Catégorie : Sport Moto

CODEVER: Le mouvement prend racine.
Le 6 septembre 2005, une circulaire gouvernementale, dite circulaire OLIN, soit le nom de la responsable ministérielle de la mesure, mettait le doigt entre l’arbre et l’écorce à propos d’un domaine épineux, celui du loisir dit "vert".
En substance, la loi LALONDE, pourtant écologiste convaincu en son temps, se trouve, par ces nouvelles dispositions, contredite dans son autorisation donnée aux véhicules à moteur d’évoluer sur toutes les voies privées ouvertes à la circulation publique ainsi que les chemins ruraux.
Inacceptable pour nombre d’amoureux des loisirs dits verts qui se sont constitués en collectif. Un collectif qui, le 18 mars, compte bien, au niveau national, faire entendre sa voix…
Cette dernière circulaire bannit pour le compte la pratique de tout sport mécanique tel que moto, quad ou 4X4. Quant aux "loisirs"-verts", ils vivraient leurs derniers instants.
De fait, l’ensemble des genres concernés va entreprendre des opérations escargot dans différentes villes, en direction des Préfectures.
PERIGUEUX, AGEN, CLERMONT-FERRAND, LE PUY, DIJON, ORLEANS, REIMS, LA ROCHELLE, MONTBELLIARD, LIMOGES, PAU, MONTAUBAN, TOULOUSE, COMPIEGNE, RODEZ, LE MANS, AIX, NICE, NANCY, NANTES, LYON, seront les villes touchées. Pas moins !
Par ailleurs, le mouvement a reçu le soutien officiel de la marque KTM, de l’importateur français SIMA ainsi que de Luc ALPHAND ou encore Hubert AURIOL.
L’affluence et l’impact qui découleront de ces manifestations seront cruciaux pour la suite du mouvement. C’est en effet au fruit qu’on connaît l’arbre.
mars 14, 2006
TESTS JEREZ: Histoires à la gomme.
Les derniers essais d’intersaison viennent de se terminer à JEREZ, circuit qui ouvrira dans moins de quinze jours une saison 2006 pleine de promesses.
L’étape espagnole était, de fait, particulièrement sensible, une sorte de révision avant l’épreuve notée, un test de trois jours autant en mesure de galvaniser les troupes que de les dérouter pour le compte.
Au bilan, des résultats étonnants, au regard de ce qui s’était passé il y a tout juste une semaine sur le circuit de CATALUNYA.
Mais des indicateurs forts tout de même, dont celui de la forme éclatante affichée par BRIDGESTONE, en plus d’un trublion CHECA qui s’incruste…
Il y a une semaine, ROSSI dominait et EDWARDS repartait tout sourire avec un roadster BMW, concluant des essais positifs pour l’équipe première YAMAHA. A JEREZ, la physionomie a été toute différente.
Les DUCATI se sont rappelées au bon souvenir de tout le monde avec un CAPIROSSI motivé comme jamais qui a accroché les meilleurs chronos de Vendredi et de ce Dimanche, devant son équipier GIBERNAU. Samedi, c’est NAKANO qui signait le meilleur temps d’un plateau qui a finalement assisté à une demonstration des clients BRIDGESTONE.
ROSSI n’a jamais pu mieux faire que sixième et les HONDA ont été une nouvelle fois discrètes, les jeunes PEDROSA et ELIAS se chargeant, seuls, d’inscrire leurs machines aux portes du top 5. MELANDRI n’est jamais rentré dans les dix, alors qu’HAYDEN est seulement apparu sixième le deuxième jour.
SUZUKI, avec HOPKINS, a un moral gonflé à bloc alors que DE PUNIET peut nourrir de grands espoirs, suivant son chef de file malgrè une rage de dent tenace; quatrième le deuxième jour, cinquième le troisième, Randy est dans le rythme.
