Blog

  • FFMC : Moto verte encore et toujours

    FfmcLa circulaire Olin datée du 6 septembre 2005 qui avait pour but de restreindre l’accès aux chemins ruraux pourtant ouverts à la circulation des véhicules, n’a pas arrangé les choses. Ainsi certains propriétaires ont décidé de délimiter leurs terres en faisant usage de différents moyens plus ou moins extrêmes pour en interdire l’accès.

    "Le seul bon motard est un motard mort" semblent estimer ceux qui en arrivent à la mise en place sans avertissement et sans visibilité, de câbles, chaînes ou barbelés, en travers de chemins ruraux et parfois directement à hauteur de jugulaire ! Malheureusement, depuis 2006, ces actes sont de moins en moins isolés, et ont touché de nombreux motards et autres utilisateurs de ces chemins ouverts.

    Ainsi à l’occasion de l’ouverture du procès sur Montpellier d’un homme poursuivi pour homicide involontaire, la FFMC s’est associé au Codever (Collectif de défense des loisirs verts) dans la défense des droits des usagers à circuler sans risque sur les chemins.

    Avec le CODEVER et Motochu34, la FFMC 34 a appellé à un rassemblement le 17 octobre, afin que ces pratiques ne soient pas laissées sans suite. Cette manifestation silencieuse de soutien du monde motard à la famille de Frédéric Federici a eu lieu devant le nouveau palais de justice de Montpellier (Place Pierre Flotte).

    Ces comportements ne sont, pour l’instant, pas prêts de s’arrêter. Alors au moment d’aller faire de la moto verte, faites attention.

    Plus d’informations :
    www.codever.fr
    www.motochu34.com
    www.ffmc34.org

    Source : FFMC

  • Qu’est ce que c’est: Les wheelie bars chez les dragsters.

    Vrod_1300_destroyer_close_
    Dans cette actualité du deux-roues que je trouve particulièrement atone en ce début de semaine, on va faire un tour du côté des dragsters ça nous changera un peu, et même beaucoup. Ces compétitions ont leur charme, un charme certes très rustique, mais les machines possèdent leurs caractéristiques techniques propres, voire pittoresques mais toujours intéressantes. Qui plus est, nulle autre discipline des sports mécas ne vous permettra d’approcher la quintessence de la vitesse.

    Normal, les conditions réunies pour la pratique sont, à la base: Un moteur à explosion ou à réaction. Posé sur deux, trois ou quatre roues. Et une piste, de préférence celle d’un aéroport désaffecté, ou l’étendue déserte d’un lac salé (Bonneville, USA, par exemple).

    Mais rien ne sert de courir sans cette fameuse wheelie bar donc. Ce dispositif de stabilisation muni de petites roues à ses extrémités, est en effet destiné à éviter que l’avant du dragster (moto ou auto d’ailleurs) ne se lève trop, et surtout ne parte en roue arrière (un wheelie), en faisant un "soleil", se retournant sur le dos.

    Vrod_1300_destroyer__2

    Ici c’est le V-rod Screaming Eagle Destroyer et ses 1300cc de "moulbif" qui en est équipée. Une superbe machine accessible en théorie à toutes et tous, car en vente dans certaines concessions Harley. C’est une drag bike très épurée (pardon pour le pléonasme), sans ses "cliquos", ni phares, amortissement arrière et échappement (et les normes Euro3 alors !?), car jugés trop lourds. Difficile de faire plus radical dans les bécanes disponibles sur le marché.

    crédit photos: photo constructeur.

  • Le Polaris Revolver est ‘vraiment’ un quad hors norme.

    Polaris_revolver_ipod

    …et précurseur. Si vous comptiez l’emmener dans les ornières, la poussière et les bosses, il va falloir réviser votre opinion. Sur cet autre portfolio, dans sa livrée rouge il se pare de ses plus beaux atours avec un look que l’on qualifierait d’urbain branché. En témoignent ce dock pour iPod près de l’amortisseur de direction réglable (un GPR s’il vous plaît) et la qualité de la selle. Qu’est-ce que Polaris attend pour le sortir ?

    Polaris_revolver_red_selle

    Regardez ce travail en design, les formes fluides qui rebondissent, comme sur une Ducati Monster (toutes proportions gardées) avec la selle qui suit les lignes du réservoir. Regardez le travail de la sellerie piquée, avec du cuir le long des jambes… jusqu’au repose-pied (!?)

