Auteur/autrice : daniel bour

  • Aprilia 125 Sportcity

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    Aprilia propose désormais un scooter 125 grandes roues qui se place en dessous du Scarebeo. Plus compact, il offre une approche plus dynamique et grâce à des pneus de 15 pouces, le Sporcity est royal en courbes. Tout comme l’Atlantic, il dispose du bloc moteur Piaggio qui équipe le X9, ce qui lui donne d’excellentes performances. Doté d’une ligne agressive, le Sportcity dispose d’une bonne capacité de transport grâce à un plancher plat et un grand porte-bagages. Petit bémol, le coffre est petit et le plancher est un peu court pour allonger les jambes.
    Coté moteur, le 125 Sportcity est équipé d’un monocylindre 4T refroidi par eau, simple ACT, 4 soupapes par cylindre. Avec une cylindrée de 124 cm3 il dispose d’une puissance de 15 ch à 9500 tr/mn.
    Côté châssis, on retrouve un cadre tubulaire doté, à l’avant d’une fourche télescopique de 100 mn et d’un disque de frein de 260 mn et à l’arrière de deux amortisseurs de 80 mn. le freinage est assuré par un disque de 220 mn.

    Côté équipement, si l’instrumentation est complète, on notera l’absence de béquille latérale et l’impossibilité de ranger un casque intégrale.
    Disponible en 3 coloris : gris métal, gris mat et noir, l’Aprilia 125 Sportcity vous coûtera 3081 €.

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  • Aprilia 125 Atlantic

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    Avec l’Atlantic 125, Aprilia se dote d’un vrai GT disposant du bloc moteur du X9 version catalysée. L’Aprilia se distingue par une ligne séduisante, sportive et offre un comportement sain sous tout rapport. Pas trop haut de selle, il dispose d’un bon niveau d’équipement avec une instrumentation plaisante et complète. On ne regrettera pas les multiples serrures (coffre, boîte à gants, réservoir) et l’absence de clé codée. En revanche, avec son excellent freinage couplé, l’Aprilia 125 apprécie la conduite sportive et reste très agile en ville.
    Côté moteur, on retrouve un monocylindre 4T refroidi par eau, simple ACT, 4 soupapes par cylindre. Avec une cylindrée de 124 cm3, l’Aprilia développe une puissance de 13,6 chevaux à 9500 tr/mn.
    Côté châssis, l’Aprilia est dotée d’un cadre tubulaire couplé, à l’avant d’une fourche télescopique de 105 mn et d’un disque de frein de 240 mn. A l’arrière la suspension est assurée par un mono-amortisseur réglable de 110 mn et le freinage est assuré par un disque de 190 mn.
    Disponible en 5 coloris : gris, vert, beige, rouge et bleu, le 125 Aprilia vous coûtera 3640 €.

  • Supercross Paris Bercy 2005

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    Les 11, 12 et 13 novembre prochains, le Palais Omnisports de Paris Bercy se transformera pour l’occasion en un immense terrain de cross. Cette 23ème édition du Supercross de Bercy s’annonce déjà comme le plus grand rendez-vous européen de la saison de Supercross mais également de Freestyle.
    Plus ancienne épreuve sportive au calendrier du POPB, le Supercross est aussi celle qui présente le meilleur taux de remplissage de la mythique salle parisienne. Si le public reste fidèle à ce fleuron du sport motocycliste, c’est bien parce que le programme proposé est un mélange unique de sport de haut niveau et de show à l’américaine.
    Si les américains sont évidemment favoris avec Andrew Short, vice-champion US et King of Bercy en titre, Mike Alessi, troisième et Mike Brown, finalement cinquième du « National » après en avoir longtemps tenu le leadership, les français apprécieront sûrement le retour de Sébastien Tortelli après cinq ans d’absence. Mais le français ne sera pas le seul à affronter la horde américaine. Il sera entouré des meilleurs pilotes de GP comme : Pascal Leuret, Christophe et Sébastien Pourcel, soit des pilotes expatriés outre-Atlantique. Steve Boniface, Stéphane Roncada et Eric Sorby qui seront épaulés par les meilleurs représentants du championnat de France SX Tour, dont le leader du classement Benjamin Coisy.

    Le Team « Reste du monde » présent en force cette année se regroupera autour des pilotes des championnats FIM, avec à leur tête l’Italien David Philippaerts, vainqueur des GP de France et d’Afrique du Sud 2005, son compatriote Davide Guarnieri et l’Anglais Carl Nunn (tous deux vainqueurs de manches MX2 cette saison), le Sud-Africain Gareth Swanepoel et le Suisse Julien Bill (troisième du Mondial MX3). Le tout jeune Canadien Colton Facciotti, vainqueur la semaine dernière au SX de Montréal et l’Australien Ryan Marmont, vainqueur au même moment du SX de Melbourne, renforceront au mieux les pilotes MX2.
    Côté Freestyle, l’évolution de la discipline a été phénoménale depuis deux ans et la plupart des « riders » présents à Bercy réalisent le « trick » mythique du moment, le « backflip » sur la rampe de 25 mètres prévue spécialement !
    L’Américain Ronnie Renner, vainqueur du plus gros événement de la saison, les X-Fighters de Mexico, vient comme chaque année à Bercy pour « fracasser » !
    La réplique européenne lui sera donnée par l’Espagnol Edgar Torronteras, toujours transcendé à Bercy mais également par Manu Troux, le meilleur freestyler français qui atteint actuellement sa plénitude, le Suisse Matt Rebeaud, auteur d’un « long backflip » dans cette salle l’an dernier, la touche d’exotisme venant d’André Villa, un Norvégien au charisme ravageur et d’Eigo Sato, le kamikaze japonais.
    Nul doute que le Freestyle constituera encore l’attraction incontournable de cet événement de Bercy.

