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Yamaha T-Max ABS
Faut-il encore parler de scooter lorsqu’on roule sur un T-Max, tant le comportement est aussi précis que celui d’une moto. Le moteur bicylindre est monté rigide dans un châssis très sérieux avec un mono-amortisseur placé sous le moteur. La transmission automatique se fait par double chaîne sous carter et le résultat est spectaculaire. Pour le reste, si vous y ajoutez l’ABS, vous avez entre les mains le top du maxi-scooter. Pas très alèse en ville, il développe tout son potentiel sur route ou autoroute. Avec une tenue de route quasi irréprochable, il est très difficile de le prendre en défaut.
Côté moteur, on trouve un bicylindre 4T, injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 499 cm3, il offre une puissance de 44 ch à 7500 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier type diamant reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 120 mm et 2 disques de 267 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve un mono-amortisseur avec un débattement de 120 mm. Le freinage est assuré par un disque de 267 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le coffre sous la selle, éclairé, peut loger un casque intégral. Le tablier comporte une boite à gants. Le T-Max possède aussi un anti-démarrage par clé électronique et la gâchette de frein parking placée au niveau du guidon gauche entraîne le blocage de l’étrier arrière. Le tableau de bord, très complet, comporte un compte-tours, une fenêtre à cristaux liquides pour l’indication des 2 trips, du kilométrage total, de l’heure et du niveau d’essence.
Disponible en gris, rouge, jaune ou bleu nuit, le Yamaha T-Max ABS vous coûtera 8990 €.
novembre 9, 2005
Yamaha Versity 300
Le Yamaha Versity 300 reste un scooter parfaitement adapté aux parcours urbains et à la banlieue principalement grâce à des grandes roues de 14 pouces et un moteur puissant. Sosie du MBK Kilibre, le Versity allie élégance et maniabilité. Virevoltant facilement dans la circulation, son principal défaut reste le freinage, un peu limite sur le mouillé. Sur route ou autoroute le 300 montre toute sa majesté et le moteur entraîne facilement la machine à 150 km/h compteur. Il ne manque, en fait, à ce maxi-scooter, que l’ABS, une suspension un peu moins dure et une selle un peut moins haute (moins d’1m75 s’abstenir).
Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T, simple arbre à cames en tête, refroidi par eau. D’une cylindrée de 264 cm3, il offre une puissance de 21 ch à 7500 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 116 mm et 1 disque de 270 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs avec un débattement de 120 mm. Le freinage est assuré par un disque de 240 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le coffre sous la selle peut loger un casque intégral. Le tablier comporte deux vide-poches, un petit à gauche ne fermant pas à clé pour une paire de gants par exemple et une autre en dessous d’une contenance double et verrouillable. Le tableau de bord est très complet et lisible. Il comprend un compteur central (gradué jusqu’à 160 km/h), une jauge à essence à gauche et à droite un témoin de température moteur et de charge. En dessous, une fenêtre à cristaux liquides indique deux kilométrages partiels, le kilométrage total, l’heure, la température extérieure, la vitesse moyenne. Le commodo gauche comporte un pratique appel de phare à l’index, sa commande de clignotants n’est pas ergonomique. Le Versity possède en série deux béquilles (latérale, centrale).
Disponible en gris ou noir, le Yamaha Versity 300 vous coûtera 4011€.
novembre 9, 2005
Yamaha Majesty 400
Il manquait un scooter entre le remuant T Max et le trop sage Majesty 250. Yamaha a donc conçu un 400 pour palier à ce manque. Le Majesty 400 conserve les valeurs acquises mais apporte aussi de nouvelles technologies comme le châssis double longerons en alu et un moteur injection. Si le Majesty fait toujours preuve de rudesse sur les bosses, il n’en reste pas moins agréable à piloter sur route voir sur autoroute et conserve un très bon potentiel urbain. Le 400 Majesty se place donc en milieu de marché, sur le créneau où trônait le Burgman 400 et lui donne un petit coup de vieux.
Côté moteur, on trouve un monocylindre 4T,injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 395 cm3, il offre une puissance de 35 ch à 7000 tr/mm.
Côté châssis, son cadre alu en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 120 mm et 1 disque de 267 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs avec un débattement de 104 mm. Le freinage est assuré par un disque de 267 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, l’instrumentation est très belle avec un grand compteur et un compte tours encadrant un bloc digital, une jauge à essence et une montre. Le coffre sous la selle (60 litres) peut loger 2 casques intégraux et la boite à gants est complétée par un second rangement fermé. il dispose aussi d’un anti-démarrage par clé codée.
