Catégorie : Divers

  • Motorisation hybride

    Motorisation hybride

    Giant_lite_blogimageOn parle de plus en plus de "motorisation hybride", mais pourquoi pas "d’utilisation hybride" également ? Si l’on regarde bien, on pourrait parfois utiliser un moyen de locomotion alternatif dans certains cas, et garder notre chère voiture pour les utilisations pratiques et plaisirs. Et afin de pousser la reflexion à son maximum, pourquoi ne pas se tourner vers des produits à motorisation hybride, pas uniquement reservés au nos chères automobiles ?

    VelosolexEn motorisation Hybride humain-essence, pourquoi ne pas craquer pour un Solex, eh oui ce dernier fait son retour en force en 2005 avec pas moins de 2 modèles disponibles sur le marché. Le Black and Roll, et également le Solex revu et corrigé par Pininfarina qui seront tous deux présent au Mondial du 2 Roues début octobre. Le solex est peu polluant ( 1,2 litres au cent km), un brin vintage, et assez sécurisant (vitesse limitée à 36km/h) sauf sous la pluie ou la traction avant par gallet peut poser soucis pour certains ! Enfin économique à l’achat en version S3800 la plus fiable et aboutie, car disponible sur Ebay à partir de 200 Euros, bref un bon choix, qui nécessite tout de même une assurance, un casque, et pour les nouveaux modèle l’immatriculation…

    En motorisation Hybride humain-electrique, j’ai cité les VAE (Vélo à Assistance Electrique). Et là, croyez moi il y a à boire et à manger. Les chinois, les français, les allemands, les américains, bref tout le monde est sur le coup, et mieux vaut faire le bon choix pour ne pas se retrouver au guidon d’une pile géante à 2 roues… Le Blog Moto a fait le travail pour vous, et vous a dégoté ce qui se fait de mieux sur le marché et même un loueur pour tester le concept. A noter que la réglementation en la matière est très stricte. Pour résumer l’assitance ne doit pas fonctionner au delà de 25km/h, et la
    puissance du moteur ne doit pas exceder 250 Watt.

    Disponible sur le marché français, et le plus plebiscité le Gitane ebike disponible chez Velo & Oxygène pour la somme de 999 Euros. Un autre constructeur français, ISD, propose une large gamme de produits allant de 900 à près de 1500 Euros. Chez nos voisins outre-manche, la société Powabyke propose une large gamme, allant de 950 Euros à plus de 1300 Euros, avec des looks plus ou moins réussi, mais un avec un poid pour certains modèle qui frole les 40 kg !

    En Allemagne, on trouve la marque Sachs et Estelle, avec des vélos style hollandais mais assez cher
    (pas moins de 1500 Euros) mais avec une fiabilté à toute épreuve, on pourrait l’imaginer. Enfin, le constructeur Giant, propose également une large gamme de VAE, qui au niveau design et ergonomie possède une certaine longueur d’avance sur les modèles Europeens. Le must en la matière pourrait bien être le Giant Lite, avec pas plus de 20kg à la pesée et un look d’enfer !

    A vous de voir et de décider. Juste quelques derniers conseils pour que vous puissiez faire votre choix. L’utilisation que vous allez faire de votre 2 roues est primordiale. Trajet quotidien ou promenade, le choix peut varier d’un extrème à l’autre. L’autonomie, le poids, et la fiabilité seront des critères à examiner de très près…

  • Les Brits sur Carole

    Rob_and_martin_savery_blogimage Le blog moto est allé passer l’après midi sur le circuit Carole (voir video ci-dessous) en compagnie de deux ‘Petrol head’ anglais (en francais, amateur de toute chose motorisée ayant tendance à décoiffer), au demeurant charmants mais ayant la faculté tellement britannique de mettre le cerveau sur ‘off’ une fois le casque sur la tête. Nos deux compères ne sont pas des amateurs, en particulier Martin Savery qui a longtemps couru en Asie et fait quelques podiums sur le célèbre circuit de Macao avec sa très originale Honda 400 d’une quinzaine d’années, version asiatique de la 600 Hornet que l’on retrouve chez nous. Son frère Rob est lui équipé d’une Kawasaki ZX-9R plus puissante mais moins maniable sur ce tracé sinueux.

