Je vous en parlais dans ces deux articles (article 1, article 2), rivale aux dents longues des FZ6, Hornet et Z 750, la Suzuki GSR, et non GSR 600 puisqu’il n’y aura pas d’autres versions, se présente comme une bien jolie moto pour les jeunes conducteurs avides de sensations. Avec son 4 cylindres en ligne, 4 temps, refroidi par eau, double ACT, 16 soupapes, à injection électronique, 600 cm3 de 98 ch venant d’une GSX-R 600 de 2001, la GSR devrait se révéler joueuse et pleine de couple puisque tel est son positionnement. La partie-cycle ne devrait pas souffrir de critique puisqu’on note un cadre périmétrique en aluminium coulé sous pression, une fourche télescopique de 43 mm, un monoamortisseur réglable en précharge et en compression, un frein avant 2 disques de 310 mm avec étriers à 4 pistons, un frein arrière à disque de 240 mm avec étrier à 1 piston.
La GSR est aussi dans la moyenne avec 16.5 l de réservoir, une hauteur de selle de 785 mm et un poids de 183 kg. La GSR est stylée avec ses échappements sous la selle, ses feux à diode, sa tête de fourche musclée, son bras oscillant massif et son instrumentation digitale/numérique très claire. J’ai trouvé sa position de conduite excellente et sa qualité de fabrication de bonne facture. Elle devrait faire des ravages en décembre avec son prix d’attaque de 7 190 €. Ne reste plus qu’à choisir la couleur : rouge, bleu, gris ou noir… et de laisser la plante verte blonde à la maison !
(NB : les blondes n’arrivent pas à la cheville des brunes : article 1, article 2.)
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