Catégorie : Scooter

  • Une moto, ça change pas le monde, sauf que…

    Drive Ils en ont de ces idées les gens d’en dessous, comme faire un palmarès des 12 motos qui ont changé le monde. Pari un peu risqué, mais c’est connu, les Australiens n’ont pas froid aux yeux. Force est de reconnaître qu’ils ont parfois touché juste. Il y a de ces évidences pourrait-on dire aussi, mais ne boudons pas notre plaisir, le plaisir de se faire aussi sa propre liste.
    Je gâche un peu l’émotion de la découverte en vous offrant les images des 12 motos, mais puisque ce n’est pas la destination qui compte, mais bien le voyage, je vous laisse découvrir la justification du choix des éditeurs de Drive.
    L’idée étant de revenir ici après pour nous faire part de vos commentaires, votre liste, goûts et dégoûts.
    La suite des images après le saut de page, et comme toujours, un double clic sur l’image pour la voir en plus grand.

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  • Le x7, et un mp3 hybride pour Piaggio en 2008.

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    Piaggio sera le premier à proposer et vendre un scooter hybride (dont la motorisation associe un moteur électrique et un moteur thermique), et pour couronner le tout ce sera sur la machine la plus évoluée de sa gamme (à moins que ce ne soit le Fuoco 500), façon de réunir tout son savoir-faire sur un seule et même scooter: un beau produit d’appel. En attendant, le groupe italien sortira le X 7, ressemblant beaucoup à un célèbre deux-roues nippon, peut-être même avant la fin de cette année.

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    Et dire que les Japonais furent longtemps accusés – souvent à raison – de copier les Européens et Américains en moto (et pas seulement là). Ici nous avons une machine qui emprunte beaucoup d’éléments à un best-seller du marché, le Yamaha Xmax (en photo juste au-dessus), avec l’apparition d’une béquille "centrale", à l’inverse de la béquille latérale du X8, qu’il est sensé remplacer.

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    Contrairement à ce que semble indiquer l’uniformité de ces photos, il sera proposé dans les concessions en 4 coloris différents: rouge, bleu, noir et donc gris.

    Personnellement je n’apprécie pas du tout son garde-boue haut. pour un motard classique ça lui donne un faux air off-road incongru (alors que accrochés au bas de la fourche sur les sportives, routières et autres), autant dire un air de perruche presque.

    Vous devez vous dire "qu’est ce que ça peut lui faire vu qu’il ne loupe jamais les scooters sur le Blog Moto". Et bien non, j’aime que les avant-postes aux feu rouge soient agréables à l’oeil. Concernant sa motorisation il sera propulsé par un 125 ou un 250cc, les deux avec pot catalytique.

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    Admirez ce mannequin-hôtesse, Piaggio sait y faire en présentation de ses véhicules, y’a pas à dire. Une belle machine qui a du coffre (je parle du scooter, ne vous y perdez pas), qui sera d’une grande contenance. Pour ce que j’en ai lu sur le net, il pourrait même contenir deux casques.

    On pardonnera presque au groupe Piaggio (quatrième constructeur mondial et surtout constructeur des motos Gilera, Guzi, Derbi, Laverda) son son absence totale du salon des deux-roues à Paris cette année, que ce soit en scooters comme en motos, ces annonces ayant été faites à l’Eicma de Milan, doit-on le rappeler.

    source: Piaggio.it

  • Ah, le Yamaha Giggle débarque chez les concessionnaires.

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    Nous avons choisi de vous le présenter en noir, car beaucoup de sites vous le montre tricolore, par pur esprit de contradiction et aussi car il ressemble beaucoup moins à une glacière sur roues ainsi. Son coffre contient toujours autant (près de 33 litres !) et son look néo-rétro fait toujours effet, mais il est encore animé par un minuscule mono 4 temps de 50cc que Yamaha essaie de vous vendre comme sophistiqué. Sachez que, toujours chez Yam, qui fabrique d’excellentes motos, et pour le même prix (2300 €) vous pouvez vous offrir une très sympatoche 125 YBR.

    Enfin bref, c’est votre argent. Si vous comptez faire plagiste cet été ou amuser les gars qui sont au guidon de vraies motos ou scoot’, c’est le véhicule idéal. Et ça tombe bien to giggle en Anglais signifie pouffer de rire.
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    La Yamaha 125 YBR, non on lâche pas l’affaire: C’est sympa, hyper maniable, utilisable sans permis moto, ça cube du 125cc et pas du 50, c’est toujours chez Yamaha comme ce Giggle, et c’est toujours un monocylindre comme le micro-moulin du Giggle.

