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  • Feux de jour : les « experts » persistent et signent

    Ffmc_4 Lors de la séance du 11 octobre du Conseil National de la Sécurité Routière, le ‘comité des experts’ remettait son rapport sur l’utilisation des feux de jour. 13 pages de pur bonheur pour qui aime déceler dans les rapports d’expert les incohérences, les conclusions écrites d’avance, les affirmations péremptoires et les approximations douteuses sous couvert de pseudo scientisme. Le rapport commence par rappeler que le comité des experts n’a jamais recommandé d’expérimentation « dans la mesure ou une vérification ne lui semblait pas nécessaire puisque l’efficacité de cette mesure est bien établie par un grand nombre d’études scientifiques dans le monde ». Ca donne le ton…

    Ca marche pas…
    Mais force lui est de reconnaître que « les français n’ont pas adhéré à une mesure (…) dont ils ne comprenaient pas l’utilité ». D’aucuns diront que « les français » en ont compris toute l’inutilité, mais tout dépend du point de vue auquel on se place… Très rapidement, le rapport ouvre donc le parapluie et annonce l’impossibilité de conclure sur une baisse de l’accidentalité, du fait du manque de suivi de la mesure. Il affirme néanmoins, péremptoire que les « objections de certaines associations de motocyclistes ne sont pas justifiées [car] il n’y a aucune nécessité de reconnaître les motos en tant que telles, [et] on peut escompter que cette mesure qu’elle conduise les motocyclistes à ne pas surestimer leur visibilité par les autres usagers » . Retenez la formule, elle reviendra par trois fois dans le rapport…

    Rendez vous vous êtes cernés !
    « Après la Suisse et l’Italie, l’Autriche vient de rendre (cette mesure) obligatoire depuis fin septembre, et la Belgique et l’Allemagne envisagent de faire de même. » Quand on sait que ces pays annonçaient encore récemment attendre ‘les résultas de l’expérimentation française’ pour statuer, il y a de quoi sourire sur l’hypocrisie de cette technique du pied dans la porte, bien connue des commerciaux, doublée de celle de la stratégie de l’encerclement.

    Le comité recommande de recommander
    Tout ce qui précède n’empêche donc pas le comité des experts de recommander sans ciller :
    – de maintenir la recommandation permanente de l’utilisation des feux de croisement le jour et de l’étendre aux agglomérations en renouvelant une communication forte sur le sujet ;
    – de mener une action au niveau européen en vue de généraliser l’installation des feux dédiés sur les véhicules neufs . L’énormité de la première de ces conclusions a-t- elle suffi à ce qu’elle n’ai pas été, à ce jour, suivie d’effet, ou le lobbying de la FFMC aurait-il porté ses fruits ? Quoi qu’il en soit, il reste la problématique des feux dédiés, sur lesquels on va revenir…

    Les déçus des feux de jour
    Le rapport note une baisse des opinions favorables à la mesure dans le courant de l’expérimentation malgré les campagnes audiovisuelles et radio, et en parallèle de la campagne plus larvée de dénigrement des motards (technique du ‘shaming’) qui a culminé avec le désormais tristement célèbre ‘Zone interdite’. « Les campagnes menées n’ont pas pu contrebalancer les manifestations hostiles organisées par certaines associations de motocyclistes ». Prenez ça pour une félicitation… et un encouragement à poursuivre une campagne que la FFMC a su mener de manière constructive en mettant en avant des contre propositions, et grâce a une présence sur le terrain de ses antennes.

    Le pari de l’intelligence
    Parmi les détails des raisons pour lesquelles les français n’allumaient pas leurs feux : on note principalement , l’inutilité de la mesure (60%), la surconsommation et sur pollution (46%), la baisse de visibilité des motards (40%). Et parmi ceux qui allumaient leurs feux malgré tout, nombreux sont ceux qui mettent en avant les ‘circonstances de visibilité’, preuve que le message (celui de la FFMC !) a porté !

    Mettre une blouse blanche, étiquetée ‘expert’, ça donne du crédit aux évidences que l’on profère !

