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  • L’alcool au guidon

    Carton_250cb_1

    Après le long sujet en cours sur la Roumanie et les posts à venir sur les plans dépannage type atelier de brousse, j’envisageai d’aborder certains points liés à la protection et à la sécurité des motards.
    Elisabeth, me tends la perche pour aborder déjà un point fondamental :

    L’alcool au guidon .

    OK, ça craint, faut pas.
    J’en ai déjà parlé au sujet des concentres qui sont à mes yeux des " boucheries " en raison surtout des beuveries liées à ces manifestations et de ce qui s’en suit :
    Grandes gueules, défis et cartons en série.
    Je n’aime pas les démarreurs électriques, ce magique petit bouton qui te sort de la panade quand tu t’es vautré au fond du gué que tous tes potes ont passé en rigolant.
    Bon pour ça c’est bien mais pour moi, LA MOTO CA SE MERITE et si tu n’est pas capable de la piloter, parce que, par exemple tu as trop bu, tu n’es pas non plus capable de la démarrer.
    Avec un kick, c’est clair : si t’es dans les choux, ta meule refusera de craquer et tu dormiras sur place.
    Avec le petit bouton, elle t’obéit et tu dors au cimetière…

    Une illustration a méditer ci-dessus…

  • L’atelier de brousse 3

    Mobra

    L’Ivéco m’attendait devant le Conseil Général à Foix, chargé de 60 m3 de tétines, Pampers et lait en poudre. Nous devions d’abord rejoindre 35 bahuts regroupés à Lyon puis traverser toute l’Europe en convoi. Un méga cirque Barnum…

    Elle nous accueillit en foule, grise, timide, voire timorée, mais aussi enthousiaste. Des gamins nous bloquaient sur la route pour écrire simplement avec leurs doigts crasseux, sur la poussière qui couvrait les camions : " Vive la France ! " certains chantaient la Marseillaise.

    Profitant du bla-bla politico-médiatique organisé à Lyon, j’ai téléphoné à la FFM pour avoir les coordonnées de la fédération moto roumaine (FRM). Idée saugrenue ! la secrétaire, du bout des lèvres me lâcha, sous toutes réserves, un nr de téléphone dont elle me précisa qu’elle n’était pas certaine qu’il exista encore, comme elle doutait aussi que cette fédération moto ait survécu au régime Ceaucescu : plus aucune nouvelles depuis 4 ans ! On verra bien …

    Des 4X4 rutilants du Comité International de la Croix Rouge (CICR) exclusivement occupés par des citoyens helvétiques étaient censés nous encadrer pour nous ouvrir une route qu’ils connaissaient moins bien que la majorité des chauffeurs.
    Résultat : maxi galère, et 10 jours pour faire 3000 km que je parcourais plus tard en une quarantaine d’heures.

    C’est à cette occasion que j’ai compris qu’un convoi excédant 3 véhicules perd environ 10 minutes par véhicule supplémentaire (panne, arrêt pipi, gueule de bois, écarts d’humeur etc) De plus, comme les copains des camions avaient tous des CB et ne se gênaient pas pour s’en servir (quoi de plus normal, c’était une première en Europe de l’Est ! )
    les flics Yougoslaves, paranos, l’avaient très mal pris et nous ont encadré avec des fourgons hérissés d’antennes qui ne dépassaient pas les 30 km heure. On a pu admirer le paysage !

    Jacques, le chauffeur de l’Ivéco ariégeois, était un habitué de la ligne Toulouse-Istamboul. Quand nous sommes passés au nord de Sarajevo, il a dit d’un ton angoissé et accusateur:
    " dans cette ville, il y à des armes partout ; PARTOUT ! ! ! et ils se haïssent ! ! !
    Ca va péter bientôt et personne ne fait rien "
    Malheureusement, il ne se trompait pas ; plus fort que les diplomates ce mec là!

    Ultime étape en Bulgarie où une bagarre générale fut évitée de justesse entre les chauffeurs et des mafieux locaux pour une sombre histoire de regard mal placé. Les bulgares sont durs et nous étions tous à crans. Vivement la Roumanie !

    Arrive_en_ro1

    Ils parlaient français et nous ne le savions pas .
    Nous avons tous pleuré.
    Voyez les visages des gens sur la photo, ce mélange de dignité et d’appel à l’aide…

    BUCAREST ! La suite de la bourlingue, c’est pour demain.

