Blog

  • Nouveauté 2008 : Suzuki GSX-R 750

    Gsxr_750_2008_13 Nous vous avions présenté sa petite soeur la 600 cm3 il y a peu de temps, et bien voici maintenant la version 750 cm3 en photos qui arrivent directement du salon de la moto à Paris.

    L’échappement, comme vous pourrez le constater, est le même que sur la 600. Plus long mais plus bizarre aussi que la version précédente, il ne fera pas l’unanimité, loin de là. Mais quant au reste de la machine, on ne peut qu’approuver franchement le travail qui a été réalisé par Suzuki sur sa gamme GSX-R 2008. Bref, trêve de bavardages et faisons place aux photos.
    Big_suzuki_gsxr_750_2008_21
    Gsxr_750_2008_12
    Gsxr_750_2008_11
    Gsxr_750_2008_10
    Gsxr_750_2008_1_2

    Crédit photos : Moto-Planète

  • Essai (libre) du Kawasaki Ninja ZX-6R 2007, 2de partie

    Kawasaki_ninja_zx6r_leblogmoto_4

    Au contact, le feulement typique du quatre-cylindres en ligne est trompeur… jusqu’à 6000 tr/min environ où il commence à être enfin « plein », les chevaux étant complètement lâchés à partir des 10000, la zone rouge (même pas approchée ou effleurée, rassurez-vous) commençant vers les 16500 tours. Comme on pouvait s’y attendre, la circulation en ville souffre de la conception de la boîte de vitesse, avec un point mort un peu difficile à attraper et un étagement très (trop) sport avec une première qui semble infinie et des rapports suivants très courts.

    J’hésite à classer cet « étagement sport » de la boîte (et la surconsommation qui va avec en ville) dans les réels défauts, sachant que lorsque on achète ce genre de moto, on ferme les yeux dessus. Cela revient presque pour un caisseux (un automobiliste) à acheter un cabriolet et se plaindre des courants d’air, capote relevée. Et inutile de dire que pour les espaces de rangement, c’est du pareil au même, il doit à peine y avoir la place pour votre antivol. Dans la circulation sur la rocade (« LA » rocade comme disent les Toulousains, un peu comme le périph’ pour les Parisiens), le vert Kawa – pour les daltoniens, une sorte de mix entre le vert pistache et le vert pomme – jure un peu avec les couleurs même acidulées des petites voitures.

    Le comportement sur circuit apportera quelques infos supplémentaires, je crois. Enfin "circuit" est un bien grand mot. Le "circuit vitesse" au Candie relève plutôt du ruban d’autoroute ou de la voie rapide, avec même une glissière. Ne vous attendez donc pas à un test façon Philippe Monneret au Castelet dans Auto/Moto sur TF1.Le Candie est un circuit gratuit, très convivial, et autogéré, où l’on peut très rarement effectuer un tour clair (c’est à dire sans être gêné) en raison de l’absence de feux notamment. D’autant que – difficulté supplémentaire – la  piste est poussiéreuse car des crossmen s’entraînent avec un terrain rien que pour eux en plein milieu de la boucle et mon essai se déroulait en soirée. Rien à voir avec le Carole de la région parisienne donc. Une chicane, quatre courbes, pour une longueur d’un peu plus d’un km (et quelques tours) suffiront pour se rendre compte que le châssis même s’il est beaucoup plus rudoyé que sur route, reste franc et stable.

    Et alors que l’empattement de la moto paraît plus important que chez d’autres 600 japonaises, il permet tout de même des changement d’angles très faciles: par jeu, je l’avais tâtée sur la piste d’éducation routière, sur une piste connexe et très serpentée, et elle est d’une maniabilité surprenante à vitesse lente.En réaccelération en sortie de courbe et reprise, les accéléros sont étonnantes pour une sportive de cette cylindrée, mais on ne se fait pas piéger comme avec une 1000 où remettre les gaz se termine parfois par un magnifique tout-droit. De façon générale, je n’ai pas trop pensé à la tester et surtout l’éprouver réellement, et jamais je n’aurais cru qu’on voudrait de moi un jour au blog moto, mes tours étaient donc surtout "ludiques". Je ne connaissais pas son poids il y a quelques mois, mais ma seule référence est la 1000 que j’utilise. Inutile de dire qu’à ses côtés, l’inertie de la Kawa semble idéale…jusqu’à l’amorce du freinage, car on s’enfonce comme une molaire dans un chamallow.