    Morceaux choisis
    Sans vouloir détailler ce que chacun d’entre nous aura constaté, précisons que le rapport indique que « c’est (plutôt) la luminosité ambiante qui conditionnait l’utilisation des feux de jour ». (sic) « Depuis avril, la pratique est devenue négligeable sur tous les réseaux ». « Le taux d’utilisation n’aura été conséquent que pendant trois mois ». « Il y a une grande incompréhension de la mesure » et, faisant le parallèle avec le port de la ceinture de sécurité, une « nécessité d’acclimatation progressive de l’opinion publique aux mesures nouvelles » (sortez la vaseline ! )
    Concernant les motards, les « experts » affirment que « la demande de reconnaissance par les feux de jour relève en fait plus de considérations sociologiques sur le besoin d’un groupe très solidaire de conserver un signe distinctif ». Bref, d’après eux si on y tient a nos feux de jour, c’est plus pour se distinguer que par souci de sécurité… Ben voyons. Et le casque c’est pareil ? C’est pour se distinguer aussi ?

    Florilége
    Envers et contre tout, faisant fi du manque d’évidence le rapport affirme pourtant, péremptoire, que « Du fait de cette faible pratique, il n’a pas été possible dans l’immédiat de démontre une baisse de l’accidentalité résultant de l’allumage des feux de jours ». Pourtant deux lignes plus haut il titre « l’expérience (…) ne peut remettre en cause l’efficacité de la mesure ». Quand on vous dit qu’on vous prend pour des crétins…
    Cette approche est d’autant plus choquante que lors de la même séance du CNSR était présentées les conclusions d’une vaste enquête épidémiologique sur les effets du cannabis au volant. Cette étude relativise fortement le sur risque de la conduite sous l’emprise du cannabis : elle l’estime équivalente à la conduite après deux verres d’alcool (seuil légal de 0.5). Cela n’a pas empêché, en février 2003, une loi d’être votée à la hâte, qui punit de prison la conduite sous cannabis. Deux poids deux mesures ? Le CNSR visiblement gêné a décidé d’enterrer l’étude et/ou d’en retarder la publication : « afin de pouvoir communiquer sur le sujet et donner les vraies explications (…) il ne faudrait pas que le gouvernement la rende publique ». Introduisant ainsi une nouvelle version des mots de La Fontaine : ‘Selon que vos études vont dans le sens du gouvernement ou pas, elles seront publiées ou enterrés’, et qu’importe leur validité scientifique…

    Les feux dédiés
    Venons en au plus dur : Car si le rapport affirme que 80% des français y sont favorables, et même curieusement ceux qui sont opposés aux ‘feux de jour’, c’est sans doute qu’il y a un malentendu sur leur nature. Car les feux dédiés, dans le sens ou l’entendent le comité des experts et le gouvernement sont en fait des sortes de ‘super feux de position’, fonctionnant a mi puissance, et automatiquement et en permanence dès que le moteur tourne. Ils laissent intact la problématique des usagers vulnérables (piétons et cyclistes), ne fonctionnent qu’à l’avant du véhicule, mais « éliminent une grande partie des critiques soulevées contre les feux de jour : consommation, éclairage du tableau de bord, usure des lampes, etc » et même éblouissement, car la puissance devient très faible. Bref, foin des propositions de la FFMC pour la généralisation des feux s’allumant automatiquement en fonction des conditions de luminosité, c’est bien de feux de jour s’avançant masqués qu’il s’agit ici.

    CONCLUSION
    Le seul avantage qu’on puisse trouver à la situation est que, à la vitesse ou va l’adoption et l’implémentation des réglementations au niveau européen, ces ‘feux dédiés » ne sont pas près de se généraliser, sauf initiative en ce sens de la part des constructeurs. On peut aussi, au niveau européen, trouver des alliés pour contrecarrer ces projets. Mais face à ce « rapport d’expert » la FFMC constate que malgré des victoires dans la course de vitesse qu’elle a engagé face au gouvernement français sur les feux de jour, doit maintenant s’engager dans une course de fond, face aux propositions de feux dédiés au niveau européen. Elle va saisir la FEMA à ce sujet afin de poursuivre à l’échelon européen, la bataille qu’elle a entamé en France.

    Pour obtenir le rapport complet et la recommandation du comité des experts, cliquez ici.

    Source : FFMC

  • Solidarité aux motards verts

    Ffmc_3 La FFMC apporte son soutien aux actions qui se mettent en place autour de la défense des loisir verts. Si son objet est avant tout de défendre les droits des motards en tant qu’usagers de la route, la FFMC tient cependant à exprimer sa solidarité devant les menaces qui pèsent sur les droits et libertés des motards qui pratiquent le tout-terrain. La FFMC appelle ses antennes départementales et plus largement les motards à apporter leur aide à toute action des motards verts qui va dans le sens du respect de leurs droits et libertés, de la préservation de l’environnement, et d’une conception citoyenne du partage des chemins.