    En attendant, et pour vous donner l’eau à la bouche, voici la photo d’une bécane made in Romania:
    un 50 Mobra fabriqué dans une usine d’armement, comme les machins de St Etienne, à l’époque.
    Ca donne envie !

  • Ariel1

    La première moto vue en Roumanie. peut être une Ariel mais je n’en suis pas certain.
    Au passage, vous remarquerez que les casques sont "comme-çi-comme-ça" mais il y à pire:
    le pilote n’a pas de lunettes, or à moto il y à 100 fois plus de risques de prendre un insecte potentiellement mortel dans un oeil que de tomber tête en avant sur un obstacle.
    Je crois qu’il est aussi important de porter des lunettes qu’un casque, voire plus important encore.
    c’est un sujet de débat …….

  • L’atelier de brousse 2

    Hva1Ou comment sortir des neiges ariégeoises pour rejoindre celles des Carpates.

    Donc, le président régional de la Croix Rouge, et non pas le président local comme je l’ai dit précédemment (faut pas vexer les notables !) me mobilisa pour partir en Roumanie.
    Demeurait cependant un léger problème : je me trouvais dans mon nid d’aigle ariégeois, à 1200 mètre d’altitude et environ 60cm de neige sur le chemin. Vous avez compris que nul chasse-neige n’y passe jamais, mais il fallait sortir de là pour arriver à temps au rendez-vous fixé à Foix. Je devais embarquer à 17 heures dans le camion rempli des dons venus de l’Ariège. Plus tard c’était trop tard.

    L’atelier de brousse : Séquence débrouille 1

    Quand on a 3 bornes a tracer au plus vite sur un sentier recouvert de beaucoup de neige fraîche, et qu’on a le choix entre un 510 HVA et une 250 TY, que choisit-on ?

    Trial

    La TY bien entendu !

    Sauf qu’après il restait 60 bornes de montagne à se taper, par le col de Port (pour ceux qui connaissent).
    J’ai d’abord opté pour la trial, améliorée…
    Vous connaissez la technique ?
    De la corde enroulée autour des roues. C’est un peu long à mettre en place et il faut le faire pneus dégonflés à 200 grammes environ. Quand la corde est en place on regonfle pour bloquer l’ensemble.
    Là est tout le secret et ça marche très bien (voir photo jointe)
    Avec ça, j’ai fait la trace, aller-retour, genre piste de bob, puis après avoir tombé la pression des pneus du 510 à 400 grammes je suis sorti du piège avec la bécane d’enduro et suis arrivé juste à temps au rendez-vous fuxéin…mort de froid.

    A bientôt pour la suite

    Hva2

  • L’atelier de brousse

    04_33Bonjour à tous !

    J’inaugure ce soir une série d’articles fondés sur une expérience de quelque 35 années de moto pratiquée sur trois continents. Mais je dois tout d’abord me présenter.
    Né en Tunisie, j’ai été élevé par mon grand-père et mon oncle qui furent les pionniers de la traversée du Sahara en side-car tendis que ma grand-mère fut la première passagère de Mermoz sur la ligne de l’Aéropostale Toulouse-Casablanca. J’ai donc de qui tenir…et on ne pu me tenir !

    D’une jeunesse mouvementée, je retiens par exemple en 1974 la concentration des Pyrénées Andorranes des " Oursons ", sous une tempête de neige au guidon d’un 50 Honda si léger que je fus le premier à passer le col d’Envalira. Tous en vrac les grands costauds !
    L’expérience me fit découvrir le subtil plaisir de " faire la trace " .

    Cette jeunesse s’acheva au Cambodge avec l’arrivée des Khmers Rouges.
    J’ai passé mon permis là-bas sur le 500CB prêté par un copain et sous un déluge de roquettes.
    Autant dire que l’épreuve de conduite consista simplement …à effectuer un demi-tour !

    De retour en France, avec déjà pas mal de bornes dans les fesses, sur les pistes aussi improbables que les 125 Honda du Cambodge, le démon du tout-terrain me dévorait autant que celui de la liberté et du voyage. Et quel outil plus magnifique que la moto verte pour assouvir cette passion ? Y’à pas !