Reste que dans le clan MICHELIN, on affirme avoir travaillé sur des réglages course, alors que chez BRIDGESTONE on n’a pas caché ses tests sur les gommes qualif. Quant à DUNLOP, on se félicite tous les jours de l’embauche de CHECA. L’espagnol n’a eu de cesse de rester aux avants postes. De quoi encore semer le trouble sur le réel niveau de chacun.
Cette intersaison a-t-elle été une partie de poker menteur ? Verdict dans à peine moins de deux semaines, sur ce même tracé de JEREZ.
SOURCE: www.motogp.com
mars 12, 2006
Le rallye routier, une discipline à découvrir
Dans quelques jours commence la saison de championnat de France des rallyes routiers, avec l’épreuve de la Sarthe. Le rallye routier, quoi-t-est-ce donc ? Ceux qui sont familiers de la chose automobile connaissent sans doute, même si sur quatre roues on utilise simplement l’expression rallye, dont se sont différenciés par la suite les rallyes "tout-terrain" dont le Dakar est le plus illustre représentant.
Mais le rallye, initialement, se pratiquait sur la route.
En deux-roues la discipline a longtemps végété dans un anonymat médiatique assez profond, avant de se faire connaitre depuis quelques saisons au grand public grâce au Moto-Tour.
Cette épreuve se différencie cependant de par sa longueur, sa durée, la logistique nécessaire … Les manches du championnat se déroulent sur un format plus compact, les rendant de fait beaucoup plus accessibles aux amateurs.
Un rallye se compose d’étapes dites de liaison (c’est le "parcours routier"), qui se déroulent sur route ouverte dans le respect (théorique …) du code, et d’épreuves chronométrées (aussi appelées "épreuves spéciales"), cette fois sur route fermée, et pendant lesquelles il s’agit de rejoindre le plus rapidement possible la ligne d’arrivée. Bref, GAZ !
Les épreuves du championnat se déroulent sur un week-end, divisé en deux ou trois étapes, avec notamment une partie en nocturne (éclairage additionel obligatoire …). Le routier représente environ 200 kms par étape, souvent sur départementales tortueuses, alors que les spéciales sont courtes (moins de 10 kms)… mais intenses.
Le rallye conjugue donc pointe de vitesse et régularité. Les pénalités octroyées pour non respect des horaires de pointage lors du routier peuvent en effet anéantir les secondes difficilement grappillées en spéciale. Et tenir la moyenne imposée sur le routier de nuit, a fortiori si les conditions de route délicates, n’est pas forcément évident, surtout en tenant compte de la fatigue.
La fiabilité de la mécanique a également son importance : une demi-heure passée à régler sa synchro (spéciale dédicace aux guzzistes) ou à changer son boitier CDI (un cadeau pour les fidèles de Soichiro) ne se récupère évidemment pas facilement …
Je reviendrai régulièrement sur le sujet tout au long de la saison, en entrant progressivement dans le détail pour vous faire découvrir la discipline.
En attendant, vous pouvez aller consulter le site du rallye de la Sarthe.
mars 9, 2006
Légende des Héros: Vivement l’année prochaine !
L’aventure initiée par l’équipe de l’emblématique Hubert AURIOL s’est terminée le 4 mars dernier dans la joie et la bonne humeur. Cette dernière n’a jamais fait défaut depuis le 18 février, date de l’envolée de 25 équipages de trois pilotes au guidon de leur 500 XT.
Trois pilotes, une moto, un véhicule d’assistance et 10 000 euros par équipage, voilà ce qu’il fallait pour rouler dans les traces de la légende du PARIS-DAKAR.
Tout c’est bien passé, il y a eu une course et des vainqueurs, des français qui plus est. Et l’année prochaine, on remettra ça avec un plateau plus ouvert…
C’est donc l’une des cinq équipes françaises engagées parmi les 25 constituées (dont 18 hollandaises et deux allemandes) qui ont remporté cette édition mariant parfaitement compétition et évasion dans un environnement convivial.