    Polaris_revolver_red_profil

    Sans forfanterie, notre précédente opinion comparant la lignée quad et Revolver, à l’évolution urbaine du 4×4 en SUV, explicitée dans le précédent article, se confirme à la vue des détails de cette édition. Polaris est-il persuadé, comme nous, qu’il y a du monde pour ce type de véhicules plus on-road ?

    Polaris_revolver_red_troisquart_ava

    On regrettera l’absence d’image "de face", ce regard méchant comme si le véhicule fronçait des sourcils et qui faisait le charme du précédent set de photos.

    Polaris_revolver_red_troisquart_arr

    Une nouvelle photo du guidon, de l’amortisseur de direction et de l’iPod placé à côté.

    Polaris_revolver_red_large

  • Benjamin Coisy remporte le Supercross de Marseille !

    Benjamin_coisy_979_

    "Benji" Coisy comme il aime à le rappeler sur son casque, et que l’on voit ici en off-road dans une photo tirée de son site, a remporté le Supercross de Marseille. Et se positionne parmi les crossmen à suivre de (très) près au Supercross de Bercy qui débute en fin de semaine prochaine. En l’absence de Pourcel, la Honda frappée de son numéro 979 fétiche s’impose dans la catégorie Open, devant Marvin Musquin et Stéphane Demartis.

    Ceux qui s’inquiétaient du manque de concurrence pour l’épreuve parisienne, en raison de la retraite de Ricky Carmichael* et du forfait de James Stewart, en sont peut-être pour leurs frais. Notamment avec les présences confirmées de Chad Reed, Jeremy McGrath et de frenchies et belges très affûtés comme on le voit. Mais nous vous en reparlerons dans le courant de la semaine.

    En 85, Jordi Tixier l’emporte, Dylan Ferrandis et Jeremy Chauveau arrivant deuxième et troisième. Notons, qu’il y avait beaucoup de monde pour la piste artificielle de Marseille avec ses whoops et camel jumps, l’occasion de constater qu’elle est devenue une épreuve bien ancrée maintenant dans le calendrier depuis 2004 (le SX de Marseille avait alors repris après une interruption de trois ans).

    *pour syndrome de fatigue chronique, très invalidant paraît-il.

  • Une nouvelle version des jeans protecteurs Esquad…

    Black_denim_esquad_

    Suite de la saga Esquad dont nous vous parlions dans un précédent article en des termes élogieux. Sous un slogan un peu facile quand même ("Right gear, right now"), la marque castraise propose de nouvelles versions de son précédent pantalon en Armalith et renforts Nomex (le même tissu à la base des cagoules et combinaisons dans de nombreux sports mécaniques). Pour élargir la gamme du classique, mais indémodable, Denim Blue, la protection contre l’abrasion et certains chocs en plus.

    Black_denim_esquad_modles_1_2

    Sont également en vente des blousons à 449 € intitulés E-Korsium, ils aiment bien les appellations à la consonance latine et scientifique ces p’tits gars. Les jeans sont proposés uniquement en version homme, comme le jean E-Strong ci-dessus avec ses renforts aux genoux, conçu pour les longs trajets, à partir de 249 €. Soit trois fois plus cher qu’un Levi’s 501, mais celui-là sauvera vos jambes, si ce n’est plus.

    Black_denim_esquad_modles_2_2

    Le jean E-Stein, adapté pour les trajets urbains et ponctuels, toujours couleur Black Denim et dans les mêmes prix.

  • Les BMW du MSC Napoli

    Napoli

    On se souvient tous du naufrage du MSC Napoli à la mi-janvier 2007. Les conteneurs échoués sur la plage de Branscombe et les Britanniques affluent par centaine pour une chasse au trésor inusitée.
    On apprend maintenant que les plus téméraires ayant réussi à extirper une moto BMW de ce fouillis pourront légalement la conserver. BMW offre cependant l’option de rachat pour près de 4000 € avec l’intention de détruire les motos, qui peuvent être endommagées. Les assureurs du constructeur allemand renonçant devant l’ampleur de la tâche à retracer tout ce matériel.
    Être du département marketing de Béhème, j’en mettrais une en parfait état de marche au musée. Ça peut servir une R1200RTqui roule sur l’eau.

    Napolibmw

    Bmws

    Jan31bmw

    Crédits photos: Leon Neal, Philip Plisson

  • Michelin Challenge Design 2007: Le Polaris Revolver.