    Mais ça a une gueule adorable pour ce prix, ça consomme que dalle, vous devez changer de pneumatiques une fois l’an, et de plaquettes de freins tous les 10 ans. Increvable pour un usage utilitaire ou pour se promener en ville et dans les environs, quand on est un très jeune motard sans trop de sousous.

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    "Waouh une lampe à pétrole avec des rétros !" s’exclama le motard croisant ce scooter. Et puis cette cylindrée de 50, y’a pas à dire ça dépote hein.

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  • Jincheng : Kartet 50

    Kartet_50_bis Jincheng, constructeur chinois de scooter, va lancer courant janvier 2008 le Kartet 50. Présenté au Mondial du Deux Roues 2007, il sera importé en France par SIDAM (Société d’Importation et de Distribution d’Autos et de Motos) et vendu à 1190€, un prix qui devrait laisser sans voix quelques uns.
    Néanmoins le Kartet 50 ne dispose pas de porte-paquets, mais son plancher plat pourra être utile pour le transport de sacs. Moderne, doté de pneus de 13 pouces, d’un moteur quatre temps refroidi par air et de freins à disque à étrier double pistons, ce scooter dispose d’un équipement plutôt complet en plus d’un prix plancher.
    Reste à voir sa fiabilité…

  • Le Xnovo, hybride de Renault Ublo, mp3 et C1.

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    On ne va pas y aller par quatre chemins: oui, malgré sa présentation froide façon bureau d’études, ce véhicule aux allures de joujou est bien destiné à être produit et vendu par Sidam Motor, filiale de Sidam* Europe, en 2008. Contrairement à d’autres sites et magazines, nous avons volontairement décidé de vous le présenter face à ses principales "sources d’inspiration", le Piaggio mp3, le concept Renault Ublo et le BMW C1. C’est parti…

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    D’aucuns estiment que le "scooter" de Piaggio est à l’origine de l’exhumation du projet Ublo de Renault. Nul doute que certains ont vu avec gourmandise ce véhicule grimper à la cinquième place des ventes de scooters de 125cc alors que son prix, aux alentours des 5000 €, n’a visiblement pas empêché la marque italienne d’en écouler 2700 exemplaires dans l’Hexagone.

    Il se met sur l’angle comme un mp3 (mais je doute que ce soit aussi facile). Cependant, à l’inverse de celui-ci il possède deux roues arrières motrices, et malgré sa largeur plus importante, n’est pas si éloigné de lui en terme de look, puisque le XNovo sera proposé dans différents types de carrosseries, avec et sans toit.

    Mais alors que le mp3 est un deux-roues motorisé, le Xnovo est classé comme tricycle à moteur, ce qui permet d’augmenter sa cylindrée tout en le rendant pilotable par des titulaires du permis B. Bel avantage.

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    Au sujet de la ND-01, on ergotait la dernière fois sur l’utilité de vous présenter ici des prototypes et concept bikes, sachant que bien souvent ils ne seraient jamais produits à grande échelle. Pierre Laurent Chauvet et son équipe nous font mentir à ce sujet-là, le directeur de Sidam étant l’ancien responsable du projet Ublo pour la branche Renault Sport.

    Et dans cette ambiance très médiatique sur les normes anti-pollution, il compte bien arriver à terme à proposer trois types de motorisations différentes pour le XNovo: un moteur thermique pour un cubage estimé à 500cc, un moteur électrique et un moteur hybride.

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    Même s’il possède comme lui un toit rigide, le Xnovo est un véritable deux-places, contrairement au C1 et sa place, derrière la bulle, façon strapontin, ou plutôt selle de vélo. Avec comme avantage pour le bébé de Sidam Motor d’avoir plus de stabilité au freinage (je vous invite à regarder ce que nous avions rapidement écrit à propos des avantages au freinage des trike/quad et autres sur les deux-roues, dans le topic dédié au Tesseract de Yamaha).

    Mais qui présentait l’indéniable avantage de deux ceintures de sécurité, évitant au conducteur le port du casque. Equipement difficilement envisageable dans le cadre d’une selle type moto routière (quoi que beaucoup plus large) comme sur le Xnovo.

    Toujours à l’inverse de BMW, Sidam ne semble pas non plus se soucier d’un positionnement "rurbain(e) aisé(e)" pour son véhicule, puisqu’il sera également disponible en version utilitaire.

