Catégorie : Scooter

AQUAJET JETBIKE: Torpedo los !
L’été arrive et, certains, en plus de leur machine, continue de vivre leur passion sur l’eau. Le Jet ski est un phénomène en pleine expansion et offre de réelles sensations pour un coût moindre qu’une embarcation traditionnelle.
Sa technique de conduite se rapproche beaucoup du deux roues, et pour ceux qui y ont goûté, les sensations du moto-cross ressortent pas mal de l’expérience. Les modéles déjà en vente sont assez physique à mener à la limite. Mais, pour les jusqu’aux boutistes qui voudraient quitter leur selle du plancher des vaches pour en retrouver une autre aquatique, voici une torpille qui devrait vous donner du fil à retordre…
Que les choses soient claires: 1 250 cm3, trois cylindres, deux temps et 160 ch pour vous propulser sur l’eau à 100 km/h. C’est pas de l’esquif pour marin d’eau douce. Il va falloir travailler bras, jambes et abdos même si le fabricant américain assure que les commandes sont tout ce qu’il y a de mieux assistées.
Reste que l’Aquajet Jetbike se présente comme une évolution majeure dans un milieu qui se dégage des parts de marché de plus en plus conséquentes. L’engin peut être utilisé à deux en ballade minérale comme il peut se révéler une redoutable machine de Grand-Prix.
On lui promet une belle carrière Outre-Atlantique. Et ce, d’autant plus qu’il n’intéresse pas qu’une clientèle lambda. Les militaires lorgnent aussi sérieusement dessus.
SOURCE: www.aquajet.com
avril 16, 2006
PIAGGIO se met à l’hybride
Même si le scooter perd, progressivement, sa réputation de véhicule essentiellement urbain, en raison d’une évolution technique l’amenant à cotoyer espaces et distances, il ne peut nier ses racines.
De fait, dans l’évolution actuellement en cours vers des moyens de locomotion à fonctionnement dit "hybride", dont la motivation trouve son fondement dans une volonté de moins polluer, le scooter présente tous les symptômes naturels pour adhérer à un mouvement par ailleurs largement engagé dans l’automobile.
Des prototypes n’ont de cesse de se multiplier, mais, cette fois, PIAGGIO a décidé de se lancer dans le concret, en présentant des modèles hybrides sur la base de véhicules déjà existants dans sa gamme.
C’est le VESPA LX 50 et le plus musclé PIAGGIO X 8 125 qui sont ainsi lancés dans la bataille. L’un se voit greffer un moteur de 1000W, l’autre de 2500W.
Pour le premier cité, le fait de marier une ligne "vintage" avec un concept du XXIème siècle ne manque pas de sel ni d’allure.
Le principe de fonctionnement reste celui en vigueur sur une PRIUS à quatre roues, soit un moteur électrique prenant le relais selon certains paramètres de vitesse, le moteur thermique prenant ensuite la main tout en profitant, par son action, de recharger les batteries.
Ces dernières trouvent leur place dans le coffre à bagage jusque là usité pour y ranger le casque.
L’ensemble baisserait de 20% la consommation tout en offrant un gain de puissance de 25%. On attend les infos sur les tarifs et les impressions en essai, aucun élément ne transparaissant sur l’inflation de poids qu’engendre ce type de dispositif.
Reste que l’élan est donné. Les autres constructeurs ne devraient pas manquer d’y réagir.
SOURCE: www.retrothing.com
avril 15, 2006
Le scoot au fight
Le scooter a depuis longtemps dépassé son horizon d’utilitaire constituant le pis-aller du deux roues.
Son univers s’est élargi, ses adeptes se sont multipliés et son environnement s’est structuré.
Des préparateurs se sont penchés sur son cas, dont MALOSSI qui, de l’autre côté des Alpes a décidé d’organiser un trophée pour les deux gros scooters qu’il connaît le mieux: Le T Max de chez YAMAHA et le Nexus de chez GILERA…
Voici le trophée maxi 500 Malossi sur les rails pour cette année 2006. La préparation des machines sera mnimaliste, consistant d’abord à leur enlever tous les appendices utiles dans leur vie civile.