Gloire donc au Team Faucigny Mont-Blanc et à ses sociètaires, Camille LEROY 49 ans, Simon DROUX, 62 ans et Xavier HOSTACHE 40 ans.
Bivouacs et mécanique sous la neige de l’Atlas ou sous les vents de sable, parcours caillouteux, des dunes, des oasis, ils en sont tous revenus, ravis de ce qui n’était pourtant pas, au regard des moyennes à tenir, un circuit touristique.
Une formule qui fait des émules. Pour les satisfaire, Hubert AURIOL remettra le couvert l’année prochaine. Avec des R 80 GS en plus des XT.
SOURCE: www.moto-net.com
mars 8, 2006
Pendant ce temps, Max…
McWILLIAMS recyclé, McCOY aux portes du Supermotard, l’opportunité SBK écartée et les tours de F.1 oubliés, Max BIAGGI végète.
Son sponsor parti, l’Empereur maudit et maintenant nu, tue le temps en faisant du Supermotard pour le plaisir, et déclare qu’il réflechit, quand même, à une entrée en SuperBike.
C’est ce qu’il a annoncé ce week-end au salon de la moto de ROME où un stand avait été érigé par les irreductibles de son fan club…
Par respect pour eux, Max est allé les voir au salon pour disserter sur ses projets. Le SuperBike, pourquoi pas, BARROS semble conquis, avec un matériel qu’il fouaille pour suivre les autres.
Le matériel, c’est toujours le problème avec Max, qui ne jure que par l’usine. Il se verrait bien avec une marque italienne. Mais le mariage des deux impératifs semblent à court terme peu probable. Sinon, s’il est patient, il y a toujours l’éventualité APRILIA.
En attendant, il s’occupe en signant des virgules et en se montrant de temps à autre. Faudrait tout de même pas qu’il se reconvertisse en phénomène de foire…
SOURCE: www.motoblog.it
mars 6, 2006
Mc COY vise le mondial Supermotard
Mc WILLIAMS s’est recyclé, l’autre Mc ne veut pas être en reste. Le sympathique petit australien à la bouille de luttin n’a pas oublié qu’il a écrit ses meilleures années sur une YAMAHA 500 Red Bull, avec laquelle il ne cessait jamais d’inscrire des virgule sur le tarmac.
Inoubliables ces passages de Garry, cobaye du seize pouces et demi MICHELIN, sur lesquels beaucoup se sont ensuite rués. Seulement voilà, une baisse de régime et on tombe vite dans l’oubli, d’autant plus qu’une reconversion en demi-teinte en SBK, n’a pas vraiment convaincu d’un renouveau.
Alors McCOY repart au combat. Nouveau défi, le Supermotard.
C’est vrai que son style semble bien coller à la discipline. Il s’y est essayé, il en est resté mordu et il s’entraîne sans relâche sur les pistes andorannes et espagnoles. Il a branché KTM pour monter un programme; la marque autrichienne a une oreille attentive mais n’a encore décidé de rien.
Le temps presse ceci dit, la saison débutant le 30 avril en Italie. Vainqueur de cinq Grand Prix Vitesse, deux en 125 et trois en 500, Garry veut, à 33 ans, défier DELEPINE ou CHAMBON. Il n’a pas encore choisi sa catégorie. Ce sont sans doute les opportunités qui décideront pour lui. En tous cas, il serait le premier australien à s’engager sur une saison complète en mondial Supermotard.
SOURCE: www.cyclenews.com
mars 5, 2006
A EDWARDS le roadster Z 4 M !
La petite compétition entre amis organisée par BMW, qui s’intégrait entre les séances d’essai officielles, et qui avait pour enjeu un roadster Z4 M au profit de celui qui signerait le meilleur chrono dans les trente minutes imparties, a été enlevée par Colin EDWARDS.