Disponible en gris argent ou bleu, le Yamaha Majesty 400 vous coûtera 6400 €.
novembre 9, 2005
Superbike : Haga et Pitt poursuivent sur la Yamaha YZF-R1 en 2006
Noriyuki Haga et Andrew Pitt ont parfaitement rempli leurs objectifs cette saison en Mondial Superbike et rouleront en 2006 à nouveau sur des Yamaha YZF-R1 pour le compte de la structure italien Yamaha Motor Italia. Les deux hommes ont joué un rôle important dans le développement de la YZF-R1 pour sa première saison au plus au haut niveau. Le Japonais Noriyuki Haga a enregistré en 2005 10 podiums dont deux victoires et au final la 3e place du Championnat du Monde Superbike. De son côté, Andrew Pitt a terminé la saison au 8e rang avec un meilleur résultat au Qatar (4e). L’équipe Yamaha Motor Italia disposera encore l’année prochaine du soutien inconditionnel de Yamaha Europe avec deux YZF-R1 à la réglementation 2006. La préparation des machines a d’ores et déjà débuté et les premiers tests sont programmés la semaine prochaine (14-15 novembre) à Valencia en Espagne.
« J’ai souhaité rester dans une équipe qui m’a offert tant de plaisir cette année », comment Noriyuki Haga. « Nous avons ensemble réalisé de belles choses et cela aurait était dommage de ne pas poursuivre en 2006 pour récolter le fruit de notre travail. »
« Quand j’ai signé avec Yamaha l’an passé, c’était pour une année pour apprendre et une autre pour gagner », poursuit Andrew Pitt. « Nous avons travaillé sans relâche pour développer la YZF-R1 et je pense maintenant qu’elle est prête pour décrocher le titre. Notre objectif est le titre mondial pour Yamaha et j’espère que ça se jouera entre Noriyuki et moi. »
Source : Yamaha
novembre 9, 2005
Un snowboard Ducati : pour surfer à l’italienne
Burton Snowboards et Ducati Motor Holding S.p.A annoncent que Burton produira un ensemble de snowboards et fixations en série limitée exclusive Ducati pour la saison 2005/2006. Les boards et les fixations auront le look Ducati et reprendront le thème du modèle de moto «naked» Monster de Ducati. Le partenariat entre Burton et Ducati pousse les deux marques à développer respectivement performance, innovation et design chacune dans leur domaine. Ducati est reconnue pour la performance supérieure de ses motos et son style italien éternel. Elle a remporté plus de Championnats du Monde de Superbike et de courses que n’importe quelle autre marque. Quant à Burton, depuis près de trente ans la marque a été au bout des limites de ses produits de snowboard. En tant que leader dans l’industrie, Burton a amené ce sport et le style de vie qui va avec vers un nouveau public, tout en restant fidèle à ses racines, celles d’une entreprise conduite véritablement par des rideurs.
« Ducati est une marque reconnue qui dispose d’une image exceptionnelle sur les circuits automobiles. Burton et Ducati construisent du matériel pour les rideurs les plus expérimentés : virages tranquilles, équilibre entre vitesse et stabilité, sensation de liberté sur la neige ou sur la route. Nous sommes heureux de travailler en collaboration avec une compagnie innovante qui, comme Burton, profite d’une telle expérience dans le sport », commente Bryan Johnston, VP du Global Marketing pour Burton Snowboards.
« C’est la passion qui conduit des entreprises comme Ducati et Burton, et c’est ce qui connecte les deux marques », dit Frederico Minoli, Président – Directeur chez Ducati Motor Holding. « Les motocyclistes et les snowboardeurs sont aussi passionnés par leur sport respectif et nous sommes en adéquation pour offrir un équipement de snow qui combine parfaitement le meilleur des deux marques.»
Avec l’équipement Ducati de Burton, vous pourrez exprimer votre sens du style italien sur les pistes. La planche et les coques Ducati ont été co-développées à Burlington, dans le Vermont (États-Unis) et à Bologne, en Italie. Équipée de technologies exclusives telles que le noyaux Superfly II™ en série limité, les chants amortis par du caoutchouc Ducati et l’incrustation de fibre de carbone Ducati, la board garanti une superbe tenue à haute vitesse et un pop explosif pour le ride de voter vie! Quant aux fixations Ducati, elles sont équipées du nouveau spoiler évidé offrant une réponse intermédiaire et des graphiques Ducati, pour une parfaite combinaison de puissance, de maintien et de style. Les produits seront disponibles sur le réseau de distribution de Burton dans le monde entier.