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  • Casque BMW Motorrad WCS-1

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    Le systeme de communication sans fil BMW Motorrad WCS-1 (en option) est entièrement intégré dans le casque et ne pèse que 180g. Vous pouvez désormais parler avec votre passagère, même à vitesse soutenue via des microphones. Bien entendu, d’autres appareils utilisant la technologie Bluetooth, par exemple un téléphone portable, peuvent également être connectés. Le systeme WCS-1 de BMW Motorrad a une portée maximale de 10 mètres.
    Matière : Kevlar(r)/Carbone/Fibre de verre pour la coque
    DuPont Coolmax(r) pour le rembourage intérieur
    Caractéristiques du BMW Motorrad WCS-1 (Wireless Communication System) :
    – Communication sans fil de casque à casque pour le pilote et le passager avec une portée de dix mètres
    – Communication de casque à casque ou casque alternée avec casque et téléphone Bluetooth
    – Système entièrement indépendant de la moto (peut être utilisé sur des motos de toutes marques)
    – Réduction automatique des bruits parasites
    – Système fonctionnant avec mentonnière relevée jusqu’à 130 km/h
    – Commande trois touches (clavier tactile) sur le coté gauche du casque
    – Deux microphones différentiels haut de gamme dans la partie frontale du casque
    – Autonomie : jusqu’à 9 heures
    – 180 grammes
    -Casque homologué avec le système intégré

    Le système ne comprend pas de microphone perche traditionnel mais deux microphones reliés en réseau et intégrés de façon presque invisible dans la partie frontale du casque. D’une part, ce type de microphones ne comporte pas d’éléments gênants à l’intérieur du casque, d’autre part, les deux microphones et un processeur de son numérique situé en aval réduisent efficacement les bruits parasites et aérodynamiques.
    Toute source audio n’utilisant pas la technologie Bluetooth (GPS, lecteur MP3, radio, lecteur CD, émetteur-récepteur PMR) pourra être raccordée avec un système embarqué indépendant de la moto.
    Couleur : Noir, Argent titane métal, Magnésium métal mat, Bleu manganèse métal, Rouge rock uni métal

    Prix de vente TTC public maximum conseillé :
    WCS-1 seul : 390€ (si vous possédez déjà un casque Système 5)
    Casque Système 5 avec WCS-1 : 929€

  • Schumacher s’essaye à la motoGP

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    Après les essais de Valentino Rossi sur Ferrari qui ont fait courir beaucoup de bruit sur l’éventuelle possibilité de voir un jour le septuple champion de monde de vitesse démarrer une nouvelle carrière en F1, le pilote allemand de Formule 1 Michael Schumacher, septuple champion du monde de Formule 1, vient de lui rendre la pareille en s’essayant lundi à la MotoGP au guidon d’une Ducati « Desmosedici » sur le circuit Ferrari de Mugello, près de Florence.
    « C’est quelque chose que je voulais faire depuis longtemps (…) et je dois dire que je me suis bien amusé », a-t-il expliqué après cette exhibition.
    Arrivé sur le circuit à bord d’un hélicoptère, Michael Schumacher a évolué sur un circuit interdit à la presse. Il a effectué une quarantaine de tours sur une Ducati d’essai.
    Pour son meilleur chrono, le champion allemand a réalisé 2 minutes et 20 secondes au tour, soit 25 secondes de plus que l’Italien Loris Capirossi, pilote officiel de la Ducati. Il s’est également fait une petite frayeur avec un « tout droit » lors d’une série de virages.

  • Yamaha GEN-Ryu 2006

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    Le Yamaha GEN-Ryu, présenté au Tokyo Motor Show est comme le Maxam 3000 à mi-chemin entre la moto et le scooter. Sa particularité est l’utilisation d’un moteur hybride. Cette moto utilise donc la cylindrée de la YZF-R6 de 600 cm3 couplé à un moteur électrique assez puissant pour donner l’impression qu’il s’agit, au total, d’un moteur de 1000 cm3. Yamaha réalise ainsi la parfaite combinaison entre la puissance d’une moto et le confort d’un maxi-scooter. De part sa conception : corps en aluminium léger coulé sous pression, des roues de grand diamètre et un long empattement, la Yamaha GEN-Ryu offre une possibilité d’utilisation digne des machines de grosses cylindrées.
    En outre, le Yamaha est une mine de nouvelles technologies. Il adopte des dispositifs d’cAsv qui ont des fonctions préventives en matière de sécurité et des fonctions améliorant le confort du pilote. Ces fonctions d’cAsv incluent :
    – Un système d’avertissement de distance entre votre moto est le véhicule qui vous suit en utilisant les dernières technologies de communications.
    – Un système améliorant la vision de nuit en tournant aux intersections et dans les courbes.
    – Une fonction de navigation par la voix.
    – Un autoradio et un téléphone cellulaire avec fonction main-libre.
    – Un système de surveillance arrière utilisant une caméra.