    Premier étonnement pour ces habitués de Brands Hatch, le circuit est accessible de façon quasi permanente. On s’enregistre en 10 mns et la piste est à nous."Les français on tout compris" s’exclame Martin. Départ le sourire aux lèvres pour une série de 20 mns à un rythme soutenu jusqu’à interruption de la cession suite à une chute.

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    Les Brits sont conquis "Je n’ai jamais vu un circuit pareil, ou l’accès est gratuit le week-end et ou l’on peut tourner en semaine pour une vingtaine d’euros". "Le tracé est magnifique avec une série d’enfilades et de compressions, c’est un véritable bonheur". Les séries reprennent et s’enchaînent les unes après les autres à un rythme toujours plus rapide jusqu’à ce qu’un petit problème technique sur la fourche de Martin viennent interrompre définitivement la journée sur le coup de 18h 30. Rob et Martin échangent leurs sensations un sourire permanent aux lèvres. Rob est venu rejoindre Martin qui vit à Paris depuis un an pour passer un week-end en famille… Ils le passeront sur le circuit. "Une fois le problème de fourche réglé, nous repartons. Nous avons 3 jours de piste non stop!". Le circuit Carole a fait deux heureux… On regrette simplement qu’une telle initiative ne soit pas disponible pour les voitures… Je vais peut être me mettre à la moto en attendant.

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  • Enduro de Liginac

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    C’est sur un tracé de 11,5 km typé enduro, que s’est déroulée la seconde épreuve du Trophée Boxer Cross Country à Liginac (Corrèze). Les 250 concurents étaient venus en défaire sur un circuit où la chaleur et la poussière ont rendu cette compétition particulièrement difficile.
    En l’absence de Fabien Planet (KTM), Nicolas Deparrois (HVA) et David Fretigné (Yamaha), tous blessés, les pronostics étaient ouverts et si Sébastien Guillaume (Gas Gas) et Marc Germain (Yamaha) semblaient promis à un podium, la course était plus ouverte qu’à l’accoutumée.
    Dés le départ ce sentiment s’est vérifié, Olivier Pain (KTM) bouclait le premier tour en tête devant Thierry Klutz (Gas Gas). Mais celui-ci prit, dès le tour suivant le commandement et creusa le trou jusqu’à avoir pratiquement 2 minutes d’avance sur ses poursuivants. Le cinquième tour allait lui être fatal. Après deux chutes il réveilla une vieille blessure à la cheville puis tomba de nouveau, se bloquant dans une côte pour voir ses adversaires revenir sur lui. Il rentra au stand et finit par déclarer forfait.
    C’est alors Daniel Obelisco (KTM) qui, à la faveur d’un rapide passage au stand prit la tête devant Marc Germain, Christophe Martin et Sébastien Guillaume.

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    Marc Germain resta à une minute du pilote KTM quand à trois tours de l’arrivée il produit son effort et roula 20 secondes plus vite pour venir remporter une belle victoire dans des conditions difficiles.
    Daniel Obelisco doit donc se contenter de la deuxième place mais reste très heureux d’avoir pu se battre avec les premiers. La troisième place échappe dans le dernier tour à Sébastien Guillaume au profit de Jean François Gobelet (Gas Gas). Le moteur du Champion de France d’enduro, très éprouvé par la poussière, perdit de sa puissance et obligea son pilote à finir au ralenti.
    Jean François Gobelet hérite donc de la dernière marche du podium loin des leaders mais grâce à une grande régularité. Suivent derrière Christophe Martin, Olivier Pain, Sébastien Guillaume et Pierre Duzellier (Suzuki).

