Catégorie : Concept Bike

  • Des roues sans moyeu pour le jeune concept quad C-naptiK.

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    Cela fait quelque temps que nous ne vous avions plus reparlé du Michelin Challenge Design, depuis le Polaris Revolver (ici et ) en fait. Coup sur coup viennent d’être mises en ligne des études très intéressantes réalisées par les concurrents, sur le site américain du manufacturier clermontois. Notamment dans le domaine des quads et également dans des champs plus originaux, avec le Vespa Barchetta, que je vous présenterai dans les jours qui suivent. Mais revenons au véhicule du jour. Kobi Goorwich, son concepteur israëlien d’origine russe, a imaginé un véhicule urbain, dont la motorisation serait décentralisée, une pile principale alimentant des moteurs électromagnétiques qui équipent chacune des roues (une sorte de quatre-roues-motrices à la sauce électrique ?).

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    Le tout étant dirigé par des commandes électriques (d’où son nom sans doute), comme sur les avions de chasse et les avions de ligne modernes. Exit la colonne de direction certainement. Personnellement en dehors de ces préoccupations plus ou moins écolo et futuristes, la première chose que j’ai remarqué sont ses hubless wheels (ou roue sans moyeu, ou encore roue orbitale) ainsi que son inspiration très moto. Si ce le C-naptiK n’était pas un quad, il ferait en effet un bon deux-roues avec son généreux guidon-marge, sa potence oblique ressemblant à nombre de nos bras oscillants, et sa selle autoportante effilée digne d’une sportive moderne.

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    Pour l’instant aucune indication d’une production prochaine, ce quad devrait bien rester dans les cartons ou sur les disques durs et logiciels de CAO.
    Source: nous.

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  • Projet Nucleus. Ceci n’est pas une brique.

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    Le titre de l’article est juste un petit clin d’œil à Magritte, et à son célébrissime tableau "Ceci n’est pas une pipe". Ce n’est pas une brique car c’est en fait, contre toute attente, une moto. Qui n’a pas besoin de béquille puisqu’elle repose sur son carénage, que son concepteur appelle fort justement "les lames". Pour se lever, sa partie-cycle doit certainement abriter des suspensions pneumatiques, un peu comme les scooters japonais modés. Pour être dans l’air du temps, elle sirote du carburant alternatif. C’est certes très original comme idée, mais contrairement au Deus, on espère juste que ce cauchemar éveillé, aux allures de parpaing ou de proue de cuirassé, gardera sa dénomination de "projet". Définitivement.

    via W3sh

  • Le concept Yamaha Deus Ex Machina de Jake Loniak.

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    Un signe (du pied) en remerciement à Gizmodo, blog pour geeks où nous sommes tombés sur cette combinaison entre un trike, un Segway, et un exosquelette motorisé. Cette chimère est issue de l’imagination fertile de Jake Loniak, étudiant au Centre d’Art de Pasadena en Californie. Le concept-bike appelé Deus Ex Machina est selon nos voisins, mû par des ultra-capaciteurs et dopé par des batteries au nano-phosphate (similaires à celles déjà utilisées dans les véhicules hybrides) et par 36 muscles pneumatiques, contrôlés par 2 canaux de moelle épinière parallèles qui courent le long de sept vertèbres artificielles. "Même le casque vient se fixer pneumatiquement." Bigre, moi qui croyais être blasé en concept-bike.

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    On croirait cet hybride directement sorti du manga Ghost In The Shell, ou d’un album de Spiderman avec le docteur Octopus. Un petit schéma, ci-dessus, pour comprendre l’accélération, et ses phases. Je citais en préambule des véhicules bien connus de nos lecteurs, mais il y a dans l’attitude du conducteur du Deus, un peu du pilote de deltaplane, notamment dans la position adoptée, comme "suspendue".

    Loniak nous promet un 0-60 mph en 3 secondes. On objectera que cela ne lui coûte rien de chronométrer un départ-arrêté en rêvant, les yeux fermés, de prendre place aux commandes virtuelles de sa création. Sa vitesse maximale serait de 120 km/h (le papier rose dans le portefeuille vous salue bien bas), et il serait doté d’une autonomie d’une heure pour 15 minutes de charge.

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  • Le concept-bike Suzuki Crosscage roule.

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    Nous vous avions longuement parlé* du Suzuki Crosscage lors du salon Tokyo Motor Show il y a quelques mois, restant perplexe quant à l’avenir de cette moto androïde, et nous demandant si cette bécane serait un jour produite. Suzuki et Intelligent Energy, le fabricant de piles à combustible ENV, ont travaillé d’arrache-pied pour la rendre viable, apparemment.  Au sujet de son apparence générale justement, elle a gardé les solutions techniques de la partie cycle du modèle original, telles que la monofourche et le monobras**. Mais son allure ressemble toujours à R2D2 qui vous tirerait la gueule.