Une petite surprise alors que ROSSI domine le plateau depuis trois jours. Reste que la piste était froide, et même si cet exercice n’a qu’une valeur symbolique, il confirme néanmoins les impressions ressenties depuis le début de ces entraînements IRTA, dont certaines font sensation…
Dans un premier temps, Valentino ROSSI leur tourne autour. A chaque fois qu’il est sorti, après les autres qui s’égayaient depuis déjà quelques tours, il a réglé la question du chrono, et pas qu’un peu, de l’ordre de la demi-seconde d’écart.
Ensuite, EDWARDS est affûté, se présentant cette fois comme un vrai lieutenant en mesure d’être devant les autres, mais derrière le Maître. Puis, surtout, les brigades BRIDGESTONE sont trés bien. SUZUKI avec HOPKINS, et KAWASAKI, avec ses deux pilotes se sont toujours montrés à leur avantage. Les bonnes prestations de DE PUNIET qui a signé une quatrième place hier, sont très encourageantes.
La sensation, ce sont les YAMAHA DUNLOP Tech’3. CHECA est resté accrocher obstinément en haut de la feuille des temps, ELLISON se permettant un quatrième temps au BMW award. Cette constance sera à vérifier en condition course. En tous cas, l’étonnement est de mise.
Côté HONDA, on a donné la sensation de travailler avec abnégation, le chrono ne semblant pas être la priorité. La sérénité ne paraît pas entamée. En revanche, une pointe de déception transparaît chez DUCATI La GP6 n’a pas impressionné comme lors de ses toutes premières sorties. Et GIBERNAU lui même n’a pas caché qu’il restait beaucoup de travail avant d’attaquer le championnat, le 26 mars à JEREZ.

mars 5, 2006
SBK PHILLIP ISLAND: Seb et les Troy.
De belles courses encore que nous ont offerts les championnats SuperSport et SBK. Le niveau est vraiment serré, y compris en SuperSport où cette fois, CHARPENTIER a dû particulièrement s’employer pour décoller de sa selle un CURTAIN transcendé par l’air du pays.
Pour le SBK, les Troy ont chacun gagné leur manche. Mais ça n’a pas été de tout repos non plus, CORSER manquant perdre très gros dans sa chute en seconde manche, tandis que TOSELAND et BARROS se positionnent comme des prétendants au titre.
Pour les français, heureusement, le SuperSport existe…
Sébastien CHARPENTIER remporte donc une nouvelle victoire, aprés avoir bataillé sec avec les YAMAHA des australiens CURTAIN et PARKES. SOFUOGLU est tombé, tout comme Maxime BERGER. TIBERIO, en revanche, s’en est donné à coeur joie, taxant HARMS d’un cheveu pour la quatrième place, dans un style rappelant le titre de O.J. Yoann a fait une très grosse impression, lui qui remplaçait FUJIWARA au scaphoïde cassé après sa chute au QATAR.
En SBK, la première manche voit d’abord une envolée de BAYLISS que tout le monde voit gagner avec aisance. Mais à six tours de la fin, son pneu est détruit et il ne peut qu’assister impuissant aux remontées de CORSER, TOSELAND, BARROS, HAGA et même ROLFO.
En seconde manche, TOSELAND donne le ton au départ, puis CORSER chute dans le paquet. HAGA et PITT l’évitent de justesse, mais BARROS le percute. Image impressionnante, Troy se traîne hors de la piste juste avant l’arrivée du reste de la meute. Plus de peur que de mal…
BAYLISS, cette fois, attend son heure. Il prend la roue de TOSELAND qu’il attaque à six tours de la fin pour cravacher vers sa victoire à domicile. BARROS monte une nouvelle fois sur le podium, aprés une belle bataille avec HAGA. Deux gros caractères en baston, c’est beau à regarder…
Pour les français, LACONI, hors des quinze premiers et plus mauvais représentant des KAWA. GIMBERT anonyme et une seule course de terminée pour FORET, en dix huitième position.
