Steve McQueen devait 3 choses à la Marine, marchande d’abord, puis militaire, soit une exposition à la violence, à l’alcool et à l’amiante. Ce sera cette dernière qui l’emportera en 1980, victime d’une forme de cancer peu connu, mais implacable, le mésothéliome ou cancer de l’amiante. Foudroyante, cette maladie l’emporta en six mois, six mois qu’il passa à lutter, cherchant espoir auprès de charlatans avec leurs cures de vitamines et de lavement au café.
Il fut de cette génération du «live fast, die young», qu’il, à son corps défendant, embrassa avec fougue du côté clair comme sombre.
Je pointe vers cet entretien avec sa veuve, Barbara McQueen, où elle raconte justement les derniers instants de leur vie de couple. Aussi, de nos confrères du Blog Auto (que vous ne lisez pas parce qu’ils ont deux roues de trop), une courte bio et ce récent article sur la nouvelle Mustang Bullitt. Je termine avec cette liste d’ouvrages sur Steve McQueen, une idée de cadeau pour Noël qui approche s’y trouve peut-être.
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