Auteur/autrice : benoit rieu

  • Si ceci est le futur, je souhaite toujours rouler au passé composé.

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    On ne pourra pas dire que j’ai choisi la photo la plus laide, je trouve même que c’est là son meilleur profil, le trois-quart arrière. A priori je n’ai rien contre l’électrique optimisé, je regrette seulement que l’on nous présente cela comme le nec-plus-ultra, alors qu’il y a beaucoup à redire. C’est le cas pour le concept de Mission Motors, une start-up de San Francisco qui a développé ce qu’on nous présente comme une superbike électrique. La Mission One est capable, nous assure-t’on, d’atteindre les 150 mph (soit un peu plus de 230 km/h). Pas terrible pour une vraie sportive, mais excellent pour de l’électrique. M’enfin, déjà que j’ai des doutes avec les affichages de compteurs des motos classiques, certains changeant le pignon de sortie de boîte, je ne vois pas pourquoi je me contenterai d’opiner du chef devant cette pointe "déclarée". Mais passons. Ce ne sont pas ces détails qui me font tiquer. Non, car après tout, la fine équipe a tenu à bien faire les choses: fourche Öhlins, mâchoires Brembo, et de la Marchesini pour les jantes. Mais je n’accroche pas au Design de Yves Behar qui donne un air "plastoch" à cette bécane. Sans parler de la tête de fourche ou des simples poutres métalliques qui font office de bras oscillant: ça fait un peu désordre pour une superbike. Je suis surtout effaré par les temps de charge de la batterie lithium-ion (deux heures en 240V et huit en 120). Pour finir, le prix me fait bondir: 70.000 dollars. Personne ne retient les leçons des succès plus que mitigés (euphémisme) de Tesla et Vectrix ?

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  • Ce sont deux films qui essaieront de faire revivre le mythe.

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    J’ai décidé de reprendre en en-tête une image qui avait illustré un de mes anciens sujets sur le King Of Cool. Au cas où un esprit aigri ne débarque dans les commentaires de cet article et balance son fiel en faisant mine d’ignorer le rapport entre le grand Steve et les motos. Certaines insultes récentes (formulées par un des vôtres bien planqué derrière un écran) m’ont rendu prévoyant. Bref. Comme vous l’avait affirmé Jacques dans un précédent article, un film sera tiré de Portrait of an american rebel, une annonce qui avait inspiré à notre Québécois un casting sympathique. Ce projet de la Paramount des producteurs Michael Cerenzie et Christine Peters balaiera l’ensemble de la carrière du comédien de ses débuts dans Marqué par la haine de Robert Wise en 1956, à sa mort, des suites d’une ablation d’une tumeur, en 1980 au Mexique. Selon le site Comme au cinema, ce biopic sans titre officiel, a obtenu l’aval de Barbara Minty, sa dernière compagne. Mais ce film sera concurrencé par "McQueen", long métrage inspiré de My Husband, My Friend de Neil McQueen Toffel. Les scénaristes Roderick et Bruce Taylor (déjà co-auteurs du script de "A vif" avec Jodie Foster) s’attèleront à l’écriture du scénario, pour une initiative qui a déjà reçu le soutien, plus large, des héritiers de Steve. Un film qui selon le site, sera centré sur la relation entre Steve et sa première épouse. Un peu mince pour tenter de comprendre un homme qui déclarait ne pas savoir "s’il était un acteur qui pilotait, ou un pilote qui jouait." 

  • Cristobal Guerrero transféré en avion médicalisé vers l’Espagne.

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    Etrange de voir à quel point le Dakar semble loin pour les media français: impossible de trouver – à ma connaissance (et j’ai cherché !) – des dépêches ou articles précisant le sort du pilote KTM. Avant de me tourner vers la presse espagnole donnant la parole à son fils, qui porte les mêmes nom et prénom que son père d’ailleurs. Un rejeton qui connaît bien les risque inhérents à la pratique off road, puisqu’il est champion d’Espagne d’enduro. Selon lui, Cristobal est sorti de son coma et on lui a "retiré ses tubes", sa situation est stable, et l’organisation de l’épreuve a affrété un avion médicalisé qui le rapatriera en Espagne. Si ce n’est pas déjà fait puisque l’article date du 6 février. Cristobal junior déclare qu’il ne peut s’avancer sur la santé de son paternel, car il n’a eu que peu de nouvelles depuis son hospitalisation à Santiago du Chili, mais veut être optimiste, et espère que son état va aller en s’améliorant. Au moment de cette interview datée du 6 février, le jeune pilote espagnol assistait à la finale de la coupe enduro indoor. Une compétition à laquelle il ne pouvait s’aligner, car il récupérait d’une fracture au péroné qui lui a valu la pose d’une plaque et de cinq vis. Gageons que dans son malheur, il a quand même su relativiser depuis la grave chute de son père lors de la 10ème étape du Dakar. On peut rappeler que la nuit après son accident, les médecins déclaraient que le pronostic vital du pilote de 48 ans était "très engagé".