Burton Snowboards, premier fabriquant de snowboards dans le monde, est toujours resté fidèle à sa passion : se consacrer exclusivement au snowboard pour créer et améliorer le meilleur équipement de la planète. Fondée en 1977, grâce au travail et au support continuel des rideurs du Global Team, Burton a contribué au développement du snowboard dans le monde entier par des programmes tels que Learn-To-Ride (LTR), la Fondation Chill ainsi que l’Open de Snowboard. Le siège de Burton Snowboards est installé à Burlington, dans le Vermont (USA) et ses bureaux internationaux, à Innsbruck (Autriche) et Tokyo (Japon). Burton est le leader dans l’industrie depuis sa création.
Source : Ducati
novembre 9, 2005
Suzuki Burgman 650 Executive
Suzuki, en sortant son 650, a littéralement écrasé le monde du scooter. Le 650 Burgman reste donc le must des scooters. Bicylindre, double arbres, ABS, boite séquentielle, 170 km/h en vitesse de pointe, pare-brise ajustable en roulant, si ce n’est pas du luxe, c’est de l’indécence.
Sur la route, le 650 se pilote presque comme une moto. Enchaînement des courbes, pilotage sportif ou cool, le maxi-scooter ne risque pas de vous trahir.
Le nec plus ultra du Burgman 650 est en fait sa boite de vitesses. Utilisable en 3 fonction, ils se changent directement au guidon, en roulant, par une simple pression du pouce : le mode automatique qui monte jusqu’à 7000t r/min environ, le Power Mode (automatique également) qui autorise 7500 tr/mn de plus pour une conduite plus sportive et enfin le mode manuel qui permet d’atteindre la zone rouge à 8500 tr/min en changeant les rapports avec le pouce.
Côté moteur, on trouve un bicylindre 4T,injection, 2 ACT, 4 soupapes, refroidi par eau. D’une cylindrée de 638 cm3, il offre une puissance de 55 ch à 7000 tr/mm.
Côté châssis, son cadre tubulaire en acier reçoit à l’avant une fourche télescopique offrant un débattement de 105 mm et 2 disque de 260 mm, étriers 2 pistons. A l’arrière, on trouve 2 amortisseurs réglables avec un débattement de 100 mm. Le freinage est assuré par un disque de 250 mm, étriers 2 pistons.
Côté équipement, le tableau de bord numérique fourni un max de renseignements : (voyants de pression et de niveau d’huile, niveau d’essence avec indication réserve, indication des vidanges paramétrable en concessions…, compte-tours, indication de le vitesse par chiffres, 2 trips et 1 kilométrage total, température moteur, horloge). En plus d’un grand coffre sous la selle, d’une contenance 56 litres, qui peut loger deux casques intégraux, le tablier abrite aussi deux petits vide-poches latéraux de 1,4 litres pour les menus objets, et un vide-poches central de 7,2 litres. A noter aussi, la condamnation magnétique du contacteur, les rétroviseurs escamotables, le dosseret de selle pilote mobile sur une plage de 50 mm, le frein de parking, les deux poignées passager. Disponible en gris argent ou bleu, le Suzuki Burgman 650 Executive vous coûtera 9699 €.
novembre 9, 2005
Sécurité routière : baromètre du mois d’octobre 2005
Au cours du mois d’octobre 2005, comparé à octobre 2004, on a enregistré des diminutions homogènes des nombres d’accidents corporels et de blessés et une diminution nettement plus marquée du nombre des personnes tuées. A noter que les conditions météorologiques de ce mois d’octobre 2005 ont été légèrement défavorables à la sécurité routière alors que celles d’octobre 2004 avaient été assez neutres. Le mois d’octobre confirme donc les bons résultats constatés en août et en septembre. Pour la première fois depuis que des statistiques fiables existent, le nombre annuel des personnes tuées est passé sous la barre des 5 000 tués et se situe à 4 984. Le cumul des dix premiers mois de l’année se traduit par des diminutions homogènes des nombres d’accidents corporels et de blessés et une baisse légèrement plus marquée du nombre de personnes tuées. Le bilan des 12 derniers mois (novembre 2004 à octobre 2005) est de 4 984 tués.