    La FFMC soutient ainsi la journée d’action nationale des pratiquants des loisirs verts organisée le dimanche 20 novembre, à l’initiative du CODEVER. Cette action est organisée contre la Circulaire Olin qui vise à restreindre l’accès aux chemins ruraux ouverts à la circulation des véhicules. Selon cette circulaire, seules les voies accessibles par des véhicules de tourisme non adaptés au tout terrain peuvent être empruntées par des randonneurs motorisés, cavaliers, et même VTT. La FFMC condamne l’appel à la répression contenu dans cette circulaire. Pour la FFMC, la libre circulation de ces véhicules homologués et assurés, dans le respect de l’environnement et des autres usagers doit être préservée. Elle encourage une pratique responsable des loisirs motorisés tout terrain.
    Pour plus de renseignements, cliquez ici.

    Source : FFMC

  • 1er Salon Européen des Loisirs Motorisés

    Salon_vehicules Le 1er Salon européen technique, dynamique et ludique, consacré aux loisirs motorisés, aussi bien pour les passionnées que pour le grand public aura lieu du 6 au 9 avril 2006 sur l’Hippodrome de Chantilly. Avec un marché des loisirs motorisés en plein développement (4×4, SUV, nouvelles énergies, quads, buggies, voiturettes, trikes, engins de jardinage), le bassin parisien possède un rayonnement européen et constitue une région majeure pour l’exposition et la vente. Pour Philippe Vassard, le commissaire général du 1er Salon Européen des Loisirs Motorisés « La France avait besoin d’un salon de ce genre, en région parisienne à vocation européenne et avec la pratique émergente du quad, il nous a été naturel de l’associer aux 4×4, pour le différencier de la moto ». Le domaine de l’Hippodrome de Chantilly, 62 hectares à 40 Kms de Paris et 25 Kms de Roissy CDG, un site historique et prestigieux n’attendait qu’un événement de cet ampleur et proposera lors de ce 1er Salon: expositions de véhicules, zones de démonstration et piste 4×4 située au centre de l’Hippodrome, manège d’évolution quads, zone d’essais terre- eau pour amphibies, test de tondeuses autoportées….

    Les jeunes de 6 à 12 ans se verront proposer, le circuit FFM/Kymco avec des initiations aux mini quads et mini motos, tandis que la Police Nationale prendra en charge un circuit mini 4×4. À 16 Kms de Chantilly, le circuit Ceram de Mortefontaine, véritable laboratoire d’essais sur 180 hectares offrira : circuit goudronné, zone de glisse et pistes 4×4 pour pouvoir tester plus longuement les véhicules proposés par les constructeurs. Dans ce domaine, les Pompiers de Paris offriront également une opération de sécurité routière pour les quads et les 4×4. Sans oublier, les 150 Kms de pistes balisées, reliant le Salon, la forêt de Chantilly, Mortefontaine et Ermenonville, pour tester les véhicules, sous l’égide de la société Essor, animée par Etienne Smulevici, récent vainqueur des 24 heures 4×4 de Paris.

    Un concept novateur
    L’idée initiale est de créer et de pérenniser à Chantilly, dans un cadre exceptionnel, un salon à fort potentiel européen pour l’automobile, les 4×4, les quads et tout les loisirs motorisés. Rassembler tous les acteurs concernés à des dates propices aux lancements de nouveaux produits, montrer au grand public l’étendue de l’offre et les évolutions pour devenir au fil des ans, la vitrine attractive des loisirs motorisés, défendre cette activité et les marchés contre les attaques actuelles et futures et donner aux jeunes, l’envie de choisir les filières qui leur correspondent.
    Une réunion avec les principaux constructeurs se déroulera le 8 novembre à Chantilly afin de répondre à toutes leurs interrogations sur cette 1ére édition et anticiper leurs souhaits. Les dossiers d’inscriptions pour les exposants sont disponibles chez CMO et à partir de fin novembre, en téléchargement sur le site Internet du Salon, actuellement en construction.
    Mais ce n’est pas fini, les organisateurs du Salon ont décidé d’allier les plaisirs des loisirs motorisés aux plaisirs de la chair, dans la structure réservée aux accessoires 4×4 et quads ainsi qu’aux prestataires liés à ces activités, un salon des terroirs sera installé, avec une centaine de stands liés à la gastronomie, aux objets insolites des régions, …

