Daytona en Floride, au début du mois de mars de chaque année, devient durant une semaine un des endroits les plus débridés du monde motocycliste. Des dizaines de milliers de motards de toutes allégeances, de tailles et de formes envahissent la ville et les environs pour une unique fête de la moto. Le prétexte est le Daytona 200, première course de la saison du AMA Superbike, mais le vrai spectacle est dans la rue.
Un évènement à ne pas manquer cette année, pour qui y sera, est le déjeuner-causerie du «Motorcycle Hall of Fame Museum». Réunissant Arlen Ness et Russell Mitchell, deux figures et deux générations de constructeurs de motos d’exceptions, qui partageront avec l’assemblée, anecdotes et faits d’armes.
On ne peut faire plus différents qu’Arlen Ness et Russell Mitchel. Le premier est un enfant de l’Amérique des années 50, de son opulence et d’un optimisme à tout crin, alors que le second est un exilé britannique nourri au punk des années 70. Le résultat, il est ci-dessous, avec le trop-plein de l’un, et l’ascétisme de l’autre.
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