Catégorie : Actualités entreprise

  • Michelin Challenge Design 2007: Le Polaris Revolver.

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    Alors que se préparent les candidats du Michelin Challenge Design* qui se déroulera la seconde quinzaine de janvier 2008, revenons sur certains lauréats et concurrents remarqués cette année. Débutons par le Polaris Revolver tout d’abord qui a terminé à la deuxième place derrière Audi (!), et avait été présenté pour la toute première fois au Salon du Deux-roues de Paris en 2005. Les déflecteurs au-dessus des phares lui donnent un regard agressif vous ne trouvez pas ? Et ce n’est pas son seul atout.

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    Pour une petite présentation générale avant d’aborder les choses sérieuses, Polaris est une marque américaine très connue pour ses motoneiges, et pour avoir été la première à équiper celles-ci de suspension indépendante à l’avant (pour remplacer celle à lames à ressort).

    Sortent également de ses chaînes de montage des ATV (All Terrain Vehicles), ou quads chez nous, son Sportsman X2 a d’ailleurs été élu quad européen de l’année 2007.

    Elle est également le fabriquant du Ranger sorte de véhicule aux allures de Mini Moke de golf, et des bécanes Victory, dont on reparlera ici.

    Concernant l’idée derrière ce concept, Polaris a voulu que son Revolver soit un ATV capable de bonnes performances routières et tout-terrain, constatant que les quads homologués n’était bien souvent rien d’autres que des véhicules de terre à peine adaptés à la route.

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    Pour ce faire il cube du 500 (alors que sa cylindrée paraît plus du double sur certaines photos comme celle avec la belle hôtesse), un moulin à refroidissement liquide, mû par une boîte 5 vitesses, et équipé d’amortisseur de direction hydraulique, pour ce qui est des caractéristiques intéressantes de la partie cycle.

    La selle est conçue pour deux personnes mais on est surpris par sa forme très relevée vers l’arrière. Votre passagère (ou passager, ne soyons pas sexiste, héhé) ira directement s’encastrer derrière vous. Sympa si c’est votre copine, mais un peu saoulant à la longue.

    Autant faire une selle étagée si c’est pour la relever: avec une selle pilote et une "bavette" arrière plus haut, comme sur de nombreuses motos modernes. Ou dans les selles monoblocs, laisser une dépression pour le conducteur près du réservoir comme sur la plupart des quads biplace, puis plane ou légèrement relevée pour le passager. En dehors du parti-pris esthétique, je vois mal l’intérêt de cette solution sur le Revolver.

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    Sacré empattement du véhicule sur cette photo de profil, encore accentué par le gabarit très compact du corps du quad qui lui donne des airs de petite Buell, je trouve: un gage de stabilité sur terrain meuble et surtout en courbe. Tout concourt à un centre de gravité bas, visant à combattre le roll-over et éviter de faire du quad le scooter du 21ème siècle niveau stabilité.

    Regardez à nouveau la photo de face et notez le carrossage négatif: on va pas vous embêter encore avec une définition technique, disons que les roues sont "en dedans" (comme sur une F1, l’exemple-type), et non strictement perpendiculaires au sol.

    C’est destiné à permettre une meilleure adhérence des gommes dans les virages. Normal, il est bon de rappeler à tous que ça vire à plat un quad, c’est pas une moto qu’on met sur l’angle.

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    Pour ce qui est de son utilisation, pas facile de le classer dans les catégories classiques des quads et tant mieux aurais-je tendance à dire:

    – ni utilitaire (surtout pas, beaucoup trop beau, pas rustique pour un sous, visiblement peu polyvalent, pas de possibilité de chargement, aucun accessoire de rangement),

    – ni loisir (pas assez fun, trop luxueux, cylindrée trop importante),

    – ni sportif (trop design, apparemment lourd, et aucune protection, gardes-boues minuscules et "collant" à la roue: pas terrible pour le off-road, pneumatiques asphalte: faible accroche sur terre).