    Il est aussi amusant de voir que les rétros sont directement importé d’un roadster moderne… des années 80. Concernant sa motorisation enfin, la selle se relève et se rabat sur le dosseret pour pouvoir remplir le réservoir d’hydrogène. Quant à ses optiques nous avions vu juste en pariant sur des LEDs.

    *rappelez-vous, on se demandait si le transport d’hydrogène n’était pas dangereux en cas d’accident.

    **regardez un peu où est placée la béquille d’atelier.

    via autobloggreen

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  • Aprilia Magnet: hybride haute performance

    Aprilia_magnet Réalisé en 2004 par un étudiant finlandais ce concept futuriste mélange les genres en adoptant deux moteurs électriques de 85 cv dans ses roues avant en plus d’un traditionnel moteur bicylindre de 550 cm3 pour la propulsion…   

    Aprilia_magnet_4 Son inventeur voulait créer une machine unique offrant un haut niveau émotionnel. Pari réussi rien qu’en voyant des photos en 3D…

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    "Assis comme dans une Formule 1 dans une machine qui penche comme une moto dans les virages, le corps à moitié découvert pour ressentir la vitesse"…

    Avec un poids de moins de 300 kg pour une puissance totale de 260 cv, les performances auraient pu valoir le détour…

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    Retrouvez plus d’infos et de photos grand format de ce concept sur le site naulapaa.com 

  • UNO, prise deux

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    Je vous en parlais il y a moins de deux semaines de ce UNO, cette moto créée par Benjamin J. Poss Gulak et dont le principal attrait est d’avoir ses deux roues l’une à côté de l’autre dans l’axe central, et que l’on propulse comme un Segway.
    Ces images prisent lors du Salon de la moto de Toronto cet hiver viennent de faire leurs apparitions, et donne une meilleure idée du prototype.

    Le jeune homme de 18 ans fut l’une des vedettes de ce Salon, où l’invité d’honneur était Russell Mitchell. D’ailleurs, cette image de Mitchell sur le UNO est tout simplement savoureuse. Ce qui m’amène à reprendre cette expression entendue à la radio l’autre jour, et qui semble bien décrire l’état d’esprit dans lequel se trouve le jeune Ben sur la photo, aussi excité qu’une jeune religieuse touchée par le pape.

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  • Custom sur Triumph Rocket III par Roger Allmond.

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    Voici la belle chimère imaginée par Roger Allmond sur une base de Triumph Rocket III, grâcieusement offerte par la firme anglaise. Seul le moulin de 2300cc, son fameux trois-patte a été conservé, le reste de la carcasse a été entièrement rajouté, notamment son cadre en alu*, les jantes bâtons en fibres de carbone ont quant à elle été dessinées par Dymag. Un avis dans la suite, ainsi qu’une vidéo de cette moto qui, délibérément, n’a pas été baptisée.

    Je trouve les soudures apparentes entre le cache-radiateur et le réservoir beaucoup trop "brut de brut", mais je pense, là encore, que c’est tout à fait volontaire, et que Roger Allmond souhaitait certainement lui donner ce cachet "sorti direct de la chaîne de montage/atelier". Par contre le pot est ridiculement court, c’est indéniable.

    Les suspensions asymétriques, avant et arrière, qui facilitent la dépose de la roue, rendraient jaloux De Cortanze (le père du monobras oscillant), même si cette photo unique ne permet pas de voir s’il s’agit d’un monobras en aluminium coulé. La vidéo, elle aussi, est étrangement discrète à ce sujet, puisqu’on n’aperçoit que le flanc droit de ce prototype.

    Mais peut-on parler vraiment d’originalité ? Beaucoup de bricoleurs du dimanche ainsi que des mécanos confirmés se sont déjà fait les dents (de pignons**) sur Triumph, en proposant des monofourches en plus des monobras (la Speed Triple a souvent servi de labo pour ces délires là).

    Quant au confort, il semble extrêmement spartiate, vous ne risquez pas de la transformer en moto de grand tourisme, et vu le parti pris (pas d’optiques), je doute qu’elle soit destinée à être homologuée route.

    Cette belle réalisation ornera le centre d’appel de Bennett’s Coventry (un assureur britannique), avant de faire le tour de nombreux shows dans le monde, nous promet-on. Pour ma part je n’avais rien vu d’aussi bestial depuis le Dodge Tomahawk.

    *en acier tubulaire à double épine sur l’originale.

    **désolé pour le jeu de mot.

    source: MCN.

  • UNO, deux roues solidaires

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    Que diriez-vous d’un véhicule qui reprendrait la technologie du Segway, c’est-à-dire la stabilisation dynamique par gyroscope et le moteur électrique, mais avec l’allure d’une moto sport? Mieux encore, ses deux roues seraient centrales, l’une à côté de l’autre ne faisant qu’une, mais avec un plus vers la stabilité, ce que le Embrio de BRP ne semble pas offrir puisqu’il lui faut une béquille en forme de petite roue rétractable.