  • Aprilia 1OOO ETV Caponord ABS

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    En suivant toujours la même logique, Aprilia reste fidèle au bicylindre 1000 cm3 et présente l’Aprilia 1000 ETV Caponord ABS. Avec un tel nom, on pourrait penser que cette moto peut tout franchir, pas vraiment. Sa dimension et son poids près de 215 Kg la cantonne au mieux aux dunes de sable.
    Côté look, on a la vague impression de retrouver les lignes de la Honda Varadero.
    Pour la partie mécanique, on retrouve un bicylindre en V 4 temps de 997, 62 cm3.
    Côté équipement, une belle planche de bord impressionne par la richesse des informations fournies. Elle est constituée par deux instruments analogiques et un panneau multifonctions digital qui indique : heure, température ambiante et de l’eau du circuit de refroidissement, niveau de carburant. Ce panneau renseigne aussi, par l’intermédiaire d’une inscription « service » sur la période des révisions et indique même des risques de verglas.
    Le cadre tout alu offre une fourche avant télescopique MarZocchi de 5O mm de diamètre. A l’arrière la suspension est assurée par un mono-amortisseur hydraulique Sachs dont le développement est réglable grâce à une molette très accessible.
    Le freinage se fait par l’intermédiaire, à l’avant, d’un double disque Brambo de 300 mm avec étrier 2 pistons et à l’arrière d’un disque Brambo de 272 mm avec étrier 2 pistons.
    En parcourt urbain, l’Aprilia 1000 est plutôt agréable à piloter grâce à une position de selle basse qui permet aux jambes les plus courtes d’atteindre le sol et à l’étroitesse du cadre et du réservoir (contenant pourtant 25 litres). Elle se révèle maniable dès les premiers tours de roues avec un rayon de braquage serré et un centre de gravité bas. Les manoeuvres, même à l’arrêt, s’effectuent sans aucun problème. La position de conduite est très naturelle. Le guidon est ergonomique tandis que les repose-pieds semblent à la bonne hauteur pour les pilotes de toutes tailles. Le passager est à l’aise que le conducteur grâce à une selle extrêmement moelleuse, deux poignées bien placées et suffisamment de place pour ses jambes.

    Avec ses 98 ch, la route est son lieu favoris, fougueuse à tel point que l’on a l’impression d’être sur une GT. Extrêmement précise et véloce, elle fait un malheur sur les petites routes sinueuses.
    En conclusion, on peut qualifié cette machine d’être polyvalente si l’on laisse de côté les chemins creux et les sous-bois.
    Pour le prix, il faut quand même compter sur 11499 €.

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  • Trike Honda EML Martinique

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    Si comme moi vous rêvez d’une grosse moto et que malheureusement vous ne possèdiez pas le permis moto, une solution s’impose, si vous avez de gros moyens.
    A l’exemple du Trike Honda ELM Martinique, cette moto ou tricycle selon la législation actuelle se pilote soit avec le permis A ou le permis B, comment : Honda a pris une moto de base et a greffé une fourche renforcée et une roue avant de 14 pouces, un bras oscillant spécial avec amortisseurs hélicoïdaux, un pont arrière à différentiel et deux roues montées sur des jantes de 16 pouces. Une coque habile l’arrière de la machine et augnente ainsi la largeur d’origine de 40 cm. Le véhicule passant ainsi de deux à trois roues, la carte grise est en catégorie tricycle. Ce trike est aussi accessible aux handicapés si on lui adjoint quelques équipements et une boite de vitesse électrique. Le seul petit défaut, c’est que vous ne pourrez pas rouler les cheveux au vent, le casque est obligatoire.