    Nous voici déjà à l’époque des mythiques 500 XT, des premiers Paris-Dakar, les vrais, ceux de Thierry Sabine. Un rêve que je n’ai jamais pu réaliser car il fallait bien gagner sa vie de reporter photographe de guerre : La Rhodésie – devenue le Zimbabwe – en Afrique Australe, la guerre civile au Liban, la chute du Shah d’Iran avec un Paris Téhéran et retour plus qu’épique, un voyage en Russie soviétique qui me valut deux mois de prison dans les geôles du KGB etc. etc.

    Passons sur ce passé d’ancien combattu, nous y reviendrons peut-être plus tard.

    De la 500 XT, je passais à la première Ténéré vendue à Toulouse. Quel succès ! pas pour moi, pour la moto !
    Fatigué mais fou de nature, je découvris au début des années 80 un paradis sauvage niché au fin-fond des Pyrénées Ariégeoise. Un hameau abandonné, en ruine ; une heure de marche à pied, à la machette. A peine le sentier fut-il débroussaillé que je faisais l’acquisition d’une moto de trial made in France: une 250 JCM. Grâce à elle j’ai pu acheminer le ciment, les outils, enfin tout le nécessaire pour rénover une grange qui devint 10 ans durant mon nid d’aigle. La JCM fit des petits, plutôt grands : un 510 HVA pour moi et une 400 HVA pour ma copine. Ca devenait sérieux ! mais la JCM ne supporta pas ces naissances douloureuses et rendit l’âme, aussitôt remplacée par une 250 TY : une pure merveille de lourdeur et de robustesse !
    Le moto-club du coin, dans le bourg de Massat organisait chaque année une petite concentre pour les jeunes du coin : glou-glou toute la nuit puis grosse bourre sur les routes de montagne et fin du voyage à l’hosto de Saint Girons (pas moi, les plus jeunes) J’ai engueulé le président club et lui ai proposé de remplacer cette boucherie par une rando TT. La randonnée des Orpailleurs venait de naître et a fêté ce printemps sa vingtième édition.
    Au début les " néos " qui élèvent des chèvres et font un excellent fromage voyaient la moto d’un très mauvais œuil; 10 ans plus tard tous mes voisins hippies roulaient à trial !
    Avec un pote de l’ONF, trialiste lui-même nous avons démontré, photos à l’appuis que le passage pas trop fréquent de motos n’avait aucun impact sur la faune, notamment les grands tétras (coqs de bruyère) tendis que les randonneurs à pied dérangent considérablement les animaux sauvages pour lesquels l’homme à le pire des prédateurs. Ce n’est pas le cas de la moto qu’il n’associent pas à l’humain. Je ne dis pas que cela ne les dérange pas mais une poule au nid ne fuira pas au passage relativement rapide d’une moto tendis qu’elle abandonnera définitivement sa nichée si un piéton approche son nid de trop près. J’en ai la preuve. Pigé les écolos de bureau ? C’est un sujet de débat que je vous propose d’aborder ultérieurement.

    Noël 1989, après la chute du mur de Berlin, vint celle de Ceaucescu, le tyran roumain :
    Un appel du président local de la Croix-Rouge " nous avons besoin d’un photographe pour couvrir le premier convoi humanitaire que nous acheminons sur place, êtes-vous libre ? "
    Bien sûr que que je l’étais ! …et ma vie de motard bascula …

    On continue demain avec beaucoup plus sérieux et contemporain. En selle pour l’aventure !

    Photo: mon deuxième 510 HVA, acheté à Laurent Pidoux lui-même et entretenue par l’orfèvre maître Ginesta de Blagnac. Selon tous deux ce serait le 510 qui aurait parcouru le plus de bornes (environ 50.000 !) et sans pépins majeurs si l’on excepte un embiellage complet.

  • BMW R1200R

    R1200r_1BMW commercialisera à la rentrée la dernière évolution de son roadster R, qui adoptera pour l’occasion le 1200 équipant déjà la GS, la RT et la S.
    24 chevaux et 1.5 mkg de mieux, 15 ks gagnés sur le poids tous pleins faits, le roadster s’encanaille et cède lui aussi à la mode du "toujours plus".