    Renseignements et Informations
    C.M.O.
    Site Internet
    T. 01 34 94 29 45 – F. 01 34 94 26 53
    1 rue du Connétable 60501 Chantilly
    c.m.o@wanadoo.fr

  • David Morillon : ma chute au premier tour des 24h du Bol d’Or

    Morillon_2 Comme promis dans cet article, voici la réponse exclusive de David Morillon sur sa chute lors du dernier Bol d’Or :

    "Que l’on arrête de raconter des bêtises, demandez plutôt à l’intéressé ce qui s’est passé ! Aujourd’hui je suis pilote privé, mon envie c’est de gagner, et pour y arriver-il faut prendre des risques. Que ce soit un pilote privé ou professionnel tout le monde veut passer le premier tour en tête ! Nous savons tous qu’il y a les qualifications, le départ et l’arrivée qui comptent le plus aux yeux des téléspectateurs, du public, des équipes, c’est ce qui va passer à la télé, dans les médias.
    Après un super départ (partis de la 11ème place) je passe en tête en doublant la suzuki au freinage d’adélaide, Checa me passe dans le virage du Lycée, je lui refais l’intérieur avant la chicane et je passe en tête au premier tour du Bold’Or.
    Je me suis donc retourné pour voir mes concurrents en me levant de la selle et en regardant entre mes jambes, ce moment à été instinctif et je l’ai fait par orgueil, fier de battre les pilotes officiels. Je savais très bien que je ne pourrais pas suivre leurs cadences très longtemps (leurs motos sont bien plus puissantes que la mienne).

    En pleine accélération (en 2ème), la moto équipée de pneus neufs (ce n’est pas le cas pour chaque séance d’essais), un vent de face important, le fait que je me retourne en me levant de la moto debout sur les cales pieds ont fait qu’au moment où je me rassoie et que je tourne la tête pour voir la piste la moto était droite comme un I. Je n’ai pas du tout senti la moto se cabrer et là je n’ai rien pu faire, ni couper les gaz ni freiner. La suite était inévitable avec une belle chute mais sans gravité.
    Après cela j’ai ramené la moto dans les stands et je suis allé me faire soigner au centre médical (une belle pizza sur la fesse droite !!).

    Je me suis excusé auprès de mon team manager en lui disant que j’avais commis une erreur. Il m’a répondu qu’il ne m’en voulait pas et qu’à eux aussi cela leur arrivait de faire des erreurs.
    Deux heures après le départ nous avons décidés d’abandonner, et là je me suis excusé auprès de chaque membre de l’équipe. Nous voulions surtout privilégier la course du dimanche suivant en Italie où l’on jouait notre place de vice-champion du monde d’endurance (Les 24h du Mans et le Bol d’Or ne comptant pas pour le championnat du Monde). Après mon 2ème temps des qualifications, je pars en tête pendant 2 tours pour finir 4ème.
    Il faut savoir quand même que je roule dans une équipe privée avec laquelle je termine Vice-Champion du Monde d’Endurance 2005, et tout cela sans recevoir aucune prime, juste pour la passion de mon sport. En tout cas l’important pour moi dans cette histoire, c’est que personne ne soit tombé et blessé. C’est ma seule chute de la saison sur les 7 courses du championnat.
    Heureusement que j’étais là sinon il n’y avait quasiment aucune image du Bol d’Or à la télé.
    Le même week-end la télévision française à montrée le crash des deux 125cc de grand prix qui se sont percutées.
    Les médias montrent le spectacle, l’événementiel mais demander à des personnes qui est-ce qui à gagné le Bol d’Or ? Très peu le savent !
    Vous à t’on fait voir des images des stands, des ravitaillements, des bénévoles qui se démènent pour réaliser leur rêve ?
    Et pour 2006, mon équipe est prête à me reprendre sans la moindre hésitation.
    A bon entendeur, salut et à l’année prochaine !"

  • Moto-tronçonneuse par Dolmar

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    La société Dolmar, spécialisée dans tous ce qui coupe et plus spécialement dans les tronçonneuses, a su allier la moto et son outil de prédilection, la tronçonneuse, pour obtenir une machine des plus insolites et cela pour le plus grand plaisir des yeux et évidemment aussi pour se faire un maximum de publicité.
    Cette une séance de tuning un peu particulière ne joue donc pas forcément dans l’esthétisme, malgré qu’un forestier pourrait peut-être y retrouver son compte. Cette moto-tronçonneuse est donc composé de 24 tronçonneuses et d’une transmission de Harley-Davidson. Le plus étonnant est que cet engin hybride roule sans problème. Vous pourrez le constater par vous même en visionnant cette petite vidéo.