    Polaris_revolver_4_2

    Alors que se préparent les candidats du Michelin Challenge Design* qui se déroulera la seconde quinzaine de janvier 2008, revenons sur certains lauréats et concurrents remarqués cette année. Débutons par le Polaris Revolver tout d’abord qui a terminé à la deuxième place derrière Audi (!), et avait été présenté pour la toute première fois au Salon du Deux-roues de Paris en 2005. Les déflecteurs au-dessus des phares lui donnent un regard agressif vous ne trouvez pas ? Et ce n’est pas son seul atout.

    Polaris_revolver_2

    Pour une petite présentation générale avant d’aborder les choses sérieuses, Polaris est une marque américaine très connue pour ses motoneiges, et pour avoir été la première à équiper celles-ci de suspension indépendante à l’avant (pour remplacer celle à lames à ressort).

    Sortent également de ses chaînes de montage des ATV (All Terrain Vehicles), ou quads chez nous, son Sportsman X2 a d’ailleurs été élu quad européen de l’année 2007.

    Elle est également le fabriquant du Ranger sorte de véhicule aux allures de Mini Moke de golf, et des bécanes Victory, dont on reparlera ici.

    Concernant l’idée derrière ce concept, Polaris a voulu que son Revolver soit un ATV capable de bonnes performances routières et tout-terrain, constatant que les quads homologués n’était bien souvent rien d’autres que des véhicules de terre à peine adaptés à la route.

    Polaris_revolver_3

    Pour ce faire il cube du 500 (alors que sa cylindrée paraît plus du double sur certaines photos comme celle avec la belle hôtesse), un moulin à refroidissement liquide, mû par une boîte 5 vitesses, et équipé d’amortisseur de direction hydraulique, pour ce qui est des caractéristiques intéressantes de la partie cycle.

    La selle est conçue pour deux personnes mais on est surpris par sa forme très relevée vers l’arrière. Votre passagère (ou passager, ne soyons pas sexiste, héhé) ira directement s’encastrer derrière vous. Sympa si c’est votre copine, mais un peu saoulant à la longue.

    Autant faire une selle étagée si c’est pour la relever: avec une selle pilote et une "bavette" arrière plus haut, comme sur de nombreuses motos modernes. Ou dans les selles monoblocs, laisser une dépression pour le conducteur près du réservoir comme sur la plupart des quads biplace, puis plane ou légèrement relevée pour le passager. En dehors du parti-pris esthétique, je vois mal l’intérêt de cette solution sur le Revolver.

    Polaris_revolver_5

    Sacré empattement du véhicule sur cette photo de profil, encore accentué par le gabarit très compact du corps du quad qui lui donne des airs de petite Buell, je trouve: un gage de stabilité sur terrain meuble et surtout en courbe. Tout concourt à un centre de gravité bas, visant à combattre le roll-over et éviter de faire du quad le scooter du 21ème siècle niveau stabilité.

    Regardez à nouveau la photo de face et notez le carrossage négatif: on va pas vous embêter encore avec une définition technique, disons que les roues sont "en dedans" (comme sur une F1, l’exemple-type), et non strictement perpendiculaires au sol.

    C’est destiné à permettre une meilleure adhérence des gommes dans les virages. Normal, il est bon de rappeler à tous que ça vire à plat un quad, c’est pas une moto qu’on met sur l’angle.

    Polaris_revolver_6

    Pour ce qui est de son utilisation, pas facile de le classer dans les catégories classiques des quads et tant mieux aurais-je tendance à dire:

    – ni utilitaire (surtout pas, beaucoup trop beau, pas rustique pour un sous, visiblement peu polyvalent, pas de possibilité de chargement, aucun accessoire de rangement),

    – ni loisir (pas assez fun, trop luxueux, cylindrée trop importante),

    – ni sportif (trop design, apparemment lourd, et aucune protection, gardes-boues minuscules et "collant" à la roue: pas terrible pour le off-road, pneumatiques asphalte: faible accroche sur terre).

    Concernant cette dernière catégorie, remarquons d’ailleurs qu’il n’est pas fait mention d’un différentiel arrière** dans la fiche technique du Polaris Revolver… Dommage. Ceux qui en ont essayé un en glissade en courbe savent de quoi il retourne, mais ça ne semble pas son but non plus.

    On dirait que le quad avec ce Polaris Revolver subit la même évolution que les 4×4 avec les SUV*** mais sans les défauts: il se civilise (on a pas trop insisté dessus, mais quelle gueule terrible il a quand même ! ) sans forcément perdre de sa technicité.