    Le transfert vers l’avant au freinage et même en simple décélération donne à la fourche des airs de trampoline à mon goût, mais ce n’est pas réellement de sa faute, je n’ai pas pu régler les suspensions, et je n’ai pas eu l‘accord du proprio pour le faire… ni personnellement l’envie d’ailleurs.

    Concernant son ergonomie, la garde au sol est idéale, la position de conduite (de pilotage ?) caractéristique, sur les poignets et avec les jambes repliées (et commune à toutes les sportives dignes de ce nom) est tout de même un poil plus radicale et fatigante à la longue que chez la concurrence, surtout dans le trafic évidemment.Mais rien à voir avec le supplice qu’inflige la petite Daytona de chez Triumph (pourtant une merveille en pilotage de vitesse) dont on reparlera une autre fois. La position de conduite, malgré mon gabarit, ne me semble pas justifier l’achat d’une bulle haute.

    Les commodos quant à elles tombent toutes sous les doigts et le tableau de bord est parfaitement visible sans avoir à conduire tête dans le guidon-bracelet, mélangeant agréablement l’affichage analogique (compte-tours à aiguille) au numérique (compteur de vitesse à cristaux liquides) comme il est de rigueur chez les sportives à l’heure actuelle, avec un indicateur de rapports engagés (le shift light), qui s’agite à tout moment. Un bonheur pour votre vision périphérique surtout pour les personnes « hautes sur selle » comme moi qui tiennent plus de la grande carcasse que du gabarit de jockey à la Dani Pedrosa. C’est un heureux changement par rapport à la version précédente de la ZX-6R, aux instruments entièrement numériques (beurk), elle.

    Concernant les instruments encore, ne manque plus qu’un système d’acquisition de données (pour mesurer ses temps au tour, connaître le régime moteur, le rapport engagé à n’importe quel moment et l’analyser sur ordi), et qui équipe déjà certaines motos comme la Ducati 1098. Un (petit) oubli qui met un peu à mal son côté « sportive exclusive », mais c’était juste pour lui chercher des poux sur la tête de fourche. Pas de stunt pour des raison évidentes de prêt amical, ni d’excès de vitesse sur route ouverte (because feuillet rose dans ma poche), désolé pour les lecteurs du mag Moto & Motards.Je me suis permis de changer de façon discrétionnaire ma note technique en note de raison, pensant m’être étendu sur la partie moteur et sur la partie cycle.

    Note de raison : 15/20 C’est la vraie pistarde annoncée sur la pub et par le pitch du concessionnaire, mais ni trop radicale, ni trop exclusive non plus. Pas piégeuse dans une utilisation raisonnable, elle m’a l’air tout à fait vivable au quotidien, que ce soit pour l’assurance et l’entretien aussi (avis du proprio). Par contre, dans la circulation en ville, vous risquez de la trouver un peu moins "pêchue" que le roadster que vous aviez en moto-école (oh oui), et si son pilotage reste accessible, elle n’est pas aussi facile qu’une supersport Honda de même cylindrée.

    Note de cœur : 17/20 C’est à ce jour la meilleure 600 japonaise qu’il m’ait été donné d’essayer bien que je ne connaisse pas les versions très récentes en 600cc des autres marques. Elle possède – pour une 600 – pas mal de gnaque dans les bas-régimes, et une vraie gueule. En espérant que ce test vous aura plu, et s vous avez des suggestions, des corrections, des avis contraires, n’hésitez pas vous, ne vous ferez pas rembarrer. P.S: Merci à Jérôme pour sa confiance (!!!), et qui ne devait pas s’attendre à ce que sa bécane serve un jour sur le Blog Moto (moi non plus).