  • Suzuki LTZ 400 2006

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    Apparu en 2003, le Suzuki LTZ 400 a su conquérir un public nombreux amateur de belles sensations et épris de liberté. Motorisé par monocylindre 4 temps directement emprunté à la moto enduro, ce quad a su montré toute sa fiabilité. En 2005, Suzuki a voulu pousser les performances et la qualité de son 400 un peu plus loin. L’arbre à cames a donc été revu et un nouveau carburateur de 37 mm équipé du système TPS (Throttle Position Sensor) a été installé pour optimiser le rendement du moteur. La boîte de vitesses à 5 rapports s’est vu équipé d’un nouveau sélecteur alu. Le châssis a été aussi nettement amélioré avec un nouveau mono-amortisseur entièrement réglable à l’arrière et de nouveaux amortisseurs avant à bonbonnes séparées à l’avant.
    Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, 4 soupapes, refroidi par eau, cylindrée de 398 cm3.
    La transmission s’effectue par un schéma 4X2 par chaîne.
    Boîte de vitesse : 5 rapports et marche arrière.
    Côté cycle, le treillis tubulaire en acier est équipé d’une suspension avant : indépendante à doubles triangulations, amortisseurs réglables avec un débattement de 215 mm. A l’arrière, le bras oscillant reçoit un mono- amortisseur réglable avec un débattement de 231 mm.
    Côté freinage, le LTZ 400 est équipé, à l’avant, de 2 freins à disque hydraulique de 170 mm de diamètre et, à l’arrière, d’1 disque hydraulique.

    Disponible en jaune ou blanc, le Suzuki LTZ 400 vous coûtera 7999 €.

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  • Kawasaki KFX 700 2006

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    Haut de gamme chez Kawasaki, le 700 KFX est taillé pour les chemins, voir pour la haute montagne. Extrêmement vif, il est motorisé par un V-Twin de 697 cm3 couplé à une boîte automatique avec marche arrière. Avec son look hyper agressif, le KFX 700 reste une bête sauvage qui ne demande qu’à être domptée.
    Côté moteur, on trouve un V-Twin 4T, 1 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau . D’une cylindrée de 698 cm3, il offre une puissance de 49 ch à 6500 tr/mn.
    La transmission s’effectue par un schéma 4X2 par cardan.
    Boîte de vitesse : CVT et marche arrière.
    Côté cycle, il est équipé d’une suspension avant : indépendante à doubles triangulations, ressorts-amortisseurs à taux d’amortissement avec un débattement de 236 mm. A l’arrière, le bras oscillant reçoit 2 amortisseurs réglables avec un débattement de 200 mm.
    Côté freinage, le KFX 700 est équipé, à l’avant, de 2 freins à disque hydraulique, étriers 2 pistons et, à l’arrière, d’1 multidisque intégré à bain d’huile.

    Disponible en vert ou bleu, le Kawasaki 700 R vous coûtera 9219 €.

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  • Yamaha 700 R 2006

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    Dernier né de Yamaha, le 700 R s’impose naturellement dans la catégorie des gros quads sportifs. Motorisé avec un monocylindre issu du XT 660 R, Il est vif, joueur et réactif sans être violent dans ses réactions. Pour la première fois un quad YAMAHA est équipé du système d’injection électronique améliorant ses performances et garantissant une réponse optimale dès l’ouverture des gaz. Le châssis du 700 R utilise un nouveau cadre hybride (aluminium moulé et acier) pour assurer une plus grande légèreté et une plus haute rigidité. Efficace, confortable grâce à de nouvelles suspensions avants, de nouveaux bras et rotules de suspensions issus du YFZ 450 et une nouvelle selle, le 700 R vous ouvre de nouveaux horizons.
    Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, injection, refroidi par eau . D’une cylindrée de 686 cm3, il offre une puissance de 48 ch à 6000 tr/mn.
    La transmission s’effectue par un schéma 4X2 par chaîne.
    Boîte de vitesse : 5 rapports et marche arrière.
    Côté cycle, le cadre alu et acier est équipé d’une suspension avant : indépendante à doubles triangulations superposées, amortisseurs hydrauliques. A l’arrière, le bras oscillant reçoit un mono-amortisseur hydraulique.
    Côté freinage, le 700 R est équipé, à l’avant, de 2 freins à disque hydraulique, étriers 2 pistons et, à l’arrière, d’1 disque hydraulique, étrier 2 pistons.