  • Yamaha Maxam 3000 2006

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    Lors du 39ème Tokyo Motor Show, Yamaha a dévoilé plusieurs concept bikes comme le Maxam 3000. Ce scooter, à mi-chemin entre la moto et le scooter des mers auquel on aurait ajouté deux roues, représente sans doute le futur des maxi-scooters. Selon Yamaha, le Maxam 3000, alliant le le confort du passager et l’aspect utilitaire, se distingue par une abondance de pièces de chrome et une sellerie en véritable cuir, apportant ainsi un sens aigu de la qualité jamais encore atteint sur un maxi-scooter. Le Maxam 300 se distingue aussi par une dimension impressionnante, il mesure pas moins de 3 mètres de long. Sa vocation se décline alors naturellement vers une utilisation de loisirs au long court. Il serait effectivement difficile de garer une telle moto en ville.

  • Honda E4-01

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    Honda a présenté lors du salon de Tokyo un prototype à mi chemin entre la moto et le scooter. Nommé E4-01, cette machine cache une une foule de technologie de pointe. Ses principaux atouts sont : l’élégance, l’excitation, l’amusement et la facilité. Tout à été conçu pour que scooter GT offre à chaque pilote le confort d’une moto de route.
    Côté moteur, ce scooter est équipé d’un 4 cylindres de 903 cm3 complètement intégré dans le châssis et dont le poids est inférieur à 200 kilos. Couplé à une boite automatique sport nouvellement développé par Honda, la puissance du E4 est directement transmise à la roue arrière, le scooter obtient donc ainsi une très grande douceur de pilotage en ville.
    Côté châssis, le véritable nouveauté reste une fourche inversée et des étriers de freins à fixation radiale sur les deux disques avants et des roues de 17 pouces.

    Côté équipement, on peut noter un capot avant dont l’ouverture et dirigée vers une sortie au dessus du tableau et bien évidement un grand coffre sous la selle pouvant accueillir des casques intégraux.
    Peu d’informations ont filtrées pour parler plus en détail de ce maxi scooters et il est fort dommage qu’il ne reste qu’un prototype.

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  • Yamaha Deinonychus

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    Drôle de bécane que ce prototype Yamaha nommé “Deinonychus” Si il se caractérise principalement par ses deux moteurs électriques placés au centre de chacune des roues, son châssis est une véritable preuve d’ingéniosité.
    Côté châssis, on retrouve un cadre entièrement modulable qui permet donc à chaque type de morphologie d’utiliser cette moto. L’empattement, la hauteur de selle et du guidon sont réglables par des vérins.
    Côté moteur, cette machine utilise deux moteurs électriques placés au centre de chacune des roues, ce qui en fait une moto à deux roues motrices. Les batterie sont, quant à elles, dissimulées derrière la selle.
    Ce concept particulièrement audacieux ne verra probablement jamais le jour, mais nous pouvons tout de même apprécier à juste titre le travail des designers de Yamaha.

  • Auriol présent au Dakar 2006

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    Hubert Auriol revient à ses premiers amours, le pilotage, après avoir été directeur du rallye-raid Paris Dakar de 1995 à 2003.
    Ce grand Monsieur du sport auto et moto qui a notamment remporté deux victoires en moto au Dakar 1981 et 1983 sur BMW et une victoire en 1992 sur une Mitsubishi vient d’annoncer sont retour à la compétition par l’intermédiaire du journal “L’Equipe”.
    Hubert Auriol partira donc de Lisbonne, le 31 décembre prochain au volant d’un Izuku 4X4 officiel.
    Hubert Auriol reprend donc du service au sein d’un team fondé en 2004 grâce à son ami italien Ed Orioli, quadruple vainqueur moto et ancien équipier Cagiva. Il en sera à sa Seizième participation.
    “Ce projet qui démarre m’a immédiatement séduit. La voiture est bien construite, l’équipe bien structurée. Refaire le Dakar dans ces conditions ne pouvait que me séduire”, a déclaré celui qu’on surnommait autrefois « l’Africain ». Cette 27e édition coïncidera avec l’anniversaire de la disparition de Thierry Sabine, le créateur de l’épreuve, mais ce n’est pas cette commémoration qui a incité Hubert Auriol à reprendre du service. “Tous les anciens y penseront évidemment mais, cela ne m’a pas influencé.”

     

    Hubert Auriol et son nouveau team effectueront leur premiers tests dans une quinzaine de jours en Tunisie.

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