    Concernant cette dernière catégorie, remarquons d’ailleurs qu’il n’est pas fait mention d’un différentiel arrière** dans la fiche technique du Polaris Revolver… Dommage. Ceux qui en ont essayé un en glissade en courbe savent de quoi il retourne, mais ça ne semble pas son but non plus.

    On dirait que le quad avec ce Polaris Revolver subit la même évolution que les 4×4 avec les SUV*** mais sans les défauts: il se civilise (on a pas trop insisté dessus, mais quelle gueule terrible il a quand même ! ) sans forcément perdre de sa technicité.

    *après Pirelli et sa rétrospective WSBK et WSS, je reste dans les pneumatiques…

    **divise l’entraînement entre les roues arrières, leur permettant de tourner à des vitesses différentes, en cours de virage ou lorsqu’on traverse des surfaces inégales. Très sympa en mode sportif, croyez-le !

    ***Sport Utility Vehicle sorte de 4×4 "Canada Dry", à l’image du Toyota Rav4. Cette catégorie de véhicule regroupe les "4×4 de ville", des faux 4×4 dont il ne reste que le look, la garde au sol et la garde au toit. Mais dépourvus des capacités de franchissement du vrai 4×4 (sauf pour les trottoirs et des bordures gazonnés, mouah ah ah): roues motrices réduites à deux et donc plus de boîte de transfert évidemment.

    crédit photos: Site Michelin Challenge Design

  • Glamour & intensité du Superbike – Supersport chez Pirelli

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    Si comme moi, vous êtes abonné(e)s – c’est gratuit – à "Planète Pirelli", la lettre d’information du fournisseur officiel de pneumatiques des disciplines précitées, vous l’avez reçue aujourd’hui. Pour les autres, sachez que le célèbre manufacturier italien, qui est aussi éditeur du très recherché calendrier éponyme, sait y faire en photos qui, ô agréable surprise, sont proposées en grand format. L’occasion de revenir sur la saison 2007 et surtout de la regarder d’un autre oeil. Contact…

    Voici une petite sélection, parmi toutes les photos du site. Ces clichés permettent de vérifier qu’en intensité et en glamour, le Superbike et le Supersport, n’ont rien à envier au MotoGP, et aux championnats 250 et 125cc. Il m’a fallu un peu chercher parfois, car les noms des pilotes ne sont pas indiqués et encore moins leur résultat, seulement le circuit. Pour certains c’était facile (Charpentier, Bayliss, Haga, Toseland), pour d’autres, beaucoup moins évident (Parkes, West).

    On commence par l’Australien Broc Parkes donc, en Supersport, pestant contre le sort et sa Yamaha, à Assen aux Pays-Bas.

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    Sébastien Charpentier toujours en Supersport, et encore à Assen, certainement après sa seconde place sur la grille ou à tout le moins pendant les qualifs (il finira sixième de la course). Etrange attitude, le regard un peu dans le vide, il revenait après un sacré "tampon" à Donington et Andrew Pitt l’avait remplacé au côté de Sofuoglu. Grand champion en tout cas, mon esprit (un peu) cocardier mis à part, vraiment !

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    James Toseland qui n’était pas encore champion du monde de Superbike pour la seconde fois, en burn (ou burn-out en Anglais) après sa victoire de la seconde manche à Phillip Island, (il termina second de la première).

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    Le champion Troy Bayliss toujours à Phillip Island (chez lui, en somme), se rafraîchit devant ses troupes, pour un feedback (un retour d’informations du pilote pour la mise au point de la machine) devant les ingénieurs et/ou mécanos qui prennent des notes.

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    Haga, le "presque" champion du monde de SBK, "si loin, si proche" comme l’on dit. Toujours à Phillip Island, en wheeling (ou wheelie, c’est pareil), lors de la seconde manche certainement, la seule qui l’aura vu monter sur le podium, et occuper la 3ème marche.

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    Sébastien Charpentier encore. Imperturbable, bien qu’en galante compagnie (ah les umbrella girls des sports méca !) avant le départ à Monza, avec ce célèbre sparadrap sur le nez sensé améliorer votre respiration, tout comme Valentino Rossi qui le porte aussi.