  • Kawasaki : Ninja 250 R

    Kawasakininja250rnoireOui vous lisez bien, la marque des motos vertes va s’attaquer à la catégorie 250 cm3 avec cette Ninja R.

    Sa tête de fourche vous rappellera sans doute l’ER6F avec son optique de phare assez gros. Pour le moment, pas d’infos du côté de la puissance même si on pense que celle-ci devrait se situer aux alentours des 30cv. Cette Ninja devrait être dotée d’un bicylindre quatre-temps en ligne de 249 cm3 (double ACT) à refroidissement liquide, bicylindre qui laisse imaginer que cette moto sera assez "coupleuse" dans les bas régimes. Sa partie cycle devrait être des plus classiques, ce qui la destinerait plutôt aux jeunes permis ou à ceux qui voudraient se remettre à la moto sans soucis. Attendons de voir ce que cela donne…
    Kawasakininja250r

  • Essai (libre) du Kawasaki Ninja ZX-6R 2007, 1ère partie

    Kawasaki_600_zx6r_2007_pour_le_blog

    C’est un avis strictement original et très libre comme vous le verrez, après l’avoir essayée en personne chez un ami, puis une seconde fois sur le circuit Candie près de Toulouse. Qui plus est, vous êtes assez grands pour savoir si cette moto était en « full » ou pas.

    Avis donc aux amateurs de rutilants roadsters idéalisant les motos au moulin coupleux et glorifiant l’arsouille en « naked bikes » sur les départementales : passez votre chemin.  :oP

    C’est aux pistards que cet article s’adresse, ou à ceux qui aspirent à… prendre l’aspiration sur les circuits, enfiler leur combarde multicolore, poser les sliders en pleine courbe (et non pas le talon en avant façon super-motard), et réaliser des freinages millimétrés sur l’angle.

    Et tant mieux, car Kawa a décidé en cette année de polir (et réduire !) sa gamme, en ne proposant plus qu’une seule version de sa Supersport ZX-6R qui cube uniquement du 600 au lieu de 600 et 636 cc précédemment.

    Un moteur qui affiche 131 chevaux en full (ou version libre), contre 106 chevaux chez nous, une info qui n’en a que plus d’importance malheureusement, depuis le classement sans suite de la plainte de la FFMC devant la Commission Européenne il y a dix jours.

    Mais trêve de conjectures : un tour du propriétaire, avant de la chevaucher, permet de constater que la «Kawa» possède toujours son museau si typé.

    La fourche avant, avec ses doubles optiques si caractéristiques, pose toujours ses yeux de batracien (ou de serpent, c’est au choix) sur la trajectoire à venir, et regarde ses rivales adopter un design plus sage et conformiste telles que la Honda 600 CBR.

    Ajouté à cela une veilleuse entre les phares, juste sous la prise d’air centrale (l’admission d’air forcé).

    Toujours l’inscription « Ninja » qui se détache bien sur le vert Kawa et qui a le don d’arracher un sourire, parce qu’elle n’évoque pas vraiment la vitesse mais plutôt la furtivité, contrairement à la Hayabusa (faucon japonais) de la Suzuki si bien nommée.

    Un coup d’oeil indiscret (mais flatteur) sur son postérieur indique que Kawa a malheureusement cédé à la mode du tout-sous-la-selle concernant l’échappement, même si c’est toujours mieux que le ridicule petit pot tristement tronqué sur le côté des précédentes Suzuki GSX-R 600 et 750.

    Le cul est semble t’il tout aussi haut mais beaucoup moins effilé, beaucoup plus charnu et rempli que sur ces deux dernières et l’ensemble des autres 600cc japonaises ou 675cc anglaise, qui ont de véritables lames à la place des fesses.

    A la différence de la photo "constructeur" qui orne l’article, cette kawa n’avait pas de capot de selle, mais inutile de me demander pour autant ce que je pense des duos sur cette moto, je n’ai pas essayé avec un sac de sable comme on dit (un passager ou une passagère quoi…).

