Vue sur T3 et Cafe racer Society, les deux blogs se bornent à constater qu’un génial bricoleur a dans son garage assemblé une moto dont le cadre est inspiré du célèbre logo de la marque anglaise (et propriété du groupe indien Tata), sans malheureusement fournir de renseignements sur le moulbif. Il est clair que trouver un moteur de cruiser dans ce logo a la gloire de l’automobile de luxe, bien loin de la moto donc, a de quoi surprendre. C’est oublier que Jaguar est à l’origine la SSC ou Swallow Sidecar Company et qu’elle assembla des… side-cars jusqu’en 1926, devenant la Swallow Coachbuilding company. Rebaptisée ensuite en S.S. Cars Ltd la compagnie changera de dénomination commerciale en raison des connotations lugubre de SS, les unités nazis de sinistre mémoire pour acquérir son appellation actuelle, en hommage au célèbre félin.
Catégorie : Actualités entreprise
La CBR 1000 RR se remonte le moral en inspirant sa consœur Civic.
La belle (oui, j’assume) CBR 100 RR, connait sur ses premiers modèles un petit ennui en France nécessitant son rappel, en raison d’un collier de serrage de la durite de sortie de pompe à eau qui se doit d’être remplacé. D’ailleurs, les propriétaires de ces limités numéros de séries, vont en être informé par courrier. Un léger contretemps sur la route toute tracée de sa dernière superbike vers le succès commercial, et qui n’a pas empêché le blason ailé d’annoncer une série spéciale et numérotée de sa Civic Type S intitulée Fireblade Replica. Au menu, ont été revus: le bas de caisse, la ligne d’échappement, les jantes (18 pouces), les tapis de sol et rétros. Pour un résultat qui, personnellement, me laisse froid, contrairement au deux-roues qui est sensé l’avoir inspirée. A cette puissance là (140 CV), et à ce prix là (25.190 €), chiavi in mano – clés en main – on regretterait presque la Citroën C2 Brutale.
Si vous souhaitez transformer un jour votre R1 en… C1.
C’est amusant ce que l’on peut (re)trouver lorsque l’on s’y attend le moins: A la recherche d’une ZX 10R dans mes fichiers images, suite à la colle posée par Jacques, cela m’a permis d’exhumer ces photos d’un sujet que je devais traiter il y a quelques semaines. Bref, on s’en fiche. Voici donc le Kawi Bunga de Rocketshields, une coque escamotable en fibre de verre si vous souhaitez vous protéger des frimas de l’hiver ou des orages d’été. L’entreprise pousse le masochisme et l’auto-dérision si loin qu’elle recommande son achat pour lutter contre… le vol, en raison de son extrême laideur. Aucune indication sur le prix, mais l’histoire est assez sérieuse pour qu’autobloggreen lui consacre un papier.
Harley-Davidson et MV Agusta convolent pour le meilleur et pour le pire
C’est officiel depuis vendredi dernier, le 11 juillet 2008, Harley-Davidson s’est porté acquéreur de MV Agusta au prix de 70 millions d’euros. Selon les dires de Jim Ziemer, chef de la direction de Harley-Davidson, cela permettra à la compagnie de Milwaukee de poursuivre sa croissance en Europe, profitant d’un réseau et d’une bannière déjà bien implantés. Aucun changement à la direction de MV Agusta n’est pour l’instant envisagé.
Cela dit, il est maintenant intéressant de spéculer sur l’avenir des marques impliquées dans cette transaction. Harley-Davidson est un géant, ayant vendu plus de 300,000 motos à travers le monde en 2007, incluant la Chine où il cherche aussi à s’implanter. De leur côté, MV Agusta, Gagiva et Buell, malgré de confortables niches, sont plus fragiles en terme de stabilité, voire de pérennité.
Difficile de croire que seul l’espace en concessions sera partagé. L’expertise se trouve maintenant diversifiée, et la compagnie Harley-Davidson ressemble un peu plus à ses concurrents japonais dans son offre motos, avec de petites cylindrées (Cagiva), des routières (Harley), des citadines (Buell) et des sports, supersports (MV Agusta).