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    L’Australien Anthony West à Monza, toujours en Supersport. Je l’ai mis juste après Seb car la similitude des motifs des casques avec cette croix de drapeau sudiste américain (comme Sébastien Charpentier), ou à l’écossaise (comme David Coulthard en Formule 1) est frappante.

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    Dans mes bras ! Podium Superbike à Misano.

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    Ah, on s’encanaille un peu, un superbe c.., hum, un superbe "derrière" pardon, sponsorisé par Ducati.

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    En espérant que ça vous aura plu. Et n’oubliez pas de faire un tour sur leur site, Pirelli France.

  • Un vernis thermosensible signalant le verglas est primé

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    D’ici peu, au contact de nos froids rubans d’asphalte, l’eau de pluie en surfusion et instable se transformera en une couche de glace, d’autant plus dangereuse que l’absence de bulle d’air ou de poussière qui trahirait sa présence la rend transparente, et quasi-indécelable au volant… ou au guidon. L’une des plus grandes craintes du motard avec l’aquaplaning* est donc en passe d’être signalée en temps réel, ou plutôt devrait-on dire le "risque" de verglas.

    Déposé sur la route, ce vernis transparent et résistant aux UV, pour lequel Eurovia recevra le prix de l’innovation au salon des maires de France fin novembre, devient en effet rouge à 0°C.

    Il n’est pas question d’en recouvrir toutes les routes de France, seules les zones à risques telles que les portions routières sous grands vents, les talus exposés plein nord et les viaducs en bénéficieraient.

    Le signalement prendrait la forme d’un dessin en forme de flocon se révélant sur la chaussée, la bande d’arrêt d’urgence, les côtés. La firme vise une application immédiate pour les services type DDE,

    En espérant que ce système vienne compléter le dispositif d’alerte orange de Météo France sur les départements (et la lecture des panneaux de signalisation !), d’autant que nous n’avons pas, pour la plupart d’entre nous et contrairement aux automobilistes, d’indication sur la température extérieure et a fortiori au niveau du sol.

    *quoi que niveau perte d’adhérence, voire glissade, si l’on passe sur le marquage au sol ça peut être "sympa" aussi, dans une moindre mesure évidemment.

    source: liberation.fr seul site français généraliste à en parler, et je dis cela en dehors de toute considération politique ayant une approche très FFMCienne (un corporatisme assumé mais juste) de la chose.

    credit photo: Yamaha BT 1100 Bulldog, photo constructeur.

  • Yamaha sur Second Life pour le Tokyo Motor Show

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    Second Life (de LindenLab) et ses neuf millions d’utilisateurs (dont 500.000 Japonais), le plus grand monde virtuel du Net avec ses propres personnages, maisons, véhicules, commerces, manifestations, partis politiques, accueillent la marque aux trois diapasons pour une opération de promotion dont elle attend des retombées bien réelles. Un coup de pub fort original dans le monde des deux-roues.

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    Cette véritable campagne se traduira par la création d’un grands stand tel qu’il existe au salon du Tokyo Motor Show. Les 18 modèles qui y seront présentés, seront donnés gratuitement aux 100 premiers résidents pour être pilotés comme bon leur semble à travers toute la communauté.

    Pour ma part je préfère les sensations "pour de vrai", mais je sais que certain(e)s y trouvent un vrai duplicata de la vie réelle. Attention de ne pas devenir accro, les modéles présentés sont bien modélisés, même si c’est loin de valoir une console Next Gen façon Xbox 360 ou PS3.

    Mais contrairement à ces dernières, Yamaha vous réserve des exclusivités: vous y trouverez même le Tesseract et pourrez être le premier ou la première à le chevaucher, alors que, pauvres de nous, on bave devant !

    Dernière précision, la campagne débute le 24 Octobre.

    Crédit photos: photos constructeur.

  • Vous roulerez en Kawasaki… si ce n’est pas déjà le cas.