Source : Sécurité Routière
novembre 9, 2005
Minibike Academy
Signalons une belle initiative pour les pilotes moto en herbe âgés d’une dizaine d’année : la Minibike Academy organisée par Honda. C’est Arnaud de Tournay qui est le grand gagnant de la 1ère édition. Il s’est donc vu remettre des mains de Bernard Rigoni, Responsable du service Compétition chez Honda Motor Europe South, les clefs de la CBR 125R avec laquelle il participera l’année prochaine à la désormais célèbre Junior Cup organisée par la FFM. Toute la Division Motocycles de HMES (Honda Motor Europe South sa) lui adresse ses plus vives Félicitations et lui donne rendez vous l’année prochaine pour sa 1ère saison en Junior Cup. Peut être un futur grand pilote français en MotoGP ou Superbike…
Source : Honda
Règlement de la Minibike Academy 2005
Version 9 du 4 décembre 2004
Article 1 : Principe
La Fédération Française de Motocyclisme, dans le cadre de ses actions de détection, souhaite faciliter l’accès à la moto de vitesse au plus grand nombre. Dans cet objectif, elle inaugure en 2005 une école itinérante intitulée : Minibike Academy
Cette école, animée par des éducateurs diplômés d’Etat, est principalement destinée aux jeunes débutants.
Article 2 : Elèves pilotes admis
Les 20 élèves pilotes admis à la Minibike Academy 2005 devront être de nationalité française et âgés entre 8 et 14 ans.
Toute demande n’entrant pas dans ces différents critères sera examinée par la FFM qui pourra décider de déroger aux différents critères définis. Les élèves devront être titulaires d’une licence NEA ou NAM. Chaque élève pilote devra être placé sous la tutelle d’un parent ou tuteur légal ou toute personne mandatée par eux. Sa présence est obligatoire durant toute les manifestations. Il sera chargé notamment d’assurer l’interface entre l’élève et la structure organisatrice.
Article 3 : Machines
Les motos de la Minibike Academy seront des Honda NSR50 strictement d’origine mises à disposition lors de chaque manifestation par la FFM.
Les motos seront attribuées par tirage au sort lors de chaque manifestation, par un pilote choisi au hasard et différent à chaque fois. L’entretien des machines sera à la seule charge de la structure organisatrice. Une caution de 300 € sera exigée lors de l’inscription, une somme forfaitaire d’un montant de 50 € pourra être retirée sur cette caution à la suite de chaque chute sur décision des éducateurs. L’élève pilote et son encadrement n’auront pas à intervenir sur la mécanique.
Article 4 : Calendrier
La Minibike Academy se déroulera au travers de 9 sessions : 3 stages, 4 manifestations dans le cadre du Championnat de France 50 cm3, 1 lors d’une épreuve des Coupes de France Promosport et 1 activité sur le Grand Prix de France.
Calendrier (sous réserve de modification)
28/03/05 Stage de formation à Alès (30)
9 et 10/04/05 Belmont sur Rance (81)
14/05/05 Grand Prix de France au Mans (72)
11 et 12/06/05 Le Creusot (71)
02 et 03/07/05 Roanne (42)
08/08/05 Stage de perfectionnement à Alès (30)
17 et 18/09/05 Fontenay Le Comte (85)
01 et 02/10/05 Circuit Carole (93)
24/10/05 Stage d’évalutation à Alès (30)
Article 5 : Inscriptions
Les formulaires d’inscriptions devront parvenir avant le 31 janvier 2005 à :
FFM Minibike Academy
74 avenue Parmentier
75011 PARIS
accompagnés d’un droit d’inscription forfaitaire de 3000 euros TTC, en deux chèques, à l’ordre de la FFM (2000 € encaissés lors de l’établissement de la liste des engagés, les 1 000 € restants seront encaissés le 1er juillet 2005). En aucun cas ces sommes ne pourront être remboursées, sauf en cas de force majeure (blessure, maladie) reconnue par la FFM. Les 20 premiers dossiers arrivés complets à la FFM seront retenus, cachet de la poste faisant foi.
Cette somme comprend :
A) la mise à disposition du circuit durant les horaires impartis par les organisateurs (les engagements et les droits de piste sont pris en charge).
B) la mise à disposition et l’entretien de la moto.
C) la fourniture de l’équipement (casque, gants, combinaison cuir). Les bottes et la protection dorsale devront être fournis par l’élève pilote.
En cas de perte, de vol ou de détérioration de l’équipement, la dotation ne pourra en aucun cas être renouvelée et devra être remplacée, aux frais du pilote, par des éléments identiques en termes de marque et de coloris. Les frais de déplacement, d’hébergement et de restauration sont à la charge du pilote.
