Les sportives n’ont pas besoin d’un regard de vamp pour en imposer, mais la tendance est à l’œil inquisiteur, le sourcil en bataille.
Fini le bon vieux temps où un phare ne servait qu’à éclairer la route, maintenant, il sert à être vu et à se faire voir, mais surtout, à faire de l’œil aux badauds.
Le jeu de la séduction commence dans les pages glacées des magazines ou sur les pixels rétro éclairés des blogs pour se poursuivre dans les salons et se terminer chez le concessionnaire, où la différence entre la vente d’un modèle ou d’un autre peut se jouer sur une œillade pas toujours innocente.
Ces efforts marketing à l’affût des tendances ciblent nos désirs avant même que nous les ayons, nous laissant dépourvu de toute raison devant une machine pas si innocente que ça.
Toute la beauté du génie humain est là, une moto n’étant pas qu’un moteur sur deux roues, mais bel et bien une entité à part entière génératrice d’émotion, et ce, dès le premier regard. C’est ça l’amour, foutue chimie.
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