Les pneus slicks ne seront pas autorisés. Pour le reste de la prépa, c’est, bien sûr, dans le catalogue MALOSSI que l’on trouvera les solutions.
Le trophée commencera ce 19 mars pour se terminer le 1er octobre après cinq manches. Deux séances qualif de vingt minutes chacune et une course constitueront l’ossature du meeting.
Dynamiques ces italiens.
SOURCE: www.motoblog.it
avril 2, 2006
Big Scoot: l’antre de la démesure.
Partout, les préparateurs en tous genres se sont déjà appropriés le domaine des gros scooters, mais, du côté du Japon, on a véritablement décidé de ne pas faire dans la dentelle.
Les réalisations présentée au Tokyo Auto Salon démontrent que le phénomène prend une véritable ampleur avec des réalisations qui démarquent cette fois clairement le genre par rapport au reste de la moto, sans pour autant rechercher un droit de citer dans celui de l’automobile, même s’il l’effleure sur certains points. En revanche, et dans tous les cas, un maître mot: démesure…
Pas de fioritures, les préparations, ici, ne se contentent plus de la plastique ostentatoire ou de la panoplie DVD dernier cri. Non, voici l’ère des Kit NOS et des compresseurs, propulsant d’un point à l’autre à la vitesse de la lumière, ces machines le plus souvent d’origine YAMAHA. Se demander comment, avec un tel engin, il est possible de s’inscrire aussi dans la plus simple des courbes relève du futile. D’ailleurs, disques démesurés et étriers taillés dans la masse sont là pour vous fossiliser à la moindre pression contre l’enveloppant carénage.
Les noms de baptème de ces engins inter-sidéraux ne souffrent pas l’ambiguïté: "MONSTER", ou "Jet’s drug Bomber" exposent sans pudeur leurs chromes et leurs selles argentées. Quant à l’aileron, quasi généralisé, il est autant là pour le look que pour parer au retour de flamme des kits qui se conjuguent avec l’action des bougies "Splitfire".
Voici donc un univers diapré qui prend son essor, développant un esprit sans concession marqué par une phraséologie basique accessible au plus grand nombre…
Reste à savoir, à présent, quand ces folles machines fouleront véritablement nos contrées. Si, au Japon, tout y est possible, par ici, on est un peu plus frileux.
SOURCE: www.nihonbike.com

janvier 29, 2006
Big Scoot: Du tuning au Manga.
Le phénomène scooter prend sa place dans le monde de la moto. Economiquement, il est devenu un enjeu, et même si, immanquablement, il se différencie des modèles lambda du deux roue, il se fait une identité propre, qui se renforce. Tout laisse à penser que nous en sommes encore aux prémisses, l’évolution de la circulation et celle de la réglementation semblant lui donner toutes les raisons de son expansion.
Signe de ce succès grandissant, les accessoiristes se penchent sur son cas. Et déjà que la plastique originelle d’un gros scoot est, pour le moins, identifiable, voilà qu’avec ces appendices elle s’exacerbe, jusqu’à devenir particulièrement ostentatoire…
Comme pour les caisseux, on trouve du "Jacky Touch" à la préparation bien léchée. C’est du Japon que vient l’inspiration. Les éléments de carosserie en nobles matériaux, ainsi le carbone, sont possibles. Des portes gobelets sont envisageables sans parler du Kit GPS/DVD… On peut préférer la sobriété en se contentant de feux blancs comme on peut chromer à tout va.
MAJESTY, BURGMAN et autre FORZA sont les bases les plus prisées. Les couleurs sont tendance "flashy" et les prix sont à l’avenant. Compter au minimum entre 1500 et 2500 euros en prix de base d’une refonte esthétique. Sans la peinture bien sûre. Car c’est bien connu, les goûts et les couleurs…
janvier 1, 2006
E-Charme 125 2006

Le scooter à grandes roues, si populaire en chine, pénètre de plus en plus le vieux continent balayant ainsi l’image persistante du scooter “originel”. Sidam, importateur du E-Charme et de grandes marque tel que Jailing, Jincheng ou encore Zongchen aborde donc le marché français avec un scooter dont la qualité et les performances n’ont rien à envier aux productions japonaises ou italiennes les mieux représentées.