    Côté technologie BMW innove, comme d’habitude serait-on tenté de dire. Passons rapidement sur le modérément utile contrôle de pression des pneus, qui sera quand même facturé 210 €, pour insister sur le système anti-patinage dénommé ASC (Automatic Stability Control), qui «évite à la roue arrière de patiner en cas d’accélération sur une revêtement glissant».
    Je ne sais pas si beaucoup de propriétaires de R redoutent le highside, mais toujours est-il que la marque montre qu’elle entend bien conserver son avance en termes de sécurité active.

  • Victoire de Nicky Hayden à Laguna Seca

    Nickyhayden

    Nicky Hayden ne pouvait pas ne pas s’imposer sur ses terres pour entériner sa domination au championnat, et accroitre ainsi son avance sur ses poursuivants. Il l’a fait, sereinement, en prenant le dessus sur la Suzuki de Chris Vermeulen à mi-course, puis en contrôlant son avance sur son coéquipier Dani Pedrosa, remonté à la deuxième place après avoir lui aussi profité d’une erreur du pilote australien.

    Il Dottore fait de son côté une très mauvaise opération, puisqu’après une course volontaire qui l’a vu remonter de sa dixième place sur la grille à la quatrième, prêt à croquer Vermeulen pour une place sur le podium, le moteur de sa Yamaha rendait l’âme, laissant échapper de précieux points.

    Podium 100% Honda finalement avec un Melandri qui complète la paire de pilotes Repsol. Au Championnat Hayden s’échappe, avec 34 points d’avance sur Pedrosa, 44 sur Melandri, et 51 sur Rossi.

  • Comprendre les protections dorsales: Partie 4/4

    Comprendre les protections dorsales: Partie 4/4

    Dainese_1Suite et fin de l’article consacré aux protections dorsales.

    N"hesitez pas à nous faire part de vos critiques et commentaires, cela ne peut etre que positif pour améliorer leblogmoto.com!

    11. Tableau de correspondance modèle de la dorsale par rapport a la taille de l’individu:

    Dainese_1

     

    Vous retrouvez ces informations dans le livret qui accompagne votre dorsale. Ce livret est indispensable car en plus de renseigner sur les différentes tailles existantes, il prodigue une multitude de conseils sur les équipements de sécurité et la manière de les porter.

    Il doit être present lors de votre achat!

    12. Confort:

    S3010016
    Cette dorsale se porte bien. On se sent protégé  car elle se plaque bien au niveau du dos. Elle se porte facilement sous un blouson cuir ou textile, sans donner l’impression d’etre une tortue. en bref, elle sait se faire discrète. L’image ci-dessus en témoigne.

    Même en pleine chaleur elle reste supportable. Certaines personnes ont rapportés des soucis de "bouloches" sur  les bandes de serrages, mais rien de bien méchant.

    Conclusion:

    -Lors de votre achat veillez a ce que le modèle acheté soit le modèle adapte a votre taille. C’est indispensable!

    -Porter une dorsale permet de diminuer les risques de lésion de la moelle épinière. En aucun cas la dorsale vous protégera si vous allez embrassez un platane a 180 km/h…

    -Le système d’ajustement est à surveiller: il ne doit pas déjà lors de votre achat être règle sur minimal ou maximal. Vous devez vous laissez de la marge par exemple pour les couches de vêtements l’hiver.

    -Vos mouvements d’épaules ne doivent pas être entravés. La dorsale doit vous laissez une bonne liberté de mouvement. La nouvelle homologation exige que les omoplates soient couvert.

    -C’est triste à dire, mais une dorsale en dessous de 100€ a de grandes chances de ne pas être homologués. L’homologation ne se limite pas au logo CE qui se trouve quasiment partout aujourd’hui. L’homologation est reconnu par le sigle " PR EN 1621-2". Sans ça, votre dorsale n’est pas homologué.

    Contact:

    Dainese France: 01 48 71 80 95 ou sur le web: Dainese.com .

    Sortez couvert! 😉

     

     

  • Comprendre les protections dorsales: Partie 3/4

    Do93231 Suite de notre dossier sur les dorsales et surtout sur les points importants a noter lors de l’achat d’un tel équipement.

    La partie restante sera devoilée dans les prochaines heure.

    Bonne lecture!