Reste à voir si cette famille reconstituée, principalement pour des raisons financières, saura mettre en commun forces et expertises.Ce mariage va forcément demander l’abnégation de l’un des partenaires, et comme la dot de la mariée tient plus à son charme et son sex-appeal qu’à son portefeuille, il est facile d’imaginer qui devra faire preuve d’humilité. Mais est-ce que MV Agusta saura ou voudra laisser le nouvel époux choisir l’entrée, le plat principal et le vin?
Et puis, il y a le cas de Buell, le fils rebelle qui, même s’il pige encore dans le caveau familial, va se servir ailleurs et forge de plus en plus sa propre identité.
Seul le temps dira si cet ensemble hétéroclite réussira à bien fonctionner ensemble.
Je reprends les images déjà publiées alors que la rumeur prenait forme, et en ajoute une petite nouvelle. Alors, après King Tamburini et Dyna Brutale, voici le petit dernier, Fireboltor.
Ouverture du Musée Harley-Davidson
Le grand jour est arrivé, ce matin à Milwaukee au Wisconsin, le nouveau musée Harley-Davidson ouvrait ses portes au grand public.
Situé sur les berges sud de la rivière Menomonee en plein quartier industriel en mal de revitalisation, l’édifice de 12000 mètres carrés tend la perche au passé de l’endroit avec son allure d’usine en brique rouge, de verres et de métal.
Mais c’est bel et bien d’un musée qu’il s’agit, voué à la gloire de Harley-Davidson.L’expérience débute non pas à la porte, mais dès le stationnement, adapté aux motos avec ses 18 mètres de large. Les autres véhicules se voyant repoussés en périphérie.
Passé l’entrée principale, le spectre fait XR-750 d’Evel Knievel nous accueille. Un peu plus loin, on découvre que cette intrigante silhouette au pied de l’escalier est l’ombre projetée de la célèbre Harley du cascadeur, suspendue dans les airs, figée dans un dernier saut.
Le joyau de la place est le fameux No 1, le premier Harley construit par William Harley et Arthur Davidson en 1903 dans leur petit hangar de 3 par 5 mètres.
Évidemment, toutes les Harley ou presque construite depuis 1915 s’y retrouve, un visionnaire ayant eu l’idée de conserver une moto de chaque modèle sortant de la chaîne de montage. Ce qui fait que la majorité des 400 motos exposées sont des originales n’ayant jamais roulé ou si peu.Comme tout bon musée moderne, les bornes interactives, les présentations multimédias et la possibilité de se mettre au guidon de bon nombre des classiques Harley font partit de l’expérience. Mais avec son demi-million de visiteurs attendus chaque année, qui voudrait savourer chaque instant devrait soigneusement choisir la période de l’année pour s’y rendre.
Construit au coût de 75 millions de dollars par et à la seule gloire de Harley-Davidson, le musée aura besoin de tous ses visiteurs pour ne pas devenir un éléphant blanc, pour cette compagnie fragilisée par la situation économique précaire aux États-Unis, par le vieillissement de sa base et son impossibilité, du moins jusqu’à maintenant, d’offrir des motos répondant aux aspirations d’une clientèle plus jeune.
Une bonne initiative de celui chez qui on ne « viendra plus par hasard ».
Cela vous dit quelque chose cette référence à l’ancien slogan publicitaire ? Notre ami et visiteur du matin Mike Werner se fait l’écho sur son blog Bike in the fast lane, de l’heureuse initiative de la compagnie pétrolière Total qui depuis fin avril et pour une durée de 6 mois, met en place, dans la station service de l’Isle Adam dans le 95, sise 44 Avenue de Paris, un espace dédié aux deux roues. Avant de le généraliser, si le concept est couronné de succès; comprenez: si les sesterces des riders et bikers rentrent dans leurs poches. Voyons d’un peu plus près ce que le groupe met en avant pour nous séduire, et tenter de dégager les mesures gadgets et cosmétiques, de l’essentiel.
