La GOLDWING, on ne la présente plus. Polyvalente, sportive à ses heures et plus si affinités, ce phénomène se suffit à lui même pour batir sa réputation et écrire sa légende.
TRIUMPH ambitionne néanmoins de lui tailler des croupières. Sur base de ROCKET III, ce qui, au passage, ferait jouer la machine aussi dans la cour HARLEY.
Face à HARLEY, et à la GOLD, cette TRIUMPH aurait à coup sûr de quoi étonner. Le challenge mérite d’être relevé.
SOURCE: www.raptorsandrockets.com
Du côté de BIRMINGHAM, on compatit à la douleur des gens fortunés qui ne s’y retrouvent guère dans les productions de MILWAUKEE, n’apprécient pas les engins sortis de BORGO PANIGALE alors que HOLLISTER’S BIKES, c’est du dandy déplacé. Fort heureusement, pour ces inconsolables, il y a CONFEDERATE, qui a ajouté une machine infernale à ses propositions iconoclastes…
Déjà, il y avait la F131 Hellcat. Maintenant, il y aura aussi la B91 Wraith. Un V Twin de 1 600 cm3, 120 ch et vogue la galère dans un style dépouillé et néo-rétro, qui ne fera pas oublier, néanmoins, le ticket d’entrée: 44 000 euros…
SOURCE: www.motoblog.it
Les Allemands de NEANDER MOTORS viennent peut être d’ouvrir sérieusement la voie de la moto au diesel.
Ce type de motorisation vient de faire tomber un tabou, celui du sport automobile de haut niveau, avec une victoire au MANS. Voici qu’il s’attelle à conquérir une nouvelle citadelle, le deux roues. Et cette réalisation permet de penser que la mission n’est guère impossible…
NEANDER MOTORS n’est pas peuplé de gens illuminés mais de personnes très sérieuses. Ce moteur diesel, ils l’ont fabriqué eux-mêmes, suivant les contingences de la moto. Pas de vibration et encombrement minimum ? Voila leur twin mazouté de 1 400 cm3, servi avec une transmission à six rapports, en guise de réponse.
100 ch, un couple de 200 Nm délivré à quelques 2 600 tr/mn, et le 0 à 100 en quatre secondes. Cette perf, grâce à un turbo intercooler salvateur. Le filtre à particules est au programme. Reste le poids: 310 kgs, avec les pleins.
Cette moto sera produite en seulement soixante exemplaires que seuls des privilégiés pourront se payer. Certes. Mais elle se veut aussi comme le début d’une catégorie mazoutée. 220 km/h et une conso de 4,5 l au 100, ça peut effectivement faire réfléchir.
Il reste à renverser les préjugés, car au niveau de l’aspect, le pari est déjà presque gagné.
SOURCE: www.neander-motors.com
Les gens de VANCE and HINES sont tellement accros aux accélérations à faire rallonger les bras, qu’ils ont décidé de diaboliser le V-ROD de l’honorable maison HARLEY.
Ces américains excellent dans les compétitions DRAGSTER Outre-Atlantique, et se sont creusés les méninges pour faire de ce custom US, une terreur des carrefours.
Pour ce faire, ils ont greffé un turbo à la mécanique de MILWAUKEE. Un turbo, par ailleurs, connu…
C’est l’étiquette SPRINTEX que l’on retrouve encore sur la soufflette.
Le résutat en est un accroissement de la valeur de couple de 40% et une puissance globale portée à 152 ch.
Durée du montage plus ou moins huit heures, et, grâce à la fée électronique, un réglage aux petits oignons qui ne nécessite rien d’autre comme ajout de pièces ou d’adaptations.
Pour les amateurs, il faut faire venir tout ça des States. Mais le jeu semble en valoir la chandelle.
SOURCE: www.vhmotorsports.com
Le film GHOST RIDER arrive à peine dans les salles obscures que, déjà, il suscite des vocations.
Pour mémoire, GHOST RIDER est le héro maudit d’un fanzine de la constellation MARVEL. L’histoire d’un homme qui a passé un pacte avec un personnage diabolique pour sauver son père, pacte qui n’a pas été honoré…
Et pour se venger, Johnny BLAZE n’a pas eu froid aux yeux. Il est devenu tout feu tout flamme, chevauchant une moto étincelante, symbole du brandon de discorde. Tel le chevalier de l’apocalypse, le voilà parti batailler contre des êtres maléfiques. Tout un programme.
C’est Nicolas CAGE qui s’y colle pour l’opus cinématographique. Mais pour revenir à notre allumé ci-dessus, il s’agît d’un rider pris sur le vif à l’International Harley Davidson Festival organisé près de BUDAPEST. Hongrois rêver…
SOURCE: www.news.motorbiker.org
La firme italienne, dont les débuts remontent à 1925, semble bien être sortie du marasme dans lequel elle s’était enfoncée depuis la fin des années 80.