    Crédit photo: photo Reuters, C.Guerrero pris en charge après sa chute lors de la dixième étape de la première édition sud américaine du rallye-raid.

    Via elmundo.es

  • Bref relevé d’inventions cyclistes rassurantes ou mesquines.

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    Je pense avoir assez vu d’optiques bizarroïdes dans l’histoire de ce blog, mais c’est bien la première fois que j’entends parler d’un marquage au sol transportable. Même si celui-ci n’en est qu’au stade du concept, il pourrait profiter également aux motos et scoots*. D’ailleurs pour tout vous dire, ce picto couleur carmin sur la chaussée me fait plus penser à un motard qu’à un cycliste. Une façon de créer sa propre piste cyclable portative, selon le très bon blog Odenis.com. Reste à connaître la portée en mètres de ce marquage basse visibilité, et son efficacité "tout temps/tout terrain" (quid de la pluie, brume et des reliefs accidentés ?). A moins de considérer cette idée comme une nouvelle signalisation passive qui viendrait renforcer l’arsenal de signalisation habituel, au milieu des panneaux, bittes, plots rétroréfléchissants, phares, combardes réfléchissantes et des catadioptres. Dans un tout autre style, repéré cette fois sur The Record Player, via le blog pour geeks Gizmodo, voici des embouts à fixer à vos guidons pour tenter de calmer les irrépressibles humeurs vengeresses (photos dans la suite). Les marques laissées le long des flancs des voitures par ces clés recyclées, rendront les caisseux très populaires auprès des carossiers de votre quartier. Et elles épargneront aux plus expressifs d’entre vous de donner des coups de pieds dans les portières des BAR qui font de la godille dans la circulation. A prendre au second degré, bien sûr.

    *à rapprocher pour le moyen utilisé (faisceaux) de ceci; et pour le support (chaussée), de ceci ainsi que cela.

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  • Des radars, en long, en large, et en travers… de la gorge ?


    Meilleur Radar au Monde

    Je n’ai compté que très peu de motards dans cette vidéo ahurissante montrant les flashages répétés de contrevenants. Au delà de la politique de sécurité routière, ces radars-ci sont de vraies machines à sous dont la manne rendrait probablement fous de jalousie les propriétaires de casinos et leur armada de bandits manchots de Las Vegas, Atlantic City, Macao et Deauville réunis. Et les créateurs de cette astucieuse tirelire (photo suivante) ne s’y sont pas trompés en mettant sur le marché cet objet, si tôt rebaptisée de façon un peu provocatrice "Racket Box". Pour ajouter au réalisme, chaque pièce, placée dans les entrailles de la boîte à l’indéfectible vigilance, sera saluée d’un flash. J’ai envie de reprendre l’idoine expression de Paris Match (semaine du 11 au 17 décembre 2008), magazine dans lequel je suis tombé sur cette idée cadeau à 20 € : "Quand c’est la crise on thésaurise. Mais c’est vous qui choisissez le tarif. Et vous ne serez pas interpellé s’il vous vient un jour, l’envie de le casser". Tout est dit.

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  • Carey Hart poursuit sa collaboration avec la Peta.

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    Je ne sais comment traduire ce titre de la Peta, tout en respectant la rime qui en fait une accroche de leur nouvelle campagne: "Tatouage, mais pas de pelage", "Ecriture oui, Fourrure non", "Tatouons, mais pas de vison" peut-être. Toute autre suggestion est la bienvenue. A bientôt 34 ans, le freestyler, crossman et supermotard de Las Vegas continue de défendre la cause animale donc, après le remarqué visuel "Les chaînes sont faites pour les motos, pas pour les chiens", comme le montre la photo qui suit. Au delà de la sincérité de son engagement (que je ne conteste pas), c’est aussi le moyen pour le champion de FMX de capitaliser sur sa célébrité, ce pilote se faisant connaître par ses apparitions dans les medias et ses contrats publicitaires, après de réels exploits au guidon. Carey Hart est ainsi le second* a avoir tenté le backflip en compétition de FMX, au Gravity Games en 2000, après Travis Pastrana. Le même Pastrana qui réussira le double backflip en 2006. Parlant de tatouages, Hart avait épousé la chanteuse Pink. Les deux sont divorcés depuis un an, mais restés en très bon termes**. Pink est aussi une ardente protectrice des bêtes au sein de la même association. La chanteuse l’avait demandé en mariage pendant une compétition à Mammoth Lake en utilisant le panneautage "Will you marry me ?" (et à l’envers du pit board: "I’m serious !"). Cette intervention a manqué créer un accident. C’est pas mignon tout de même ? Encore plus quand cela vient de la demoiselle…

    *et non le premier comme l’affirme le texte accompagnant la vidéo de YouTube, vidéo insérée dans cet article.

