Catégorie : Actualité

  • Port du casque obligatoire au Vietnam

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    Depuis hier, le port du casque est obligatoire au Vietnam, sur toutes les routes et en toutes circonstances. Avec de 20 à 30 décès sur la route chaque jour, le bilan n’est pas trop reluisant. Mais les habitudes ont la vie dure, et l’acceptation du port du casque ne se fait pas sans heurts. Avec un maigre 3% de port de casque, le chaos dans les rues et aux intersections, il faudra plus que des mesures répressives pour en faire accepter l’usage. Qualifié de cuiseur de riz, le casque est trouvé trop chaud et inconfortable, et avec l’entrée en vigueur de la loi, la qualité des casques sur le marché est à la baisse avec les prix à la hausse. On y trouve même des imitations en plastiques venant de Chine, ce qui, avec un marché d’environ 7 millions de motards, est une belle opportunité d’affaire, qui se fera au détriment de la sécurité des usagers.

    Ci-dessous, deux vidéos illustrant bien la nécessité du port d’équipement de sécurité dans les rues encombrées du Vietnam.

    Photo: Peter Kneffel

  • Arlen Ness et Russell Mitchell à Daytona

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    Daytona en Floride, au début du mois de mars de chaque année, devient durant une semaine un des endroits les plus débridés du monde motocycliste. Des dizaines de milliers de motards de toutes allégeances, de tailles et de formes envahissent la ville et les environs pour une unique fête de la moto. Le prétexte est le Daytona 200, première course de la saison du AMA Superbike, mais le vrai spectacle est dans la rue.
    Un évènement à ne pas manquer cette année, pour qui y sera, est le déjeuner-causerie du «Motorcycle Hall of Fame Museum». Réunissant Arlen Ness et Russell Mitchell, deux figures et deux générations de constructeurs de motos d’exceptions, qui partageront avec l’assemblée, anecdotes et faits d’armes.

    On ne peut faire plus différents qu’Arlen Ness et Russell Mitchel. Le premier est un enfant de l’Amérique des années 50, de son opulence et d’un optimisme à tout crin, alors que le second est un exilé britannique nourri au punk des années 70. Le résultat, il est ci-dessous, avec le trop-plein de l’un, et l’ascétisme de l’autre.

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  • La MV Agusta Brutale 1078 RR sur route ouverte et circuit

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    Vous avez 25.000 €, là, maintenant ? C’est le montant du ticket d’entrée pour le championnat des nouvelles Brutale 1078 RR organisé en 2008, qui se déroulera en six manches sur les plus célèbres circuits européens. La Meccanica Verghera pour ce prix se charge de fournir: la machine, l’assistance technique, la maintenance durant la saison, le transport et l’équipement du pilote (vous !). L’occasion aussi pour nous de vous faire (re)découvrir le modèle "route ouverte".

    Et si vous tombez amoureux de votre monture, vous pourrez la garder définitivement pour 35.000 € à la fin de la saison.

    Un peu normal de retrouver cette nouvelle Brutale 1078 RR sur les circuits quand l’on sait que la machine qui sera vendue en concession (photos ci-dessous) possèdera un moulbif dérivé du moteur de course de la F4 (la RR 312 plus exactement), machine dont elle a aussi hérité l’embrayage anti-dribble.

    Comme autre nouveauté technique, elle incorpore du Brembo à un nouvel étage de sa partie cycle, puisque les freins monoblocs et les jantes si caractéristiques (voir les photos flanc opposé au monobras) sont dorénavant fabriqués par cette entreprise.

    La fourche inversée Mazorcchi vient parachever la volonté d’Agusta de produire un roadster purement italien. Résultat de ce package: 154 chevaux affichés (contre 141 pour la nouvelle 980S) pour 184 Kg à sec et 268 Km/h en pointe.

    A cette vitesse, et pour ce prix là (qui s’annonce astronomique), je regrette vraiment que seul le tableau de bord serve de déflecteur au pilote, vous ne maintiendrez pas longtemps cette vitesse sur route fermée et ailleurs. Toujours un superbe cadre treillis tubulaire, mais sans saute-vent, ni lèche-roue et sabot moteur* de série, la 1078 RR n’est elle pas une naked bike un peu trop… nue ?

    De toute façon, la 1078 RR quelle que soit sa version (trois livrées disponibles) a de quoi vous réconcilier avec MV Agusta, notamment après la tristounette Hydrogen, récemment vue sur le blog.

    *contrairement à la version course.

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    source et crédits photos: vroom.be pour la news du nouveau championnat, LeBlogMoto.com pour l’avis sur la Brutale 1078 RR, et photos constructeur.

  • Une illusion d’optique simulant un fort taux d’alcoolémie.

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    Si vous avez survécu à l’humour douteux de la précédente affiche que nous vous présentions, en voici une beaucoup mieux réalisée, pour la nouvelle année, trouvée sur ce blog où votre regard selon ce blogger subit la même perturbation visuelle que lorsque vous êtes saoul. Non, pour les mal lunés, ce n’était pas la représentation d’une (jolie) jeune femme très bavarde et très "mateuse". Une campagne assez déroutante donc, pour éviter justement que vous la quittiez, la route.

  • Portfolio de l’étonnante L-R-G Hayabusa 2008, très frime.

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    Roue lenticulaire transparente, dorures, monobras, selle façon velours à monogramme, caméra arrière, peinture "Pearl White Powder": voici le résultat de la collaboration entre la marque streetwear L-R-G (Lifted Research Group), l’American Suzuki Motor Corporation, et 2WheelTuner Magazine qui vient juste d’être présenté à l’International Motorcycle Show de Long Beach, Californie. Cette Hayabusa modèle 2008 très originale fera la couverture du magazine précité en janvier prochain.