    Disponible en bleu, blanc ou jaune, le Yamaha 700 R vous coûtera 9160 €.

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  • Yamaha 350 R-W Raptor 2005

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    Yamaha vient à son tour sur le marché du quad homologué avec le 350 Raptor. Basé sur la version non homologuée du YFZ 450, il en reprend les freins, l’échappement et le levier de frein de parking. Motorisé par un monocylindre 4 temps couplé à une boîte 6 avec marche arrière, son look est typé sport avec des plastiques très échancrés. Son châssis est résolument sport avec de grands débattements et des jantes aluminium. Puissant, véloce, le 350 Raptor est idéale pour le tout terrain, mais les accessoires d’homologations sont assez mal intégrées et nuisent à l’esthétique.
    Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, refroidi par air . D’une cylindrée de 348 cm3, il offre une puissance de 18 ch.
    La transmission s’effectue par un schéma 4X2 par chaîne.
    Boîte de vitesse : 6 rapports et marche arrière.
    Côté cycle, le cadre tubulaire en acier est équipé d’une suspension avant : indépendante à doubles triangulations superposées, amortisseurs hydrauliques avec un débattement de 201 mm. A l’arrière, le bras oscillant reçoit un mono-amortisseur hydraulique avec un débattement de 211 mm.
    Côté freinage, le Raptor 350 est équipé, à l’avant, de 2 freins à disque hydraulique et, à l’arrière, d’1 disque hydraulique.

    Disponible en bleu, blanc ou Spécial Edition, le Yamaha 350 W-R Raptor vous coûtera 7020 €.

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  • Supercross Paris Bercy 2005 : résultats

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    Cette année encore, les Américains auront été les plus forts lors du Supercross de Bercy qui s’est déroulé le week end dernier. Les américains n’auront fait aucun cadeau et remportent chacune des trois soirées de la finale, laissant à la France (qui a fait déshonneur au sport français en organisant un match de boxe au beau milieu du POPB) et au reste du monde, un goût amer. L’officiel Honda Andrew Short s’impose donc pour la seconde année consécutive et entraîne l’équipe américaine au succès dans le classement inter nations.
    Du côté français Sébastien Tortelli a réalisé une belle prestation vendredi en terminant deuxième, mais a été victime d’une casse mécanique samedi et d’une chute dimanche alors qu’il était troisième. Quant à Eric Sorby, il a tous simplement été exclu de la compétition en compagnie de Steve Boniface qui a donné un coup de poing à Mike Alessi vendredi 11 novembre. Il a écopé d’un avertissement assorti d’une amende de 1.500 euros pour « coup porté à un autre concurrent ».

    Les résultats du Supercross de Paris Bercy 2005 :

    King of Bercy XXIII : 1.Short (USA) ; 2.M.Alessi (USA) ; 3.Brown (USA); 4.Laninovich (USA) ; 5.Gibson (USA) ; 6.Reardon (Aus) ; 7.Tortelli (F) ; 8.Gosselaar (USA); 9.Renet (F); 10.Rouis (Tun) ; etc.

    Finale dimanche : 1.Short ; 2.M.Alessi ; 3.Brown ; 4.Gosselaar; 5.Renet; 6.Reardon ; 7.Gibson ; 8.Laninovich; 9.S.Pourcel ; 10.Aubin ; 11.Bradshaw; 12.M.Musquin ; 13.Tortelli ; 14.J.Alessi ; 15.Sorby ; etc.

    Finale samedi : 1.Short ; 2.M.Alessi ; 3.Brown ; 4.Gosselaar; 5.Renet; 6.Reardon ; 7.Gibson ; 8.Laninovich; 9.S.Pourcel ; 10.Aubin ; 11.Bradshaw; 12.M.Musquin ; 13.Tortelli ; 14.J.Alessi ; 15.Sorby ; etc.

    Finale vendredi : 1.Short ; 2.Tortelli ; 3.M.Alessi ; 4.J.Alessi ; 5.Brown ; 6.Laninovich ; 7.Gibson ; 8.Renet ; 9.Marmont ; 10.Rouis ; 11.S.Pourcel ; 12.Boissière ; 13.Sorby ; 14.Reardon ; 15.Philippaerts ; etc.

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