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    Si vous comptiez changer prochainement de monture ou que vous hésitiez à franchir le pas, voilà qui pourrait bien donner à votre acte d’achat le coup de pouce qu’il fallait. Avec l’arrivée des nouvelles versions dans les concessions, Kawasaki France pratique des tarifs promotionnels sur les sportives, roadsters et trails de 2007. Tout cela dans un marché hexagonal favorable à la firme de Kobe. Mais nos remarques sur le MotoGP ne sont pas loin…

    Dans le cadre, intitulé façon gimmick publicitaire, des offres Karrément immanKables (arf, vous étiez prévenus):

    Les sportives Ninja Z-10R et ZX-6R (que nous avions essayée) sont proposées respectivement à 11999 et 9999€  au lieu de 13799 et 10999 €. La (pas tout-à-fait) trail avec sa tête de fourche façon droïde, j’ai nommé la Versys, est à 7099 € et 7699 € pour la version ABS. 

    Le roadster eR6n est vendu à 5499 € au lieu de 5999 € sans ABS, et avec, il est à 5999, soit 600 € de moins qu’en temps normal. Sans compter des offres spécifiques sur les accessoires.

    Toutes… sauf la belle Z750 (voir photo) qui n’a pas besoin de mesure incitative à l’achat, merci. Avec 614 immatriculations au mois de septembre, contre 434 au Yamaha Fazer 600, elle se paie même le luxe d’être en tête des ventes devant la Honda Varadero sur les neuf premiers mois de l’année.

    Et dire que certains s’étonnaient en début d’année de retrouver une paire de pilotes français* chez les verts en MotoGP, du moins en début de saison.

    De quoi vérifier qu’une carrière en sports mécas est souvent la rencontre d’un talentueux pilote, de poches pleines, d’une bonne moto/voiture, de bons pneumatiques… et d’un marché intérieur attractif.

    Mais comme dit le slogan de la marque: Let the good times roll…

    *Randy de Puniet et Olivier Jacque pour ne pas les nommer.

    crédit photo: photo constructeur.

  • Can-Am Spyder, la production prend la route

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    Il y a un mois, date pour date, un vendredi 14, sortait de la chaîne de montage à Valcourt au Québec, le premier Spyder de la production courante. Les premiers clients en Amérique du Nord devraient donc pouvoir prendre bientôt la route au guidon de leur nouvelle acquisition.

    Ayant eu la possibilité de rouler quelques minutes sur une route secondaire avec le Spyder, mes impressions sont, toutefois, quelque peu tièdes. L’objet en soi ne manque pas d’allure, même si l’abondance de plastique lui donne des airs de jouets dispendieux plutôt que d’un dévoreur d’asphalte. La prise en main, le confort et la puissance sont au rendez-vous, mais ma trop courte balade ne m’aura pas permis de me sentir à l’aise à son guidon. Les habitués de quads/VTT ou de motoneiges seront plus à l’aise, rompus aux déhanchements et transfert de masse requis pour ce type de machine. Voilà bien ma principale inquiétude, et je dis inquiétude parce qu’à haute vitesse, ce désagrément de conduite inhérent au Spyder pourrait surprendre un néophyte, qui sur la route, trouvera sa marge de manoeuvre moins confortable qu’un motoneigiste dans un vaste champ enneigé.
    Pour qui la lecture de l’anglais est affaire classée, ce blog d’un enthousiaste est de bonne compagnie, même si en ce moment, les mises à jour s’espacent un peu.

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  • Accord entre Voxan et Zongshen ?

    Logo_voxan_basse_df Du nouveau du côté de chez Voxan ? Dans notre dernier article, nous vous expliquions que Voxan devait restituer ses locaux à la ville d’Issoire à cause d’une décision de justice. Serait-ce la fin de cette marque française?

    Pierre-Laurent Chauvet, directeur général de la SIDAM qui importe des motos chinoises, annonçait qu’il y aurai une importante annonce concernant Voxan courant avril. Apparement, l’entreprise d’Issoire serait en phase de signer un accord de production avec Zongshen, une des plus grandes entreprises chinoises  productrice de motos.