    Et bien un jeune étudiant d’Ontario au Canada, Ben Gulak, s’est lancé dans cette aventure. Passionné d’ingénierie, ce futur étudiant du M.I.T. a eu une épiphanie lors d’un voyage en Chine. Vivant l’expérience intense d’une pollution atmosphérique omniprésente, jumelée avec un besoin pour un moyen de transport rapide et propre, l’idée du UNO prit forme.

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    Le cahier des charges était simple, créer un véhicule non seulement écocentrique, mais aussi suffisamment puissant et petit pour être à l’aise en milieu urbain, tout en ayant une désirabilité à toute épreuve pour que le concept soit adopté.
    Le prototype du UNO est propulsé par deux moteurs de fauteuils roulants, prenant son énergie de piles de 36 volts. Ce bricolage permet tout de même des pointes à près de 60 km/h, et il les fait avec style.

    Voilà donc une bien belle idée, j’imagine déjà des hordes de jeunes étudiants prenant d’assaut les artères de la ville à la sortie des classes sur leurs UNO. Les constructeurs de Scooter seront peut-être moins enthousiastes!

    Sujet vu mardi soir à la télé. Le clip n’est pas encore en ligne, mais j’imagine qu’il va finir par apparaître.
    Ci-dessous, le Embrio de BRP, et un engin de nature inconnue.

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  • Exclusif: Après le T-Rex, le nouveau Spyder

    Logo Qui n’est pas avide de nouveautés? Tous les constructeurs dépensent sans compter pour qu’année après année, les consommateurs que nous sommes aient leurs doses de chromes, de fibres de carbone et de cuir pour suffisamment nous enticher pour que nous mettions la main au portefeuille.

    La proposition faite par Johnathan Côté avec son T-Rex, dont il était question hier, a titillé ma fibre créatrice. Et bien que le Spyder de BRP soit encore dans la fine fleur de l’âge, mieux vaut ne pas courir le risque et préparer maintenant l’avenir.

    C’est avec une fierté mal dissimulée que je vous présente, en primeur mondiale, ce nouveau concept du Spyder. Fruit d’un savoir-faire millénaire, avec une nouvelle touche d’exotisme, cette proposition incorpore la quintessence du Spyder, combiné avec un supplément d’énergie (90 kilos calories/100g), et réduit en gras.

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    J’entends déjà les sceptiques dire que ce concept est encore un peu vert, mais n’est-ce pas le lot de tous les concepts de prendre en compte le processus de mûrissement?

    Quoi qu’il en soit, ce n’est qu’une humble proposition, créée pour le seul avancement de la science et du plaisir de rouler. Il intègre également les dernières nouveautés en matière de recyclage et de compostages, ce qui en fait une vraie moto écologique.

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  • Un T-Rex peut en cacher un autre

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    La semaine dernière, ce dessin d’un T-Rex par le designer industriel Johnathan Côté (de chez Morelli Designers, spécialiste du cadre de vélo haute performance), faisait le tour de la blogosphère.
    Dans l’excitation de voir une nouvelle mouture du T-Rex après une quinzaine d’années sur le même moule, certains en on oublié que ce n’était qu’un dessin d’artiste sans lien avec T-Rex Vehicule Corporation, et non pas une commande en béton pour la nouvelle machine 2009.

    Après les problèmes financiers de cet hiver, dont on voulait parlait ici, l’aventure du T-Rex semblait devoir prendre le chemin de l’extinction. Mais voilà que Cirbin, voir cet Album du vendredi pour un petit rafraîchissement, autre manufacturier québécois de 3 roues, investit dans le T-Rex. Ainsi, Monsieur André Morissette, le président de Cirbin est devenu dernièrement le nouveau président de T-Rex Vehicule Corporation.
    Mais comme cette nouvelle n’a pas encore fait l’objet d’un communiqué de presse officiel, les détails ne sont donc pas encore connus.
    Par contre, les questions sont nombreuses. Les emplois perdus seront-ils retrouvés, la production du T-Rex reprendra-t-elle et de quelle façon cela va affecté celle du V13R, quelle motorisation pour ces deux 3 roues à l’avenir, alors que le T-Rex était propulsé par le 4 cylindres en ligne de 1352 cm3 de la ZZR1400 de Kawasaki, et le V13R l’est par le V-Twin Revolution de 1250 cm3 du V-Rod de Harley-Davidson, et surtout, est-ce que le T-Rex sera enfin renouvelé?

    Quoi qu’il en soit, l’époque est faste pour les amateurs de 3 roues.

    Petite galerie d’images haute résolution du concept de Johnathan Côté ici.

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