    En espérant que contrairement au C1 et conformément au mp3, le Xnovo saura rester dans une fourchette de prix moyenne, pour ne pas le mettre indirectement en concurrence avec de maniables (et climatisées !) petites voitures urbaines.

    *SIDAM pour Société d’Importation et de Distribution d’Autos et Motos.

    Crédit Photos: Le Figaro et photos constructeurs.

  • Yamaha Tmax 2008… En douceur.

    Yamahatmax2008abs4Sorti en 2001, le Tmax est devenu depuis une institution. Pour beaucoup d’utilisateurs convertis aux vertus du scooter, il s’agit de la référence absolue. Pour les motards intransigeants, le Tmax n’est rien d’autre qu’une machine de 45ch et plus de 200 kilos vendue un peu chère et avare en sensations.

    Quoiqu’on en pense, le Tmax a le mérite de susciter le débat, ce qui est plutôt rare pour un scooter. La formule proposée par Yamaha semble aujourd’hui faire de plus en plus d’adeptes, comme en témoignent les chiffres de ventes (3 580 unités écoulées depuis le début de l’année) et ce succès attise les jalousies. La concurrence est en effet de plus en plus vive : Gilera a sorti cette année son Nexus 500 pour un prix raisonnable (6 500€ vs 8 600€ pour le TMAX) et prépare en ce moment son GP 800 qui cube à 850cm3 et qui ne coûtera que quelques Euros de plus que le Yam (soit environ 9 200€ sans ABS).


    Avec une machine vieille de plus de 6ans, Yamaha se devait donc de rajeunir son Tmax pour rester à l’ordre du jour…. on pouvait ainsi admirer au mondial de Paris la nouvelle version du Tmax. Alors quoi de neuf sur ce cru 2008?Yamahatmax2008_5_3

    Esthétiquement d’abord, le Tmax accueille de nouvelles optiques avant + arrière plus agressives et surtout plus actuelles. A l’arrière les poignées de mantien passager et la selle ont été redesinées tandis qu’un tableau de bord actualisé et une bulle reprofilée prennent place devant le conducteur.

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    Au niveau dynamique, le diamètre de la roue avant est porté à 15 pouces (vs 14 jusque maintenant) et la taille de la fourche augmente pour plus de stabilité. Le moteur se voit doté d’une nouvelle injection (pour plus de couple à mi et haut régime -dixit Yamaha-) et la capacité du réservoir d’essence passe de 14 à 15 litres (!).

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    Vous l’aurez compris, pas de révolution au programme.
    L’évolution la plus importante étant le nouveau cadre en aluminium qui permet de gagner 5 kg par rapport aux versions précédentes. Certains donc resteront peut être sur leur faim concernant les évolutions esthétiques et beaucoup espéraient une augmentation de cylindrée. Mais Yamaha n’a pas voulu trop toucher à sa petite star.


    Il ne s’agit donc là que d’un petit lifting … en douceur.

    Le tarif ne devrait pas -non plus- radicalement évoluer : on restera certainement aux environs de 8 600€ sans ABS et 9 000€ avec. Je ne sais pas ce que vous en pensez…. mais en voyant les photos, ça me donne quand même envie d’en parler à mon banquier (pour passer commande d’une version ABS couleur Silver Tech !)Yamahatmax2008_12_2.

  • Scooter électrique : Philippe a sauté le pas, et vous?

    Rpict0171_2 Le Blog Moto a rencontré Philippe, un homme de 44 ans marié et papa de deux garçons qui a décidé d’acquérir un scooter électrique. Une idée qui lui trotte dans la tête depuis un long moment, mais qu’il vient seulement de concrétiser. La faute à l’autonomie des batteries à ce qu’il nous dit, qui tenaient seulement 40 km alors que Philippe voulait se servir de son scooter pour ses trajets maison/boulot, dont la distance totale était supérieure. Alors, comment en vient on a acheter un deux roues électrique? Quelques éléments de réponses grâce à Philippe…

    "L’électrique, c’est évidemment un souci environnemental. En fait il y a +/- 2 ans, j’ai voulu me payer un BMW C1 pour mes trajets vers le boulot, pour polluer moins… puis j’ai constaté que BMW avait arrêté la production. Le scooter traditionnel m’effrayait encore un peu. À l’époque, je n’avais encore jamais entendu parler de scooters électriques."