    De plus, la SIDAM s’occupe déjà du réseau de distribution de Voxan et de sa commercialisation depuis 2006. De quoi faciliter l’accord si jamais il est signé.

    Est-ce que Zongshen serait le sauveur de Voxan ? Espérons quand même qu’ils trouvent une solution…
    Mais est-ce que Voxan sera toujours Made In France ?

    Source : www.motomag.com

  • LNLM : Magasin pour femmes sur Paris

    Lnlm  Mesdames (Mesdemoiselles), vous habitez Paris mais vous ne savez toujours pas où trouver vos vestes de moto ou scooter?
    Après l’article sur la combinaison Yu Lady, voici que je vous présente LNLM (Hélène Elle Aime), un magasin spécialisé dans les vêtements de moto et scooter pour femmes.
    Les types de vêtements de moto se décomposent selon quatre catégories : urban, racing, biker et classic et tout cela s’étend sur 110m². Vous y trouverez un large choix de marque parmi lesquelles Macadam, Shark, Furygan…

    Le petit plus de ce magasin, c’est son dépôt-vente. En effet, si vous voulez vider vos tiroirs où qu’une veste ne vous plait plus, vous pourrez la déposer dans ce dépôt.

    Voici l’adresse du magasin:

    LMLN
    245 rue Lecourbe
    75015 Paris
    N° de téléphone : 01.45.33.00.67

    Hélène sera heureuse de vous accueillir du lundi au samedi de 10h à 20h.

  • Année 2006 mitigée pour BMW France

    First_bmw_logo Malgré une hausse de leur chiffre d’affaires par rapport aux autres départements, BMW Motorrad France affiche un résultat mitigé. Notons tout de même un bénéfice avant impôt de 66 millions d’euros en 2006, ce qui représente une hausse de 10% par rapport au résultat 2005, qui était de 60 millions d’euros. Ainsi pour la première fois, le cap des 100 000 motos vendues a été dépassé cette année (100 064 motos dont 7479 en France) ce qui est un résultat satisfaisant pour le groupe BMW.

    Seulement, la branche française de ce groupe rencontre une baisse du nombre de motos vendues passant ainsi de 8034 motos à 7479. Cela représente une baisse de 6,91%, néanmoins il s’agit de la seconde meilleure année de BMW France depuis 10 ans.
    La meilleure vente aura été la BMW R1200RT avec 1972 motos vendues suivie de la R1200GS avec 1360 motos vendues.

    Espérons que 2007 sera une meilleure année pour BMW France avec la sortie de la K1200R Sport, la GX650 ou encore la Megamoto…

    Et vous chers lecteurs du Blog Moto, pencherez-vous pour une BMW cette année?

    Source: Moto Station

  • Restitution des locaux de Voxan

    Logo_voxan_basse_df  C’est dans le Puy-de-Dôme à Issoire que Voxan avait établit son usine de production de motos de grosses cylindrées françaises.
    C’est en 1995 que cette entreprise a été créée et elle a souvent connu les déboires.

    Mais d’après la Gazette des Communes, cette entreprise connait encore quelques difficultés, c’est donc pour cela que le conseil municipal d’Issoire a décidé "à l’unanimité, de décider de suspendre toute aide publique à l’entreprise Voxan". Rappelons qu’en 2001, Voxan était en redressement judiciaire et que c’est Didier Cazeaux qui en a repris la tête. Seulement les ventes ne décolent pas, 108 ventes l’an dernier, 287 en 2005, 299 en 2004, 126 en 2003, pas de quoi redresser l’entreprise. Cette année, l’objectif serait de vendre 400 motos, espérons qu’ils arrivent à l’atteindre…
    Toujours d’après la Gazette des Communes, il y a des rumeurs comme quoi des chinois voudraient reprendre l’entreprise, je ne sais pas pour vous chers lecteurs du Blog Moto mais moi ça me fait mal au coeur de lire ça…

    Source : www.lagazettedescommunes.com