    *après Pirelli et sa rétrospective WSBK et WSS, je reste dans les pneumatiques…

    **divise l’entraînement entre les roues arrières, leur permettant de tourner à des vitesses différentes, en cours de virage ou lorsqu’on traverse des surfaces inégales. Très sympa en mode sportif, croyez-le !

    ***Sport Utility Vehicle sorte de 4×4 "Canada Dry", à l’image du Toyota Rav4. Cette catégorie de véhicule regroupe les "4×4 de ville", des faux 4×4 dont il ne reste que le look, la garde au sol et la garde au toit. Mais dépourvus des capacités de franchissement du vrai 4×4 (sauf pour les trottoirs et des bordures gazonnés, mouah ah ah): roues motrices réduites à deux et donc plus de boîte de transfert évidemment.

    crédit photos: Site Michelin Challenge Design

  • Le Yamaha Tesseract enfin mis sur l’angle. Timidement ?

    Yamaha_tesseract_en_courbe

    Dans la "com" à dose homéopathique et le teasing de Yamaha, ce dernier nous gratifie d’une photo supplémentaire. Je vais vite passer dessus pour parler plus amplement du Polaris, d’autant qu’on a énormément discuté de ce superbe proto sur le Blog Moto, beaucoup plus que n’importe quel site/blog spécialisé deux-roues. Je vous invite à regarder cet article et celui-là. Mais je suis heureux de le voir enfin en action. Remarquez l’importante garde au sol, le sabot moteur, les garde-boues carbone, et l’apparente fragilité de la partie cycle dans ce passage en courbe simulé.

  • Salon de Tokyo. Que reste-t-il de nos amours?

    Poupounes

    Jetant un coup d’oeil sur les nouveaux prototypes et concepts, futuristes ou pas, présentés au Salon de Tokyo, j’ai eu l’idée d’aller voir un peu dans le passé, que l’on dit garant de l’avenir. Présenter un nouveau modèle concept dans un Salon, c’est tendre la perche puis compter les prises pour prendre la mesure du succès ou de l’échec d’une idée. Si le compte est bon, on tente sa chance en allant de l’avant avec la production, en espérant le succès. Entre temps, la dure réalité de la création et mise en marché d’un nouveau produit, parce qu’une moto est un produit comme un autre finalement, frappe fort et souvent de plein fouet l’équipe de mise au monde. C’est pourquoi il me semble intéressant de jeter ce regard, juste pour voir ce qui reste du rêve, une fois que le long travail de mise au monde est achevé. Le bébé est-il beau et en santé, réussira-t-il sa vie, l’aimera-t-on, mais surtout, qu’a-t-il conservé de son ancêtre?

    Hondacb

    Je triche, déjà, puisque ce concept est celui du CB400 Super Bol d’Or de 2005. Juste pour montrer que parfois, il y en a qui ne lâche pas le morceau. La CB1100R vu cette année au Salon ne diffère pas beaucoup des modèles roulants depuis plus de 20 ans. Être agacé, on pourrait dire que Honda nous sert du réchauffé, du pareil au même, qu’il serait temps qu’ils lâchent le morceau. Être poli, on dirait que c’est une variation sur le même thème, qu’on ne change pas une formule gagnante et que tant qu’on se les arrache…

    Hondascout

    En Europe, c’est le Zoomer, de ce côté-ci le l’Atlantique, on le nomme Ruckus. Le camion des scooters a ses adeptes, mais la jeunesse d’ici préfère le BW’s de Yamaha. Un Zoomer blanc, nommé NP6-D vu l’année dernière plairait peut-être aux filles, mais j’imagine que c’est le copain qui devrait le faire reluire pour les sorties en couple du dimanche!?

    Vmax

    C’est peut-être juste moi, je trouve le V-Max actuel lourd, et je ne parle pas de son poids réel, juste de son apparence, comme si en fin de soirée passée à table ayant trop mangé et bu, il se sentait lourd. Du concept de 2005, il a beaucoup gardé, sauf la partie arrière qui me plaisait bien sur le prototype. L’échappement conventionnel et la selle, sans doute confortable mais hideuse, ne l’arrange pas. Mais encore, ça, c’est juste moi.

    Mt01

    Ça semble être un trait de caractère chez Yamaha, réussir la partie arrière sur le concept, comme pour cette MT-01 de 1999, mais ne pas en transposer l’esprit sur le modèle définitif. J’ai quand même eu le plaisir de rouler un peu avec une MT-01 cet été, et malgré la pluie battante, en ai apprécié chaque instant. Ces gros V-Twin ont une bonhomie particulière. Tout en douceur si on le souhaite, ronronnant comme un chaton, mais capable de sortir les griffes à la moindre provocation.