    Je me demande si les seules choses à sauver ne sont pas ses pneus Pirelli Diablo et son moteur, sans son côté "pimp". Et le yacht en arrière-plan, évidemment. Quoi que… sa livrée n’est pas trop mal réussie. Enfin bref, après le quad Hayabusa Hayabuquad, je suis presque blasé niveau transformation de ce modèle Suzuki et je vous laisse commenter.

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    source: speedtv.com et motoblog.it

  • Idée cadeau, le casque Jet X60 Denim de chez Nexx.

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    La marque portugaise Nexx propose des casques au revêtement extérieur original, une toile de jeans Denim. J’ai toujours été très réservé sur l’usage des casques Jet à Moto, et je reste persuadé qu’un casque modulable (de préférence homologué Jet et Intégral) est adapté au changement d’environnements et de vitesses du motard (passage de la circulation en ville, à une rocade/périph’/autoroute). Mais là, pour offrir à une scooteriste, je veux bien faire une exception.

    Même si les modulables ne sont souvent pas dépourvus de défauts (des rossignols* par exemple lorsque certaines vitesses sont atteintes), un intégral bien ventilé étant la panacée.

    Chouette casque en tout cas et original en plus, qui compte même un red tab (l’étiquette rouge) façon Levi’s sur la poche gauche, des rivets sur les coutures et un insert en cuir large au dessus de la nuque, comme les vrais jeans en ont au niveau de la ceinture.

    L’intérieur est bien entendu démontable et lavable et la visière est en Lexan, matériau extrêmement résistant et ici légèrement fumé pour vous protéger (très partiellement) des rayons du soleil, si rasant dans la saison actuelle.

    Il est vendu autour de 180 €, et la marque est distribuée en France et vendue sur le net. Un autre casque de chez Nexx dans la suite, toujours un X60 décliné, le Samurai.

    *bruits de sifflement à vitesse élevée générés par l’entrée d’air dans le casque, terme employé à l’origine pour désigner ces bruits dans l’habitacle des voitures.

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  • Six photos du Hayabuquad, le quad dérivé de l’Hayabusa.

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    Nos voisins transalpins du Motoblog.it ont publié des photos de la reine des sport GT légèrement rebâtie par un préparateur américain malheureusement très inspiré. Admirez le travail: tout est repeint d’un superbe dragon blanc sur fond bleu jusqu’à la bulle aéro, l’admission d’air forcée et les gardes-boues avant et arrière. Un conducteur pas très partageur, vu la présence du capot/dosseret de selle. Reste à savoir où passent les plus de 175 chevaux de la version (libre) originale…

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    source: motoblog.it

  • MV Agusta Brutale « Hydrogen », appellation trompeuse…

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    Au premier prix du buzz sur le net, la Brutale 910 R Hydrogen mériterait peut-être la première place devant tout le toutim fait autour de la possible moto Subaru (dont on vous parlera d’ici peu, enfin dès qu’on aura un peu plus que du vent comme substance). Car non, il ne s’agit pas d’une moto à l’hydrogène comme le (concept) Suzuki Crosscage présentée au Tokyo Motor Show, mais d’un sponsor qui a fort opportunément apposé son nom sur le réservoir du roadster italien.

    Il est vrai que cette marque de sportswear (paraît-il) de luxe, travaille avec Agusta depuis quelques années et équipe déjà son staff. Si vous aimez sa blancheur marmoréenne, sachez que la moto ne sera produite qu’à une centaine d’exemplaires. Un peu comme la Brutale "Campioni" dont 124 exemplaires étaient sortis, dont 24 pour les joueurs vainqueurs de la dernière Coupe du monde de football. No comment.

    On se pose alors la question avec inquiétude (ou presque, faut pas exagérer non plus): fringue de luxe + roadster exclusif = Quid du prix ? Il restera inchangé, aux alentours de 18.400 € tout de même.

    Tout ça pour ça ?

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    source: motoplanete.com et vroom.be

  • Evel Knievel, la dernière envolée

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    Ils étaient plus de cinq mille personnes venues rendre un dernier hommage à Evel Knievel, chez lui, à Butte (Montana) hier. L’acteur Matthew McConaughey était du lot, déclarant que le cascadeur volait maintenant pour toujours, sans craindre un atterrissage difficile, alors que dans le ciel, éclatait un feu d’artifice aux couleurs du drapeau américain.
    Pour un reportage complet, le Montana Standard est un must.

    Images AFP
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  • George Clooney, et le Triumph facile

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    À moins d’être assidûment accro aux potinages hollywoodiens, l’acteur George Clooney se tenait tranquille depuis son accident de moto début septembre. Mais voilà qu’il fut surpris en pleine séance de magasinage du côté de chez Triumph. Une jolie Thruxton noire semble avoir bénéficié de ses faveurs. Chose certaine, il aime ses motos classiques, puisqu’il a été beaucoup vu roulant sur une Indian Chief.
    Étonnant aussi, de le voir roulé sans plus de protection. Avec un casque pareil, ses cachets risquent de diminuer si son joli minois va dire bonjour aux pavés. Pour l’instant, il semble apprécier l’attention que ses quelques égratignures de sa dernière escapade lui ont procurée. Eh! À quoi servent les cicatrices si on ne peut en raconter l’histoire?

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