    **la chanson linkée sur "Pink", intitulée So What, est dédiée à leur séparation, Carey apparaît d’ailleurs dans le clip.

    source de la news originale: Popcrunch.com

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  • Session de rattrapage, la Warthog Bike.

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    Tout ça pour un casque. C’est la première chose qui me vient à l’esprit quand je vois cette pauvre ZX-10 R de 2004, à la livrée aussi discrète que l’emballage d’une barre chocolatée, style Lion. Comme annoncé dans les commentaires de ce sujet, voici la Warthog Bike. Mais contrairement à notre bombardier furtif B2, ce n’est pas le constructeur de l’appareil d’attaque au sol, la terreur des blindés l’A 10 Thunderbolt (ou Warthog), qui a commandé cette… cette chôôôôse. Il s’agit principalement de promouvoir un intégral. Et comment le faire de façon bien tapageuse ? En incorporant une mitrailleuse dans la tête de fourche du’ne superbike, ou en créant des sorties d’échappement façon réacteur. Et en faisant "beaucoup de bruit autour". Au sens littéral de cette expression. Car l’agression n’est pas que visuelle, elle est aussi auditive, "grâce" aux enceintes intégrées au dosseret de selle. Résultat: j’ai deux images du casque, avec le même motif mais décliné dans deux couleurs; cependant je ne les mets pas en ligne. Je suis trop déçu par un tel gâchis. On n’est pas dupe. Tant pis. La promo vidéo n’est pas mal non plus… enfin bref, vous jugerez par vous-même.

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  • Récit d’un bike-jacking, avant les conseils pour tenter de l’éviter.

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    J'avais hésité à vous parler du "drame du pont Saint-Michel" comme on le désigne. Une périphrase qui masque maladroitement la mort d'un homme. Pour ceux qui ne sauraient pas, Frédéric Daigneau a été frappé à coup de couteaux le 28 septembre de l'année dernière. Il est mort trois jours après, pour avoir voulu défendre son bien. Les rassemblements et commémorations ont mobilisé les motards toulousains (et de villes voisines) dans un soutien sans précédent. Mais en classant un peu mes signets, j'ai retrouvé cet extrait d'article de la Dépêche du Midi relatant une agression qui précède le meurtre de Frédéric. Je m'en tiens à cette ligne, ne pas parler de sa disparition. Dans la suite donc, le compte rendu que donne le journaliste du quotidien régional d'un vol qui s'est déroulé quelques jours auparavant.

    Sauf que cette fois la victime est heureusement là pour témoigner de ce qui lui est arrivé. Le motard raconte la technique, mélangeant la brutalité du vol à main armé et la ruse d'un voleur madré. Il décrit aussi la vaine poursuite, parle de l'hosto, puis de la colère d'avoir perdu sa bécane qu'il bichonnait. J'ai pensé que cela pouvait vous intéresser d'en parler, sans sombrer dans le pathos ou dans la paranoïa, je sais que certains d'entre vous se sont fait dérober leur machine.

    Extrait de l'article de la Dépêche:

    Dimanche 14 septembre : au guidon d'une moto Yamaha, « Z » attend au feu du rond-point Bazerque, près de la Cépière à Toulouse. La suite, cet homme de 38 ans, installée en banlieue toulousaine, le raconte la colère aux lèvres malgré les semaines qui se sont écoulées.

    Que vous est-il arrivé ? « J'étais arrêté au feu, tranquille. J'avais passé la journée au foot avec mon fils. Je n'étais pas assez méfiant. Un deux-roues est arrivé. Un jeune en scooter. Il s'est arrêté complètement à droite. J'ai trouvé ça curieux. En fait, il a détourné mon attention…

    Et après ? Une moto a débarqué. Le passager m'a mis un pétard sous le nez. J'ai balancé la moto. Je me suis coincé la jambe et le genou contre une glissière de sécurité. Ils ont pris la moto et ils ont foncé. J'ai essayé de les suivre dans une voiture. Impossible. J'ai fini à l'hôpital après avoir déposé plainte.

    Quel est votre sentiment aujourd'hui ? La colère, une immense colère. J'ai perdu une moto que je bichonnais et que je continue de payer à crédit en attendant l'assurance… Mais ça, à la limite, a peu d'importance.

    Pourquoi ? J'ai la haine contre ces jeunes. J'ai la haine contre ceux qui sont capables de sortir une arme et même de tuer pour voler une moto. Je culpabilise aussi un peu. L'enquête aurait pu avancer plus vite. En tournant dans les cités, je l'ai vu une fois ma moto, mon frère aussi. Mais les policiers n'ont pas réussi à l'intercepter, ni à la retrouver. Si les voleurs avaient été interpellés, le petit jeune ne serait peut-être pas mort.