Remarquons d’entrée que la firme n’est pas fermée à toute amélioration puisqu’elle parle de "station prototype deux roues", et que le motard pourra apporter ses remarques afin d’améliorer l’offre de l’entreprise. En principe tout au moins.
Cette pompe, conçue pour les deux roues, est équipée d’un pistolet adapté. Le bec plus court assure une meilleure maniabilité et limite les risques de dégradation pour la carrosserie (!?). La visibilité pendant le plein et la récupération des vapeurs d’essence sont renforcées.
La seule bonne nouvelle à mon avis est l’accrochage situé au milieu de la pompe et qui permet au motard de se servir tout en restant assis (diminuant pour nous, et pour eux, le temps de service).
Toujours selon Total, "Vous trouverez dans cette pompe du SP95, le carburant le mieux adapté aux deux roues. Les constructeurs préconisent l’utilisation de ce carburant pour la grande majorité des véhicules immatriculés en France. Ce volucompteur est associé à un paiement par carte, préféré par la majorité des motards."
Pour un meilleur confort, Total met aussi à notre disposition un porte casque afin de pouvoir poser celui-ci en toute sécurité, sans risque de chute et ainsi avoir les mains libres lors du ravitaillement. Sympa.
S’ajoute à cela un espace lavage adapté aux deux roues: Une pression de lavage adaptée (mouaif, ça se règle souvent chez les nettoyeurs haute pression), une lance de lavage plus courte et plus légère (là, à part une lance coudée, ou recourbée, je ne vois pas l’intérêt), des cabines étanches pour les casques, gants, sacs à dos (efficace). Si vous êtes dans le coin, c’est à votre tour d’essayer mesdames, mesdemoiselles, messieurs.
Au-delà de la mesure purement commerciale (les deux-roues sont une population en constante augmentation en France, et pas seulement), cela fait plaisir de voir que l’on s’intéresse à nous.
Cadillac signe un concept bike hybride éthanol/électrique.
C’est dans Winding Road le magazine auto en ligne, dont nous vous avions déjà parlé au sujet des trikes en tout début d’année, auxquels il consacrait un dossier complet (du moins dans l’optique d’un caisseux). Comme quoi cela vaut la peine d’être fidèle aux classiques même sur quatre roues, on y découvre des choses introuvables ailleurs, même dans les magazines moto. Et il est bien là le problème. Car le concepteur a beau être une célébrissime division de General Motors, on reste en face d’un chopper. On dirait juste qu’ils ont recyclé les miroirs de courtoisie de leurs sedan pour en faire des rétros, à part ça tout est correct. Le concept sera dévoilé en novembre au Los Angeles Auto Show.
Et c’est Jim Taylor, le patron de Cadillac lui-même qui en a réservé la primeur à D Business, source première de la news. D pour Detroit, motortown étant la ville historique des Big Three, qui ne sont pas encore mortes visiblement, vu la façon dont leur potentiel créatif s’exprime: Marre des concept bikes gaulées comme les Vélib’ parisiens !
Personnellement, je trouve que le blason un peu vieillot de la marque lui donne un cachet original et unique.
Le constructeur allemand MZ cesserait ses activités dès la fin de l’année.
Contrairement aux espoirs que son repreneur malais Hong Leong Industries Berhad* avait placé en lui en le rachetant le 1er septembre 1996, le constructeur historique allemand MZ (acronyme pour Motorradwerk Zschopau) n’a jamais depuis retrouvé sa rentabilité**. Son usine, sise à Zschopau en Saxe donc, devrait mettre la clé sous la porte dès le 31 décembre prochain. De drôles d’étrennes pour une firme produisant des motos depuis 1922, sous le nom de DKW à l’époque, des bécanes pittoresques ou innovantes, mais toujours chéries par leurs propriétaires. L’occasion pour nous de revenir sur une marque, par ailleurs amplement traitée sur notre blog par nos prédécesseurs. Promis, on va faire en sorte que cela ne ressemble pas à un éloge funèbre.