BAYLISS garde pour un point la tête du championnat devant TOSELAND. CORSER se fait un peu décrocher et voit revenir BARROS qui a définitivement pris goût au SBK…
Prochaines épreuves, fin avril en Espagne.
CHAMPIONNAT SBK: BAYLISS 74 – TOSELAND 73 – CORSER 63 – BARROS 55
CHAMPIONNAT SSport: CHARPENTIER 50 – CURTAIN 40 – HARMS 21.
mars 5, 2006
SBK: Troy et Seb taillent Patron.
Les grilles pour les courses australiennes de demain sont constituées. En SuperSport, CHARPENTIER écrase une fois de plus la concurrence, avec un chrono en dessous des 1’36. Il est le seul à être descendu sous cette barre. Dire que le français maîtrise son sujet relève de l’euphémisme.
Les autres tricolores se sont parfaitement comportés. Heureusement d’ailleurs, car c’est plutôt la soupe à la grimace en SBK qui s’annonce comme une lutte pour la suprématie nationale. Les deux Troy ont signé les meilleurs chronos. Mais le reste de la meute compte bien contrarier la parade des "aussies" demain, lors des deux courses prévues…
TIBERIO n’a pas fait le voyage de PHILLIP ISLAND pour rien. Il signe un trés bon huitième temps devant la KAWA de Maxime BERGER, meilleur représentant des verts. Du travail sérieux pour deux jeunes pilotes qui en sont à leurs toutes premières courses en ce championnat du Monde. GOBERT place la YAM du GMT 94 à une belle septième place.
Pour le SBK, si BAYLISS et CORSER forment le binôme de choc, HAGA, TOSELAND et la vaillante Foggy de MARTIN se joindront aux ébats. BARROS a marqué le pas avec un neuvième chrono. Pour les français, c’est un peu la galère; LACONI est le moins bien placé des représentants KAWA avec une triste quatorzième position. GIMBERT est 21ème, devancé par FORET 18ème.
SOURCE: www.rubbermag.com
mars 4, 2006
Les premières joutes.
Le plateau MOTOGP en sa totalité a rejoint le circuit de CATALUNYA pour des essais IRTA de trois jours.
Au dernier de ceux-ci, Dimanche, une compétition sera organisée avec pour prix une BMW offerte à celui qui aura signé le meilleur chrono.
Pour se mettre en jambe, ROSSI a rappelé à tout le monde qu’il exerçait toujours sur deux roues, alors que les deux surprises venaient de CHECA et d’HOPKINS…
Est-ce pour fêter l’arrivé de son patron à la tête de l’IRTA que l’Espagnol s’est arraché pour signer le troisième chrono de ce premier jour avec sa YAM Dunlop? Un jour décidément faste pour Hervé PONCHARAL qui ne récolte que des bonnes nouvelles, que ce soit en coulisse ou en piste.
Pendant longtemps, la lutte symbolique pour la plus haute place du classement s’est circonscrite entre EDWARDS et la SUZ d’HOPKINS. Une GSV-R qui ne cesse de donner satisfaction depuis sa sortie, son osmose avec les Bridgestone semblant lui donner des ailes. Elle finira la journée quatrième devant HAYDEN, NAKANO et CAPIROSSI.
Tout comme Valentino, DE PUNIET s’est flanqué par terre sans gravité pour signer le treizième temps derrière ROBERTS et PEDROSA.
Auparavant, en début de semaine, les 125 et 250 s’étaient égayées sur ce tarmac ibérique. L’événement majeur en aura été la chute du champion du monde LÜTHI qui s’est classé la clavicule. Voilà déjà une mauvaise nouvelle pour le suisse qui arrivera en convalescence pour la première épreuve du championnat.
Les essais MOTOGP vont donc se poursuivre ce week-end, un week-end que l’on annonce pluvieux…
SOURCE: www.motogp.com
mars 3, 2006