Le E-Charme est donc un scooter à grandes roues muni d’un plancher plat. Idéalement conçu, pratique, il est aussi alèse en ville que sur route.
Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, refroidi par eau. D’une cylindrée de 124,6 cm3, il offre une puissance de 9,4 Nm à 5500 tr/mm.
Côté châssis, il reçoit à l’avant une fourche hydraulique et 2 disques de 240 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs et le freinage est assuré par un disque de 180 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le coffre sous la selle peut loger un casque intégral. Le E-Charme possède aussi un porte-paquets avec poignées intégrées. Le tablier comporte une boite à gants. Le tableau de bord, très complet, comporte une alarme, une montre digitale, une jauge à essence.
Disponible en gris ou en blanc, le E-Charme vous coûtera 1999 €.
novembre 24, 2005
Yamaha T-Max ABS
Faut-il encore parler de scooter lorsqu’on roule sur un T-Max, tant le comportement est aussi précis que celui d’une moto. Le moteur bicylindre est monté rigide dans un châssis très sérieux avec un mono-amortisseur placé sous le moteur. La transmission automatique se fait par double chaîne sous carter et le résultat est spectaculaire. Pour le reste, si vous y ajoutez l’ABS, vous avez entre les mains le top du maxi-scooter. Pas très alèse en ville, il développe tout son potentiel sur route ou autoroute. Avec une tenue de route quasi irréprochable, il est très difficile de le prendre en défaut.
Côté moteur, on trouve un bicylindre 4T, injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 499 cm3, il offre une puissance de 44 ch à 7500 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier type diamant reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 120 mm et 2 disques de 267 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve un mono-amortisseur avec un débattement de 120 mm. Le freinage est assuré par un disque de 267 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le coffre sous la selle, éclairé, peut loger un casque intégral. Le tablier comporte une boite à gants. Le T-Max possède aussi un anti-démarrage par clé électronique et la gâchette de frein parking placée au niveau du guidon gauche entraîne le blocage de l’étrier arrière. Le tableau de bord, très complet, comporte un compte-tours, une fenêtre à cristaux liquides pour l’indication des 2 trips, du kilométrage total, de l’heure et du niveau d’essence.
Disponible en gris, rouge, jaune ou bleu nuit, le Yamaha T-Max ABS vous coûtera 8990 €.
novembre 9, 2005
Yamaha Versity 300
Le Yamaha Versity 300 reste un scooter parfaitement adapté aux parcours urbains et à la banlieue principalement grâce à des grandes roues de 14 pouces et un moteur puissant. Sosie du MBK Kilibre, le Versity allie élégance et maniabilité. Virevoltant facilement dans la circulation, son principal défaut reste le freinage, un peu limite sur le mouillé. Sur route ou autoroute le 300 montre toute sa majesté et le moteur entraîne facilement la machine à 150 km/h compteur. Il ne manque, en fait, à ce maxi-scooter, que l’ABS, une suspension un peu moins dure et une selle un peut moins haute (moins d’1m75 s’abstenir).
Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, simple arbre à cames en tête, refroidi par eau. D’une cylindrée de 264 cm3, il offre une puissance de 21 ch à 7500 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 116 mm et 1 disque de 270 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs avec un débattement de 120 mm. Le freinage est assuré par un disque de 240 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le coffre sous la selle peut loger un casque intégral. Le tablier comporte deux vide-poches, un petit à gauche ne fermant pas à clé pour une paire de gants par exemple et une autre en dessous d’une contenance double et verrouillable. Le tableau de bord est très complet et lisible. Il comprend un compteur central (gradué jusqu’à 160 km/h), une jauge à essence à gauche et à droite un témoin de température moteur et de charge. En dessous, une fenêtre à cristaux liquides indique deux kilométrages partiels, le kilométrage total, l’heure, la température extérieure, la vitesse moyenne. Le commodo gauche comporte un pratique appel de phare à l’index, sa commande de clignotants n’est pas ergonomique. Le Versity possède en série deux béquilles (latérale, centrale).