    Côté moteur, l’EML Martinique est équipé d’un six cylindres à plat refroidi par eau d’une cylindrée de 1832 cm3. Avec une puissance de 1O6 chevaux il vous emène largement audessus des 130 km/h.
    Sur la route, cette machine au look très fun, se comporte assez bien si vous en connaissez les rudiments. L’accélération en virage serré (et gravillonné) est presque rigolote. si vous aimez vous retrouver en crabe. En courbes rapides, haut du corps vers l’intérieur, gaz grand ouvert et pneus qui crissent… Et ça passe ! Et c’est beau ! Seul bémol, le freinage, qui n’est pas équipé de l’ABS : l’arrière manque de puissance et l’avant bloque facilement. Callé à 130 km/h le six cylindres ronronne. Question confort, ce n’est plus une Goldwing ! Même réglé souple, ça secoue pas mal sur les mauvais revêtements et la force centrifuge déporte le passager vers l’extérieur à chaque virage. Bon je sais, mais vous ne risquez pas de passer inaperçu.
    Côté prix, cela se gâte un peu. Il vous faudra débourser la modique somme de 41 000 €. Je sais la frime ça coute cher, mais comme on dit : quant on aime on ne compte pas.

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  • Embrio : moto écologique à 1 roue

    Embrio_1Conçu par Bombardier Produits Récréatifs, entreprise multicartes qui conçoit des véhicules utilitaires, des moteurs, des karts, des motoneiges, des VTT, des jet skis, des bateaux, etc…, le concept Embrio n’est pas nouveau car il date de 2003, mais je le découvre aujourd’hui avec un grand plaisir. Et puis, comme il est très en avance sur son temps et qu’il a gagné le Prix Or du Prix annuels de design – 2003 délivré par l’Industrial Design Society of America en association avec le magazine Business Week, cela méritait bien un article dans le BlogMoto.
    L’Embrio est un concept futuriste de véhicule urbain de loisir destiné aux 18-45 ans de l’an 2025. Son design est minimaliste avec des lignes épurées et épousant parfaitement la physionomie de son conducteur. Comme vous pouvez le remarquer, il n’a qu’une seule grosse roue mais il dispose également de roues à l’avant du véhicule qui se déploient au sol comme le train d’atterrissage d’un avion afin d’augmenter la stabilité longitudinale. La position de conduite est similaire à celle d’une moto, ce qui explique sa présence dans ce blog, tandis que l’équilibre de la machine et de son pilote est assurée par un ingénieux système gyroscopique comportant de nombreux capteurs. De plus, le concept Embrio est équipé d’un système de freinage hautes performances, d’une suspension active, d’un système de vision nocturne et d’une assistance robotisée.

    Embrio_2Pour avancer, le conducteur n’a qu’à appuyer sur la détente de la poignée gauche du guidon, le train de stabilisation se replie lorsque la vitesse atteint 20 km/h. Pour tourner, le conducteur se penche dans la direction désirée et le frein est actionné par la détente de la poignée droite du guidon. Lorsque la vitesse repasse sous la barre des 20 km/h, le système de stabilisation se redéploiera automatiquement. Même sans le train de stabilisation, l’Embrio est parfaitement en équilibre à l’arrêt grâce au gyroscope. Cette technologie est déjà commercialisée en série sur le Segway HT.
    Mais, à l’inverse de ce dernier, l’Embrio innove aussi par sa motorisation puisqu’il est doté d’une pile à hydrogène qui n’a aucun mal à mouvoir ce petit monocycle de 64 kg.
    L’Embrio est donc un véhicule écologique et d’avenir en ces temps d’inflation pétrolière et pourrait même procurer quelques sensations sympathiques à son guidon sans avoir recours à la cavalerie d’une R1 par exemple.

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  • Segway Centaur : jouet pour adultes

    Segway_ht_1_2Vous connaissez Segway ? non ? alors comment le présenter… çà à 2 roues motorisées, un manche à balai et vous le conduisez en vous penchant pour accélérer et en vous redressant pour freiner.