    7. La dorsale de profil:

    Do93231Comme vous pouvez le constater, la dorsale ne prends pas beaucoup de place. Elle est relativement fine. Cela est surprenant dans un premier temps, mais si on compare par rapport aux autres, on se rend compte effectivement que c’est une des plus légères du marché. Surprenant, pourtant elle répond (de loin) a la nouvelle norme. Donc ne vous fiez pas a sa légèreté et épaisseur, fiez vous a son homologation!


    8. L’articulation au niveau des hanches:

    Do9f131Absente sur la plupart (toutes?) les autres dorsales, cette articulation se révèle fantastique pour toute personne qui maitrise le déhanché (en gros, les pistards). Mais pas seulement. En effet, au quotidien, elle procure une aisance qui la rend particulièrement agréable a porter. Le système de pivot est costaud et relativement fiable. Pas de risque de ce coté la.

    9. Limite de la dorsale en hyper-extension: Ce qui vous sauvera peut être un jour de la paralysie…

    Do9ff41 Sur cette image on voit bien le mouvement maximal que peut faire une dorsale. Imaginez vous en train de bomber le torse: la votre colonne fait une extension. L’hyper-extension elle caractérise une colonne qui dépasse le seuil biomécanique (en gros le seuil maximal que votre colonne permet). Les conséquences sont sans appel: Paralysie plus ou moins importante selon le niveau. Le but de la dorsale est donc d’éviter cette hyper-extension. Sachez qu’avec la vitesse, l’inertie, les jambes du motards ont tendance a passer par dessus sa tête, brisant ainsi votre colonne vertébrale comme une biscotte. Le but de la dorsale, outre son rôle contre l’abrasion en cas de glissade, et de prévenir d’une dislocation de votre moelle épinière en empêchant cette hyper-extension. Et bien sur d’absorber les chocs eventuels si vous venez a taper un obstacle.

    10. La dorsale une fois mise en place:

    Dorsalemoi Ici on peut voir clairement que la dorsale est parfaitement plaqué sur toute la longueur de la colonne. Serrée sa dorsale, même si ce n’est pas forcement du plus agréable se révèle indispensable a votre sécurité.

    Suite de la descritpion technique demain dans nos pages!

  • Comprendre les protections dorsales: Partie 2/4

    Dorsal3Suite de notre dossier sur les dorsales et surtout sur les points importants a noter lors de l’achat d’un tel équipement.

    Les 2 parties restantes seront devoilées Vendredi et Samedi.

    Bonne lecture!

    4.Passons maintenant à la dorsale Wave proprement dite:

    Dorsal4 On peut noter qu’elle a 2 systèmes de serrage. Le premier sert a ajuster grossièrement votre dorsale en joignant juste les 2 longs scratch ( partie noires de part et d’autres de la dorsale, dont une a droite avec le logo Dainese).  Sur ces 2 bandes se trouvent 2 nouvelles bandes élastiques qui servent à plaquer la dorsale sur votre dos (image ci dessous).

    Do9b051A noter que la dorsale se doit d’être pourvue d’un livret explicatif sur les risques encourus par les motards et sur les dispositions a prendre. De même, un manuel de correspondance de taille doit être présent. C’est en consultant celui ci que je me suis rendu compte que le vendeur qui m’avait certifie, malgré mes doutes, que la dorsale était vraiment prévue pour ma taille. Malgré le fait que j’avais toute les cervicales basses qui n’était pas protégés…

    Donc un conseil: lors de votre achat, renseignez vous bien sur les tailles de dorsales existantes. Si vous faite 2 m une dorsale pour une personne de 1m 60 ne vous servira pas à grand chose… Et vice versa.

     

    5. Structure alvéolé:

    Do9b131_1La dorsale est composée d’une grille en aluminium façon alvéolé, appelé "Honeycomb" (ici au centre: ressemble à des alvéoles dans une ruche).

    6. Les plateaux et bretelles de serrage:

    Do97131 On voit très bien ici les différents "plateaux" composant la dorsale. Ceux ci sont articules, permettant ainsi une plus grande souplesse de l’ensemble. Chaque plateaux est perfores de petits trous permettant ainsi une très bonne aération de la dorsale, et donc du pilote).
    On peut également voir le 2eme système de serrage au niveau des épaules, comme un sac a dos. Ceux ci maintiennent la dorsale vers le haut et lui évite de glisser.

    Suite de la descritpion technique demain dans nos pages.