Disponible en gris ou noir, le Yamaha Versity 300 vous coûtera 4011€.
novembre 9, 2005
Yamaha Majesty 400
Il manquait un scooter entre le remuant T Max et le trop sage Majesty 250. Yamaha a donc conçu un 400 pour palier à ce manque. Le Majesty 400 conserve les valeurs acquises mais apporte aussi de nouvelles technologies comme le châssis double longerons en alu et un moteur injection. Si le Majesty fait toujours preuve de rudesse sur les bosses, il n’en reste pas moins agréable à piloter sur route voir sur autoroute et conserve un très bon potentiel urbain. Le 400 Majesty se place donc en milieu de marché, sur le créneau où trônait le Burgman 400 et lui donne un petit coup de vieux.
Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T,injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 395 cm3, il offre une puissance de 35 ch à 7000 tr/mm.
Côté châssis, son cadre alu en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 120 mm et 1 disque de 267 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs avec un débattement de 104 mm. Le freinage est assuré par un disque de 267 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, l’instrumentation est très belle avec un grand compteur et un compte tours encadrant un bloc digital, une jauge à essence et une montre. Le coffre sous la selle (60 litres) peut loger 2 casques intégraux et la boite à gants est complétée par un second rangement fermé. il dispose aussi d’un anti-démarrage par clé codée.
Disponible en gris argent ou bleu, le Yamaha Majesty 400 vous coûtera 6400 €.
novembre 9, 2005
Suzuki Burgman 650 Executive
Suzuki, en sortant son 650, a littéralement écrasé le monde du scooter. Le 650 Burgman reste donc le must des scooters. Bicylindre, double arbres, ABS, boite séquentielle, 170 km/h en vitesse de pointe, pare-brise ajustable en roulant, si ce n’est pas du luxe, c’est de l’indécence.
Sur la route, le 650 se pilote presque comme une moto. Enchaînement des courbes, pilotage sportif ou cool, le maxi-scooter ne risque pas de vous trahir.
Le nec plus ultra du Burgman 650 est en fait sa boite de vitesses. Utilisable en 3 fonction, ils se changent directement au guidon, en roulant, par une simple pression du pouce : le mode automatique qui monte jusqu’à 7000t r/min environ, le Power Mode (automatique également) qui autorise 7500 tr/mn de plus pour une conduite plus sportive et enfin le mode manuel qui permet d’atteindre la zone rouge à 8500 tr/min en changeant les rapports avec le pouce.
Côté moteur, on trouve un bicylindre 4T,injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 638 cm3, il offre une puissance de 55 ch à 7000 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 105 mm et 2 disque de 260 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs réglables avec un débattement de 100 mm. Le freinage est assuré par un disque de 250 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le tableau de bord numérique fourni un max de renseignements : (voyants de pression et de niveau d’huile, niveau d’essence avec indication réserve, indication des vidanges paramétrable en concessions…, compte-tours, indication de le vitesse par chiffres, 2 trips et 1 kilométrage total, température moteur, horloge). En plus d’un grand coffre sous la selle, d’une contenance 56 litres, qui peut loger deux casques intégraux, le tablier abrite aussi deux petits vide-poches latéraux de 1,4 litres pour les menus objets, et un vide-poches central de 7,2 litres. A noter aussi, la condamnation magnétique du contacteur, les rétroviseurs escamotables, le dosseret de selle pilote mobile sur une plage de 50 mm, le frein de parking, les deux poignées passager. Disponible en gris argent ou bleu, le Suzuki Burgman 650 Executive vous coûtera 9699 €.
novembre 9, 2005