    L’année dernière, Philippe "tombe" sur une annonce. Désirant en savoir plus sur le scooter électrique mis en vente, mais ne sachant pas vraiment si celui ci ferait l’affaire, Philippe hésite à se lancer et ne prend finalement pas contact avec le vendeur. Une décision qu’il regrettera, puisque quelques jours après, l’annonce disparait. "Comme je n’ai jamais vu de scooter électrique dans un magasin "classique", je me suis dit que je devrais encore attendre", nous dira l’ingénieur civil informaticien. Néanmoins, la chance va lui sourire un peu plus tard : "Cette année, rebelote, une annonce sur ebay pour des scooters électriques avec autonomie annoncée à plus de 60 Km. Là, c’était bon pour moi. J’ai appelé le vendeur, suis allé voir et essayer l’engin un soir, et l’ai acheté la semaine suivante (le temps de reprendre mes renseignements auprès des assurances, etc…)".

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    Un achat que Philippe est loin de regretter, puisqu’avec ce scooter électrique, il peut se rendre à son travail sans polluer et surtout en réalisant des économies incroyables : "C’est clair que le fait de ne pas polluer, de ne pas faire de bruit, de ne rien consommer à l’arrêt aux feux rouges, de récupérer de l’énergie au freinage sont un plaisir essentiel de ce type de véhicule. Sans parler de l’économie: au tarif de l’électricité de nuit, les 100Km reviennent à moins d’un euro, et l’entretien de l’appareil est nul. À part graisser des parties mobiles et sans doute un jour changer les pneus. Les batteries (silicone) sont sans doute un élément coûteux, mais je suis incapable de dire combien de temps elles vont tenir, ou si de toutes façons le scooter sera usé avant les batteries". Et le bonus dans tout ça, c’est que Philippe retrouve les plaisirs du deux roues : "Je dois bien avouer que j’ai déjà retrouvé d’autres plaisirs du deux-roues: circuler plus facilement dans le trafic chargé, avoir cette sensation de liberté facile… Et bien sûr comme cette après-midi ensoleillée, le plaisir de la ballade au grand air".

    Pour recharger les batteries, il faut simplement brancher les câbles du chargeur sous la selle. "En 3 ou 4 heures, la charge est quasi complète. Mais en laissant le chargeur branché encore quelques heures, il poursuit une charge lente. J’ai mis un temporisateur pour adapter la charge au tarif de nuit, et une charge complète après 50Km de conduite consomme +/- 3KWh (à +/- 0,17€/KWh de nuit). Le rechargement des batteries lors du freinage se limite à la puissance du moteur : S’il faut freiner fort, les freins normaux entrent en fonction. Mais en anticipant les arrêts, on peut éviter pas mal de dissiper son énergie en chaleur, et c’est bon pour le moral …".

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    Après ce tableau plutôt flatteur du scooter électrique, on pourrait bien se demander quels sont les inconvénients d’une telle machine. Philippe nous indique alors sans langue de bois que le plus grand défaut de son engin est un manque cruel de puissance. "La puissance est un peu limite dans certaines côtes, et l’indicateur de batterie est influencé par la charge (si je "tire dedans", l’aiguille descend)".

    Et quand on lui demande de conclure, l’ingénieur nous racontera : "Je suis ravi pour l’instant, j’espère que son autonomie ne chutera pas rapidement avec le temps. Par beau temps comme ce WE, j’ai vraiment eu un grand plaisir à faire des "petites courses" avec, sans la culpabilité de bouger pour cela ma grosse Peugeot 807… Deux gamins m’ont abordé: "Eh, monsieur, c’est un électrique ? Ça coûte combien ?" Hors considérations environnementales, par rapport à un petit scooter 50cc équivalent, il a l’avantage du silence, et l’inconvénient de l’autonomie et de la puissance un peu plus limitées. Pour le reste, ça doit être pareil. C’est aussi marrant de voir les piétons se retourner devant cet engin silencieux. J’ai vraiment envie d’en faire la promo autour de moi, et proposerai à mes voisins, amis et collègues de l’essayer s’ils le veulent. Pour tous ceux qui ont un souci environnemental, c’est une piste incontournable".

    Merci à toi Philippe pour avoir répondu à mes questions et m’avoir fait passer ces quelques photos.