    Victory

    S’il y a certains concepts qu’on ne souhaite pas voir réaliser, ce sont bien ces visions futuristes à la Raymond Loewy mal digérées. Yamaha avec son Gen-Ryu de 2005 fut suffisamment sage pour n’en faire qu’une bête de salon, ce que Victory, le constructeur du Mid-West américain, ne fit pas. Il y a beaucoup de choses qui je ne comprends pas dans la vie, en voilà une de plus.

    Bking

    Que dire, c’est pareil ou presque, sauf pour les ajustements d’usage pour la production en série. Qu’est-ce qui leur arrive chez Suzuki? C’est pas des manières.

  • Glamour & intensité du Superbike – Supersport chez Pirelli

    Pirelli_sbk_philip_island

    Si comme moi, vous êtes abonné(e)s – c’est gratuit – à "Planète Pirelli", la lettre d’information du fournisseur officiel de pneumatiques des disciplines précitées, vous l’avez reçue aujourd’hui. Pour les autres, sachez que le célèbre manufacturier italien, qui est aussi éditeur du très recherché calendrier éponyme, sait y faire en photos qui, ô agréable surprise, sont proposées en grand format. L’occasion de revenir sur la saison 2007 et surtout de la regarder d’un autre oeil. Contact…

    Voici une petite sélection, parmi toutes les photos du site. Ces clichés permettent de vérifier qu’en intensité et en glamour, le Superbike et le Supersport, n’ont rien à envier au MotoGP, et aux championnats 250 et 125cc. Il m’a fallu un peu chercher parfois, car les noms des pilotes ne sont pas indiqués et encore moins leur résultat, seulement le circuit. Pour certains c’était facile (Charpentier, Bayliss, Haga, Toseland), pour d’autres, beaucoup moins évident (Parkes, West).

    On commence par l’Australien Broc Parkes donc, en Supersport, pestant contre le sort et sa Yamaha, à Assen aux Pays-Bas.

    Ssp_2007_5_17_assen_2

    Sébastien Charpentier toujours en Supersport, et encore à Assen, certainement après sa seconde place sur la grille ou à tout le moins pendant les qualifs (il finira sixième de la course). Etrange attitude, le regard un peu dans le vide, il revenait après un sacré "tampon" à Donington et Andrew Pitt l’avait remplacé au côté de Sofuoglu. Grand champion en tout cas, mon esprit (un peu) cocardier mis à part, vraiment !

    Ssp_2007_5_13_assen

    James Toseland qui n’était pas encore champion du monde de Superbike pour la seconde fois, en burn (ou burn-out en Anglais) après sa victoire de la seconde manche à Phillip Island, (il termina second de la première).

    Wsbk_2007_2_18_phillip_island

    Le champion Troy Bayliss toujours à Phillip Island (chez lui, en somme), se rafraîchit devant ses troupes, pour un feedback (un retour d’informations du pilote pour la mise au point de la machine) devant les ingénieurs et/ou mécanos qui prennent des notes.

    Wsbk_2007_2_01_phillip_island

    Haga, le "presque" champion du monde de SBK, "si loin, si proche" comme l’on dit. Toujours à Phillip Island, en wheeling (ou wheelie, c’est pareil), lors de la seconde manche certainement, la seule qui l’aura vu monter sur le podium, et occuper la 3ème marche.

    Wsbk_2007_2_32_phillip_island

    Sébastien Charpentier encore. Imperturbable, bien qu’en galante compagnie (ah les umbrella girls des sports méca !) avant le départ à Monza, avec ce célèbre sparadrap sur le nez sensé améliorer votre respiration, tout comme Valentino Rossi qui le porte aussi.

    Ssp_2007_6_16_monza

    L’Australien Anthony West à Monza, toujours en Supersport. Je l’ai mis juste après Seb car la similitude des motifs des casques avec cette croix de drapeau sudiste américain (comme Sébastien Charpentier), ou à l’écossaise (comme David Coulthard en Formule 1) est frappante.

    Ssp_2007_6_03_monza

    Dans mes bras ! Podium Superbike à Misano.

    Wsbk_2007_8_03

    Ah, on s’encanaille un peu, un superbe c.., hum, un superbe "derrière" pardon, sponsorisé par Ducati.

    Wsbk_2007_8_02

    En espérant que ça vous aura plu. Et n’oubliez pas de faire un tour sur leur site, Pirelli France.