    Rien n'indique qu'il s'agit des mêmes individus… Rien ne prouve le contraire non plus. Faut arrêter. Je suis d'origine algérienne mais quand je vais au Mirail, que je vois passer des gamins sur des quads à 10 000 €, je me pose des questions. Je m'en sors avec un genou en compote, des tranquillisants et au moins deux mois d'arrêt de travail. La famille du petit Fred, elle a perdu un fils. Cela me rend malade.

    Via la Dépêche du Midi.

    Crédit photo: photo constructeur de la Yamaha MT01.

  • La cultissime petite moto de Honda s’améliore encore.

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    Né dans les années 60, en 1964 plus exactement avec la Z 50 M, la Monkey ou Gorilla désigne en fait une lignée de minimotos dotées d’un mono de 50cc (voire plus sur certains modèles), quatre temps, 3 vitesses (boîte manuelle ou semi-automatique). Une lignée officiellement baptisée "série Z", dont le sobriquet simiesque tient à l’attitude qu’adopte son pilote sur la pocket bike, genoux très écartés et relevés. Un pilote adulte, s’entend. Car la Monkey est à l’origine un deux-roues destiné à divertir les enfants japonais dans les parcs d’attraction. Des replica chinoises ont également vu le jour, mais je n’ai aucune envie de leur faire incidemment de la pub en citant leur fabricant. Et de toute façon le sujet concerne l’évolution du modèle original. Une évolution logique, le carburateur étant remplacé par une injection élctronique PGM-FI, qui permet une augmentation des performances de 10 % selon Autobloggreen, ce qui est bien maigre: 3,4 hp (horse power, ou chevaux), et une conso de 252 mpg, miles per gallon*, pour une Monkey lancée à 47 km/h. On n’est pas dupe de ce que Honda nous présente comme des améliorations librement consenties.

    L’injection électronique est en effet rendue de nos jours nécessaire par des normes de plus en plus restrictives en matière d’émission. Mais c’est une leçon de style qu’administre la firme au blason ailé en relançant cette bécane. Cependant ne rêvez pas, si quatre mille unités sont en production, toutes sont réservées aux Japonais.

    *pour une explication des conso nord-américaines voir le sujet Harley ici, en fin d’article.

    Sources: autobloggreen, wikipedia, hondamonkey.com

    crédit photos: photos constructeur.

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  • La Métisse Desert Racer de McQueen renaît pour 300 exemplaires.

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    La moto de course de désert (dernière photo) de Steve McQueen et de son compère cascadeur et compétiteur, feu Bud Ekins, a été rééditée. Les héritiers de l’acteur ont autorisé l’entreprise du Oxfordshire à fabriquer de nouveau la Métisse Desert Racer. Cette production numérotée a vu d’ailleurs son tout premier exemplaire acheté par Chad McQueen, le fils de l’acteur. Pour un cachet "racing", la signature du King Of Cool apparaît sur le réservoir des 300 machines qui sortiront des chaînes de montage de l’entreprise anglaise. Un certificat d’authenticité vous sera aussi délivré lors de l’achat. Il n’y pas que sur le réservoir ou sur un papier que l’esprit de l’acteur est honoré. Beaucoup de spécificités dans la conduite ont en effet été conçues selon les desiderata et préférences de McQueen: tés de fourche de chez BSA, guidon en retrait derrière la colonne de direction, assurant un meilleur contrôle, les commandes et leviers Amal type compétition, sans oublier les repose-pieds élaborés par Steve et Bud eux-mêmes. On est à mille lieux de la bécane de série impersonnelle. Pour la motorisation, sachez qu’un carburateur Amal alimente le bicylindre vertical de Triumph TR6, un moteur d’époque et reconditionné. Le cadre double berceau (visiblement), de type tubulaire, est un Métisse MK III, en chrome molybdène recouvert de nickel, pour combiner légèreté et rigidité.

    Pour en revenir à la fourche, c’est une Ceriani de 35 mm d’un débattement de 178 mm, et elle se prolonge par les jantes-rayons chromées équipée de gommards, à crampons bien évidemment. Les échappement sont de type Scrambler. Ben je crois qu’on en a fait le tour. Ah oui, le prix.

    Sortir 13.000 £ paraîtra excessif pour une moto qui n’est pas homologuée pour rouler sur le bitume des routes ouvertes, mais on n’est pas chez Honda Hero et la moto a nécessité trois ans pour sa conception, qui aboutit à une production plutôt confidentielle selon les standards actuels. D’où la difficulté d’abaisser les coûts.

    Via motoplus.ca

    Crédit photos: photos constructeur.

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