  • Nouveauté Kymco : Le MyRoad 700 se dévoile

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    Après Gilera
    et son GP 800  capable d’atteindre la vitesse de 200 km/h, c’est au tour de la marque Coréenne Kymco de nous présenter son hyper maxi scooter : Le MyRoad 700. L’engin devrait être présenté au salon de Milan aux côtés de plusieurs autres nouveautés de la marque. Les photos officielles du MyRoad 700 sont disponibles depuis hier seulement, et c’est avec grand plaisir que nous vous les proposons .

    Esthétiquement plutôt séduisant, le mastodonte de Kymco devrait faire une très bonne concurrence au Gilera GP 800. Reste a savoir le prix et les caractéristiques de l’engin parce que pour le moment, les informations sont divulguées au compte gouttes. D’après certaines sources, il serait équipé d’un bi-cylindre de 700 cm3 à refroidissement liquide et disposerait d’un réglage électrique des amortisseurs… Mise à part ces quelques infos et les photos officielles, rien. Le flou total. Nous en saurons plus bientôt et ne manquerons pas de vous tenir informés!

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  • Daniel Rivière, nouveau PDG de Peugeot Motorcycles

    Denial_riviere Le 11 mai 2007, Deniel Rivière a été nommé Président Directeur Général de Peugeot Motorcycles, succédant ainsi à Gérard Pressouyre.
    Cet ingénieur de l’École centrale des arts et manufactures de Paris et titulaire d’un master of sciences civil engineering de l’université du Wisconsin (États-Unis) est aujourd’hui agé de 56 ans. Ingénieur d’études chez Snecma de 1976 à 1978, il entre à la division aéronautique électronique de Précision Mécanique Labinal où il crée et dirige, en 1979, le service export avant de devenir directeur général adjoint de la société Gelbon en 1982.

    De 1984 à 1989, il fait partie du groupe Thomson CSF : d’abord directeur de la division Ragonot (moteurs pour l’industrie et l’armement) chez Auxilec (équipements électriques pour l’aéronautique, l’armement et l’industrie), il devient directeur de Bronzavia en 1986, puis directeur général d’Auxilec en 1988.
    Il entre chez PSA Peugeot Citroën en 1989 en tant que directeur général de Samm, fournisseur d’équipements et de composants et systèmes pour l’aéronautique et la défense, et devient en 2000 PDG de Process Conception Ingénierie (PCI), filiale de biens d’équipements du constructeur automobile.
    Membre du comité de direction du Syndicat de la machine-outil, du soudage, de l’assemblage et de la productique associée (Symap), il est président du Comité européen de coopération des industries de la machine-outil (Cecimo). Il a également exercé des responsabilités au sein du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas), qu’il a représenté au conseil du Bureau de normalisation de l’aéronautique et de l’espace (BNAE) et au sein du Groupement des industries concernées par les matériels de défense terrestre (Gicat), en tant que membre du conseil d’administration.

    Espérons que l’engouement pour les scooters lui sera profitable…

    Source : AFAQ

  • Honda 125 S-Wing

    Hondaswing125 Dernier né des scooter Honda, le 125 S-Wing est appelé à succéder le Panthéon en juin 2007. Pour ne pas déstabiliser les automobilistes ce scooter aura l’ABS sur les deux-roues et le freinage couplé CBS, ce sera donc le premier scooter à proposer cela. Le tableau de bord ne sera pas en reste et nous rappellera celui de nos chères boîtes à roues, vous y trouverez donc les compteurs, les indicateurs de niveau d’essence ou de température, un ordinateur de bord (consommation instantanée, etc.) et beaucoup de voyants (témoin d’ABS, l’indicateur de changement d’huile…).

    Propulsé par un monocylindre à deux soupapes et arbre à cames en tête alimenté par une injection électronique (certainement le système d’injection PGM-F1) développant ainsi 11,1 Kw soit 15cv à 9 500 tr/min, c’est-à-dire le maximum autorisé pour les détenteurs du permis B (auto). Bien évidemment, ce scooter respecte la norme Euro-3.

    Bref un scooter complet avec :
    – Deux béquilles (latérale et centrale)
    – Un coffre qui peut contenir un casque intégral et un jet
    – Un appel de phare à l’index (élément de sécurité important)
    – Un porte-bagages similaire à celui du SH qui permet une fixation rapide d’un top case Honda
    – Un crochet au niveau du tablier avant
    – Un réservoir de 11,5l comme sur le Panthéon

    Son prix sera de 4 000€ pour la version Standard (CBS seulement) et de 4 500€ pour la version Luxe (CBS et ABS et autres équipements…). Ce scooter sera disponible en gris, noir, violet et argent.