Ayant retrouvé ses racines familiales après un passage dans le giron de DUCATI, le blason nous sort ce CORSARO du plus bel effet. Et il est disponible maintenant, en FRANCE…
MOTO MORINI a appliqué à son CORSARO une recette qui a fait le succès des machines sorties du côté de BOLOGNE. Un cadre treillis et un gros Twin. En l’occurrence, un 1 187 cm3 maison catalysé et à injection, en mesure de délivrer 140 ch en version libre.
Un couple de 123 Nm à 6 500 tr/mn, un poids de 198 kgs, le CORSARO joue sans complexe la carte du roadster musclé.
Côté finition, il y a ce qu’il faut, fourche inversée Marzzochi de 55 mm, roues alliage léger BREMBO qui s’occupe aussi du freinage: double disque 320 mm quatre pistons à l’avant et simple disque 220 mm double pistons à l’arrière.
CORSARO s’en va donc se frictionner avec les Speed Triple, FZ1, Mostro S4S, Super Duke et autres BUELL. Elle devra compter sur son charme plus que sur ses tarifs; 12 590 euros en noir ou rouge, 100 euros de plus 
pour l’avoir en jaune.
Dans l’avenir, MOTO MORINI envisage de sortir un Scrambler et de proposer un Twin à 950 cm3.
DUCATI n’est pas un nom qui apparaît seulement sur les motos.
Luttant pour le titre de champion des produits dérivés avec HARLEY, le blason s’est parfois retrouvé fort loin de son domaine de prédilection. Du parfum aux fripes en passant par les cabas et le jeu virtuel, le nom de DUCATI a essaîmé.
Mais cette fois, c’est bien d’un rapport direct avec la pratique du deux roues qu’il s’agît. Avec cette paire qui botte…
C’est DAINESE qui a mis tout son savoir faire en la matière pour ces bottes du plus bel effet. Enveloppe cuir doublée de Lorica avec insert souple sur le coup de pied et articulations au niveau des malléoles pour faciliter les mouvements. Sans oubliers les sliders interchangeables en titane.
De couleurs rouge, gris et noir, ces bottes se trouvent à 318,94 euros, dans le réseau DUCATI.
SOURCE: www.moto-station.com
Les DUCATI GP6 se sont présentées sur la grille de départ du MUGELLO dans une superbe livrée néo-rétro, à la fois sobre et chaleureuse. Même les lettres DUCATI avaient retrouvé leurs caractères d’antan.
Pourquoi cette démarche ? Pas seulement parce qu’il fallait marquer le coup à la maison, comme beaucoup d’autres pilotes transalpins l’ont fait dans leurs catégories respectives ce week-end là. Dont ROSSI lui même.
Pour DUCATI, il fallait aussi commémorer, comme il l’avait déjà fait en 2001 lors de l’épreuve SBK d’IMOLA. Voici les raisons…
En 2001, en effet, Troy BAYLISS arborait une moto grise en lieu et place de sa 996 habituellement rouge. L’occasion, alors, de célébrer la victoire de Paul SMART aux 200 miles d’IMOLA.
Pour le MUGELLO, il s’est agît de se féliciter des 80 ans d’existence du blason, de se rappeler qu’il y a 60 ans, la première moto voyait le jour, et que la distribution desmodromique souffle ses 50 bougies.
Comme tout ça se passait en même temps que le TT sur l’île de MAN, l’occasion était trop belle de présenter la GP6 aux couleurs de la 900 SS qui l’avait enlevé en 1978 avec Mike HAILWOOD.
On a le sens de la fête à BORGO PANIGALE.
SOURCE: www.motograndprix.it
C’est parti, du côté de MILWAUKEE, on a commencé les travaux du futur musée HARLEY DAVIDSON.
Et comme pour marquer l’originalité du projet, ce n’est pas un premier coup de pelle qui a été donné, mais un burn rocailleux exécuté par une XL883R Sportster…
Les inconditionnels n’ont pas voulu rater l’occasion d’immortaliser l’événement et se sont employés à ramener un bout du sol sacré des riders.
En 2008, ils pourront se mettre en selle et se lancer pour le pélerinage. De quoi susciter des vocations ?
SOURCE: www.harley-davidson.com
La déco du casque du champion au MUGELLO avait quelque chose de particulier.
Pas de soleil ou de lune, mais des carrés de bande dessinée. Mais pas n’importe laquelle…
Cette bande dessinée s’appelle "Quarantaseï" et relate la vie de Valentino.
Pas seulement celle des courses, mais aussi celle de la ville. Avec ses aventures. Et pour ce faire, c’est Milo MANARA qui s’y colle, lui qui est aussi connu pour ses oeuvres illustrées érotiques. Ca promet !
Les feuillets paraîtront dans le magazine "Rolling Stone", édition transalpine, et le livre sera bientôt en vente. Il comportera quarante six pages, comme de bien entendu.
SOURCE: www.milomanara.it