Elle est pas belle cette MZ SFx ? Si c’est pas triste de voir une telle entreprise disparaître… bref. Historiquement, la marque est issue du démantèlement de DKW qui s’était fait connaître pour ses moyens de production en avance sur son temps, en étant notamment la première, en 1926, à utiliser une ligne de production automatisée.
Mais lorsque les outils de production et les locaux sont rachetés, le nouveau propriétaire n’est pas en droit d’utiliser le nom original MZ (qui signifie "usine de moto de Zschopau", de ce côté-ci du Rhin). Rusé et bien décidé à contourner cette interdiction, celui-ci rajoute alors une voyelle et la société se présente sous le nom de MuZ: Motorrad und Zweiradwerk GmbH (usine de motos et de deux-roues, le GmbH renvoyant à la forme juridique de la société).
L’entreprise perdra à nouveau le u plus tard et redeviendra pour plus de lisibilité "MZ", à l’exception de son site internet qui garde dans son adresse url des traces de ce passé. Côté technique, l’ingénieur moteur Walter Kaaden permettra par des percées originales, telle que la distribution rotative***, à cette entreprise est-allemande de s’aligner bon an mal an, en compétition vitesse dans les années 60. Cependant cette inventivité ne permit pas à la RDA d’y briller pour autant.
Mais la firme saxonne est surtout réputée pour son emploi, son abus plutôt, des monocylindres à 2 temps (bonjour le brrrrrrrrruit de petite tronçonneuse !), qui équipera ses motos à vocations surtout utilitaires jusqu’à la sortie de l’entreprise du glacis soviétique, après la chute du mur de Berlin, en 1989.
Dés son ouverture à l’Ouest, l’entreprise diversifiera ses modèles et motorisations, en se fournissant en mono chez Yamaha, pour ses modèles Mastiff, Skorpion et Baghira. Ensuite, grâce à Hong Leong, dont l’apport ne se limitera pas qu’au domaine financier comme on le voit, MZ produira des twins 4 temps sur les modèles 1000S.
Une sportive qui ravira des succès d’estime et des prix, notamment pour son design… particulier, dont la silhouette est directement inspirée de celle des bombardiers et chasseurs furtifs. Notez que la Reventon de Lamborghini, qui est elle aussi une évolution du célèbre et si dénigré edge design (sans l’avouer), revendique aussi cette filiation/inspiration du F117 et du B2 de l’US Air Force.
Nationalisée en 1948, privatisée en 1991, la firme MZ périclite ces dernières années jusqu’à sa très probable chute finale. Pour une description historique exhaustive, et une étude complète de ses gammes, qui vous ravira si vous êtes un aficionado de la marque et un curieux des motos, ou provoquera chez vous d’irrépressibles bâillements dans le cas inverse, je vous conseille la lecture de ce site.
*je sais bien qu’une société d’une telle nationalité et intervenant sur le marché des motos peut prêter à sourire, mais n’oubliez pas que Proton, qui a racheté Lotus, a été un participant malheureux au MotoGP, associé il y a quelques années avec l’ancien champion du monde Kenny Roberts (père), témoignage d’un savoir-faire réel.
**mais en a t’il jamais eu une ? Porté à bout de bras par un régime communiste n’ayant jamais érigé le rendement (et la qualité industrielle) en dogme, c’est le moins que l’on puisse dire, on est en droit de se poser la question.
***à la place d’avoir des clapets, un disque tourne sur le côté: probablement le meilleur système d’admission pour un deux-temps, mais je ne suis pas mécano.
De nouveaux habits pour une romance prolongée jusqu’en 2010.