    Vous voyez ?! Cet engin, tout droit sorti d’un film de science fiction, est bel et bien en vente et ce nomme Segway HT pour Human Transporter.
    Il roule à près de 20 km/h, à une autonomie d’une trentaine de kilomètres et coûte dans les 3000 €.
    On en trouve quelques exemplaires dans certaines administrations, aéroports mais aussi à la Villette à Paris.
    C’est pas nouveau me direz vous puisque cette machine existe depuis 4 à 5 ans déjà.
    Et bien sachez que le HT devrait avoir un petit frère à 4 roues dans pas longtemps connu sous le nom de code Centaur, à voir dans la suite de la note…

    Centaur_4A en juger par cette vidéo,
    le projet Centaur s’annonce particulièrement abouti, joueur et performant même si son constructeur n’avance aucune décision d’industrialisation pour le moment.
    Si ce projet devient une réalité commerciale, nous risquons d’en voir partout dans nos villes d’ici quelques années.
    J’imagine même des courses de Centaur, du freestyle, des fabricants de tuning, des versions Police et Jackass l’utiliser dans son prochain film.
    Un bien bel avenir en perspective pour cette vision du futur automobile urbain !
    Et ma trottinette j’en fais quoi ?

  • Dodge Tomahawk Concept

    Dodge_4_1 Présentée lors du Salon de Détroit en 2003, la Dodge Tomahawk Concept est tout simplement ce qu’il s’est fait de plus délirant dans l’histoire des 2 roues !
    En effet, sous ses entrailles, cette moto cache le V10 de la Dodge Viper !!! Ce 10 cylindres en V à 90° de 8277 cc développe 500 ch à 5 600 tr/mn pour un couple de 712 Nm à 4 200 tr/mn !!!!! Pour contenir une telle cavalerie, la partie-cycle a été prévue en conséquence avec une structure monocoque en aluminium taillé dans la masse, des suspensions renforcées et des freins tout droit venus d’un autre monde avec 2 disques de 508 mm avec étriers à 4 pistons sur chaque roue à l’avant comme à l’arrière. Il fallait bien cela pour stopper ce mammouth de presque 700 kg ! D’autant plus que les chiffres annoncés par le constructeur défient toutes les lois de la nature, du moins pour une moto, avec plus de 500 km/h en vitesse de pointe et le 0 à 100 km/h en près de 2 s !!!! Les 2 roues avant et arrière sont indépendantes et autorisent ainsi de prendre des virages avec un angle de braquage de 20°, tout en permettant à la moto de prendre 45° d’angle ! Côté design, c’est tout aussi impressionnant avec un moteur bien visible, des roues jumelées de 20 pouces, du chrome un peu partout et surtout un look de manga.

    Dodge_2_1 Pour la petite histoire, il semblerait que Dodge est vendu une petite dizaine d’exemplaires à de très riches motards même si cette moto ne roulera jamais sur route puisqu’elle n’est pas homologuée. Quant à vouloir vérifier si les données avancées par le constructeur sont vraies, il faut avoir du courage ! Toujours est-il que Dodge a manifesté une belle démonstration de créativité et de puissance avec la Tomahawk et que celle-ci restera dans les anales de la moto.

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  • rMoto

    rMoto

    Ro_1_1 Comment ne pas tomber en extase devant ce projet de moto supersportive ?
    Elle s’appelle la rMoto et a été dessinée par Robrady, un bureau américain spécialisé dans le design de véhicules. Robrady s’est déjà illustré par la création d’un scooter hybride essence/électrique ainsi que sur des consultations stylistiques pour les marques Buell, Suzuki et Yamaha. En plus de l’avoir faite belle, ses concepteurs ont voulu qu’elle soit écologique puisque cette rMoto dispose d’un moteur à propulsion électrique. Et oui ! vous n’aviez pas remarqué qu’elle ne dispose pas d’échappement sur les illustrations ?
    En effet, sous son carénage, elle embarque des batteries au lithium de dernière génération qui n’ont aucun mal à lancer la rMoto à vives allures. Une sorte de Venturi Fetish à 2 roues !
    Celle-ci profite, sur le papier, d’une conception ultra-légère mariant carbone, aluminium et magnésium comme dans certaines supercar à 4 roues. Le design de la rMoto renvoie immédiatement à un monde futuriste inspiré de certains mangas japonais.
    Longtemps passé au dernier plan dans le domaine motocycle, l’écologie sera la valeur clef de succès des motos de…2020 !

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