    Pas de mono-bras, de toute façon rares (voire inexistantes) sont les supersports à en être équipées, même chez les européennes qui ne jurent quasiment que par lui (chez les superbikes), que ce soit chez Triumph ou Ducati.

    La selle, justement, dont le manque de confort est à déconseiller à toute personne souffrant d’hémorroïdes, une vraie « sport » en fait : sans (trop de) concession(s).

    Concernant sa conception proprement dite, elle est celle d’une moto de compet’ : la partie cycle est dotée d’une fourche inversée (évidemment), de nouveau étriers de frein diablement efficaces, mais aussi, ô surprise, d’une boîte de vitesse extractible et un embrayage anti-dribble, ne manque plus que des durites type aviation.

    Un grand classique… C’est souvent la même chose, les constructeurs sont les premiers à vous fournir une machine taillée et présentée pour le circuit emballée dans des publicités agressive et un look du carénage du même acabit… et oublient certains détails dont ces durites, les seules à fournir ce feeling si particulier au freinage (et qui reste le même au fil du temps).

    A venir : Contact ! Avis sur le comportement du moteur et du châssis, en circuit fermé et dans la circulation dense, remarques sur l’ergonomie, avec pour finir une note technique et une note de cœur.

  • Moto GP Australie : Dani Pedrosa incertain

    1170930685_a103868b87_o L’espagnol n’est pas certain de pouvoir participer au grand prix d’Australie, la faute à cette lourde chute qui a mis fin à tout ses espoirs de victoire au Japon. Dani, qui était parti en pôle position dimanche et qui avait réglé d’une main de maître toutes les séances d’essais du week-end, avait toutes les chances de remporter ce grand prix.

    Une chute viendra tout arrêter, dommage, mais c’est peut être bien le pilote espagnol qui a commis une erreur technique. En effet, et il le reconnait lui même, il aurait peut être du s’arrêter aux stands un peu plus tôt pour changer sa moto : "Peut-être que j’aurais dû rentrer aux stands avant, mais maintenant que je sais comment cela c’est fini, c’est plus facile a dire!". Toujours est il que Dani Pedrosa souffre d’une blessure au pied gauche et que l’on a tout d’abord pensé à une fracture. "La chose plus préoccupante à l’instant est que je sens la douleur comme si je m’étais fracturé un os dans le pied".

    Incertain pour le grand prix moto GP d’Australie, Pedrosa (Honda) est actuellement 3e du championnat derrière Valentino Rossi (Yamaha). Un abandon en Australie et ses espoirs de terminer 2e et de battre Rossi au classement général s’envoleraient. D’autant qu’il n’est même pas certain que Dani réussisse a conserver cette 3e place, les pilotes Hopkins et Vermeleun n’ayant pas un retard insurmontable.

  • Moto GP : Les tests 2008 commencent

    Rossi_test C’est après un grand prix du Japon complètement fou qui a vu le sacre de l’australien Casey Stoner que quelques teams on testé de nouvelles montures pour la saison 2008.  

    Les essais se sont passés sur le circuit du Motegi qui a accueilli le grand prix dimanche. Et comme l’an passé lors des tests hivernaux, c’est Suzuki qui a le mieux développé ce qui sera sa future machine. C’est en effet Chris Vermeulen qui réalise le meilleur chrono devant Colin Edwards et une ébauche de sa nouvelle Yamaha. Nicky Hayden sur sa Honda réalise le troisième temps juste devant Valentino Rossi (Yamaha).

    Rossi08_d

    Suzuki est donc une nouvelle fois en avance sur la concurrence, et le pilote Aoki devrait se charger du développement de la nouvelle monture. Et à la vue des temps réalisés, il ne serait pas impossible que le prototype encore à l’essai au Japon soit de la partie pour les derniers grands prix de la saison 2007. Si tel était le cas, ce serait alors Aoki qui prendrait son guidon.

