaucarnea recurvata ou pied d’éléphant se cultive en intérieur sans grande difficulté. De la famille des Agaves, il est originaire du Mexique, ses longues feuilles rubanées et son pied renflé lui donne tout son charme. Il s’utilise toujours en isolé car ses besoins en eau sont très faibles. Et, il ne faut pas hésiter à bien laisser ressuyer le terreau entre deux arrosages sous peine de le voir pourrir (ou à le protéger de la pluie s’il est conduit en extérieur). Il demande beaucoup de lumière et aime la chaleur (conserver entre 8 et 18 °c en hiver), de ce fait on peut même le planter en pleine terre dans le Midi. Mais le beaucarnéa n’aime pas le changement, il faut donc le rempoter le moins souvent possible d’autant plus qu’il préfère être à l’étroit dans son pot. Si vous devez le rempoter, offrez-lui un pot à peine plus grand que le précédent et un substrat bien drainé.

    En ce qui concerne les soins, il suffit d’enlever les feuilles desséchées de la base et éventuellement couper les pointes jaunies. Son seul défaut est de ne pas pousser beaucoup dans nos maisons (environ 2 à 2,5 cm par an dans les meilleures conditions), il n’atteindra jamais sa grandeur naturelle (6 à 9 m), mais dépassera à grand-peine 1 m.

  • Allergies d’août : l’ambroisie

    Allergies d’août : l’ambroisie

    Ambroisie_1 De son petit nom latin : Ambrosia artemisiifolia, l’ambroisie à feuille d’armoise est une vraie plaie et constitue un réel danger pour les allergiques. Présente partout en France, elle prolifére surtout en région Rhône-Alpes, où elle a été accidentellement introduite avec des semences. Elle est originaire d’Amérique du Nord, et nos cousins Canadiens luttent depuis longtemps contre cette dernière. C’est en août qu’elle fleurit et que son pollen provoque de graves allergies. Elle s’instale partout, dans les terrains vagues comme au jardin.

    Ambroisie2_1Il faut absolument la détruire, mais comme elle résiste à de nombreux herbicides, et que ses graines peuvent se conserver dix ans sans mourir… La meilleure méthode est de l’arracher le plus tôt possible, pour éviter qu’elle produise pollen puis graine. Par contre si vous êtes à tendance allergique, protégez-vous pour effectuer ce nettoyage, ou mieux demandez à un non-allergique de le faire. Je vous invite par ailleurs à consulter ce site très complet sur le sujet :

    http://www.ambroisie.info/

  • Brosser la mousse des troncs

    Brosser la mousse des troncs

    Mousse1Les temps d’été sont parfaits pour soigner les troncs de nos arbres et arbustes recouverts de mousse et de lichens. Un peu secs ils se retirent facilement, et les troncs vont avoir le temps de sécher avant l’hiver. Pourquoi retirer cette mousse et ce lichen ? Non pas parce qu’ils sont néfastes à la plante, mais plutôt parce qu’ils peuvent servir d’abris à des insectes et des champignons qui eux se feront bien plaisir à loger dans ces infractuosités et à se nourrir de vos arbres. Comment procéder ? Tout simplement en vous munissant de brosses à poils de fer. Deux brosses suffisent : une brosse métallique dites forme violon et une brosse à bougies (de voiture) dont les poils sont plus souples.

    Brosse

    Il est inutile de forcer, au contraire il faut être doux dans le brossage pour n’enlever que la mousse et le lichen et éviter de blesser l’écorce.La grande brosse sert aux plus grandes surfaces, tandis que la plus petite, s’utilise aux endroits peu accessibles tels les embranchements des ramures, mais aussi pour fignoler le Mousse2travail. Si lors de ce nettoyage vous constatez la présence de plaies ou de bois mort, il faudra couper, curer et poser un cicatrisant pour limiter l’apparition de problèmes plus importants.