Jusqu’à cette échéance ce sera la Saint Valentin tous les jours entre son pilote éponyme et la firme aux diapasons. Même si l’on sait très bien que non, les relations tumultueuses entre le pilote et Yam en 2007 le prouvent. Mais son prénom, associé à la célèbre fête de février, nous invite au romantisme candide. Selon une dépêche Reuters datée d’hier, le leader du championnat MotoGP Valentino Rossi* a en effet prolongé son contrat avec Yamaha pour deux années. "Yamaha m’a dit de décider combien de temps je voudrais prolonger, et j’ai décidé que ce serait deux ans", a déclaré l’Italien, cité vendredi par le quotidien sportif ibérique Mundo Deportivo.
Cela changera de Marca qui écrit souvent n’importe quoi en sports mécas. Et Rossi ajoute "J’ai voulu attendre et voir ma motivation à continuer, et voilà ma décision." On ne connaît pas encore le montant financier de l’accord. Après avoir piloté une Aprilia et une Honda, le septuple champion du monde était passé chez Yamaha en 2004. Pour mémoire, on l’a aussi dit partant pour Ducati, sans que Vale démente, assurant qu’il serait fier d’un challenge 100% italien.
Mais ça, c’était quand les Rouges de Borgo Panigale étaient au firmament de la discipline reine de la vitesse, ce qui est beaucoup moins le cas cette année. Une petite photo sympa de Vale bien entouré de demoiselles visiblement de grande taille, même s’ils elles sont en talons haut. Comme si les pilotes n’étaient pas déjà assez bien accompagnés sur les grilles de départ.
Vale n’est pas spécialement grand lui-même (1,80 m, taille moyenne pour sa génération). Cependant, comparé à ses collègues de travail – Pedrosa par exemple mesure 1,58 m – c’est un géant. A part ça, le pilote de 29 ans est en Espagne pour le GP de Catalogne ce week-end.
Il est en tête du championnat du monde des pilotes MotoGP devant les Espagnols Dani Pedrosa et Jorge Lorenzo et espère réaliser la passe de quatre. En ce début de la coupe d’Europe des nations, il en a aussi aussi profité pour afficher le temps d’un GP son soutien à la Squadra Azzura, comme il l’avait fait il y a deux ans en s’exhibant avec le maillot du Maccelaio** Materrazzi, alors bourreau des espoirs de l’équipe de France en finale de la coupe du monde.
Une nouvelle livrée donc, alors même que le paddock bruisse d’une rumeur de désengagement de Fiat en 2009, le constructeur italien n’ayant pas renouvelé son contrat: volonté réelle de couper les ponts ou poker menteur en vue de faire baisser le coût de son sponsoring ?
*s’il y a des Wikipediens parmi vous, qu’ils enrichissent la page de Vale en Français bon dieu ! Son équivalent anglais la fait passer pour rachitique à côté.
**le boucher, un des surnoms de Materazzi en Italie, par les opposants à l’Inter surtout. Enfin bref, de toute façon le foot et moi ça fait deux.
credits photos essais: motoblog.it et motogp.com
Un GPS Tom-Tom Rider offert pour toute Kawasaki 1400 GTR achetée.
Jusqu’à la fin août, la firme de Kobe, qui « a pensé aux motards amateurs de voyages au long cours », offre un Tom-Tom Rider d’une valeur de 640 € à tout acheteur d’une 1400 GTR, qui est déjà une routière fort bien équipée de série. Cette offre valable chez tous les concessionnaires du réseau français de Kawa, comporte le GPS ainsi que son support, GPS qui intègre en plus la cartographie européenne. A comparer avec les 15 799 € de la bécane, mais ça vous permettra au moins de négocier autre chose avec votre concess’. C’est aussi un moyen de civiliser et policer un peu plus cette GT Sport qui abrite le redoutable moulbif de la ZZR 1400.
Mais commercialement c’est surtout une pierre dans le jardin de Honda avec sa Pan European et dans une moindre mesure de Yamaha avec sa 1300 FJR. Pour terminer et pour vous faire une idée, un petit lien vers le GPS modèle Rider en question, qui se veut "orienté moto."