    Voici les chronos officiels des essais du Motegi :
    1. Vermeulen (Suzuki) 1.47.894
    2. Edwards (Yamaha) 1.47.947
    3. Hayden (Honda) 1.48.065
    4. Rossi (Yamaha) 1.48.213
    5. Akyoshi (Suzuki) 1.49.090
    6. Yanagawa (Kawasaki) 1.50.229
    7. Okada (Honda) 1.50.641
    8. Aoki (Suzuki) 1.50.675

    Suzuki_202_20motegi_20test_20aoki_2

    Suzuki_201_20motegi_20test_20aoki_2

  • L’ACEM change de tête…

    Stefanpierer Stefan Pierer, 51 ans, PDG de KTM et actionnaire majoritaire de la marque depuis 1992 prend la suite de Herbert Diess, PDG de BMW Motorrad, à la présidence de l’ACEM (Association des Constructeurs Européens de Motocycles). Espérons qu’il réussira à faire aussi bien que son prédécesseur qui, au cours de ses deux mandats, a fait augmenter le nombre d’adhérents de l’assiociation et s’est concentré sur l’amélioration de la sécurité routière et du transport urbain.

    A la fin de l’élection, Stefan Pierer a affirmé vouloir participer, au travers de l’ACEM, au développement d’un système de transport durable, suivant ainsi les traces de Herbert Diess. La vice-présidence de l’ACEM sera toujours occupé par Leo Francesco Mercanti, PDG d’Aprilia et vice-PDG de Piaggio, tandis que le second vice-président sera Fritz Geri, vice-président de BMW Motorrad.

    Rappelons que l’ACEM représente les intérêts et compétences de onze constructeurs de deux roues, ce qui représente vingt marques. Ainsi elle dégage un chiffre d’affaire de dix milliards d’euros et emploie 100 000 personnes.

  • Triumph : Speed Triple bestial ?

    Speed_1_euro Pour ceux qui ont l’intention d’acquérir un Speed Triple avant le 31 octobre 2007 sachez que Triumph vous fait une offre.

    En effet pour un euro de plus vous pourrez acquérir un saute-vent et un dosseret de selle, histoire de rendre votre belle speed "encore plus bestiale" tout en économisant 508€. Dotée du fameux trois cylindre anglais de 1050 cm3, la speed triple est une moto que l’on ne présente plus.
    Rappelons cependant que vous devrez débourser 10 990€ (hors frais de mise en circulation) pour obtenir ce roadster.

  • Triumph : De l’orange pour le Tiger 1050 ?

    Triumphtigerblazingorange Pas de grandes modifications pour la Tiger 1050 modèle 2008 si ce n’est l’ajout d’un nouveau coloris le Blazing Orange.

    Rappelons quand même que cette machine possède le fameux trois cylindres de 1050 cm3 de 106cv si cher à la marque anglaise. Pourrait-on pour autant dire que c’est un supermotard sportif ? En tous cas, sa selle accueillante permet d’avaler les kilomètres sans trop de douleurs et sa polyvalence vous permettra quelques extravagances.
    Côté coloris elle est aussi disponible en Caspian Blue, Fusion White et Jet Black, avec ou sans ABS pour le tarif de 10490€ TTC (11210€ TTC avec ABS).

  • Hypertour pour l’Hypermotard

    Ducati_hypermotard Fort du succès des 12 étapes italiennes de l’Hypermotard, Ducati a décidé d’étendre son périple en Europe.

    Cet Hypertour sera aussi l’occasion pour vous d’essayer la Multistrada 1100, la Sport Classic GT1000 et les Monster S2R et S4R.

    Aussi au programme :
    – Une démonstration de moto exécutée par la Ducati Desmo Lady School, une école réservée aux femmes conduisant des Monster 695.
    – le "Biker Kid Area", un espace de jeu réservé aux enfants avec des Ducati Peg Perego.
    – Animations diverses.

    Pour le moment il y a des dates pour l’Espagne et l’Autriche mais la France ne devrait pas être en reste…