Article 6 : Déroulement type d’une manifestation
Les élèves pilotes devront se présenter à l’accueil de la Minibike Academy suivant les horaires indiqués dans leur convocation.
Sauf durant les stages spécifiques (qui permettront plus de roulage que lors des démonstrations devant du public), les élèves de la Minibike Academy bénéficieront en principe d’un minimum de 20 minutes de roulage le samedi, et 4 fois 10 minutes le dimanche.
Les démonstrations devant public se dérouleront selon la réglementation sportive générale de l’Educatif d’Approche Sportive Minibike (obligation de posséder le Guidon d’Or ou le CASM, ces examens pourront être passés lors du premier stage en mars 2005).
Aucun classement de course ne sera publié à l’issue de chaque stage ou manifestation.
Article 7 : Récompenses
Les meilleurs élèves de la Minibike Academy, désignés par les éducateurs FFM, selon les critères d’évaluation de l’activité d’approche sportive Minibike (comportement, aptitude au pilotage, tenue, etc…) se verront attribuer les récompenses suivantes :
Vainqueur de la Minibike Academy – Catégorie Poussin (élève de moins de 12 ans au 01/03/06) : une moto Metrakit en prêt pour disputer le Minibike National 2006.
Vainqueur de la Minibike Academy – Catégorie Minime (élève de moins de 14 ans au 01/03/06) : une moto Metrakit en prêt pour disputer la Minime Cup 2006.
Vainqueur de la Minibike Academy – Catégorie Cadet (élève de plus de 14 ans au 01/03/06) : une 125 Honda CBR en prêt pour disputer la Junior Cup 2006.
Article 8 : Application de la réglementation
Le code sportif de la FFM ainsi que l’ensemble des règles éducatives d’approche sportive sont applicables.
Article 9 : Discipline
Les éducateurs pourront à tout moment sanctionner le comportement incorrect ou anti-sportif d’un élève pilote, de son tuteur légal ou de l’un de ses accompagnateurs.
Article 10 : Litige
Tout litige concernant le déroulement de la Minibike Academy devra être soumis à la FFM (Direction Technique Nationale). En dernier lieu, les organes disciplinaires et d’arbitrage de la FFM seront compétents.
novembre 8, 2005
MotoGP : Gibernau quitte Honda pour Ducati
C’est à présent officiel, Sete Gibernau laissera le guidon de sa Honda pour celui d’une Ducati. Il participera à la saison 2006 de MotoGP aux côtés de Loris Capirossi puisqu’il remplacera Carlos Checa. Souhaitons lui une meilleure saison que cette année, puisqu’il ne termine qu’à la 7ème place du classement pilote ce qui n’est pas représentatif de son talent. Gibernau est confiant sur ce choix : «Après avoir décroché de bons résultats ces dernières années, et à l’issue d’une saison au cours de laquelle j’ai rencontré certaines difficultés tout en me maintenant au plus haut niveau, j’ai décidé de prendre une nouvelle direction. Je tiens avant tout à remercier toutes les personnes qui m’ont permis de décrocher de beaux résultats, mais il était temps de trouver une nouvelle source de motivation. Le professionnalisme et l’enthousiasme manifesté chez Ducati m’a décidé à les rejoindre. J’aborde ce nouveau défi avec détermination, et avec la conviction de pouvoir décrocher de bons résultats. Ducati a de grandes ambitions et a démontré un potentiel énorme. Avec mon expérience, je pense pouvoir apporter ma contribution à ce projet afin d’atteindre le but que nous visons tous.»
Source : MotoGP.com
novembre 8, 2005
Pierre Dupasquier s’en va en pleine gloire
L’emblématique Directeur de la compétition chez Michelin, Pierre Dupasquier, raccroche après d’innombrables victoires en sport auto/moto et notamment une année 2005 forte en émotions. En effet, le manufacturier français de pneumatiques s’est imposé de main de maître dans ce qu’il se fait de mieux en compétition avec notamment la MotoGP, le WRC et la F1. Il quitte ainsi son poste en pleine gloire, une retraite à 68 ans bien méritée et passe le flambeau à Frédéric Henry Biadaud. Une immense fête a été organisée à cette occasion avec de nombreux pilotes MotoGP. La tâche est difficile pour son successeur tant Pierre Dupasquier a marqué Michelin de son emprunte comme en témoigne Edouard Michelin : «Pierre a été un leader charismatique et dévoué. Tout d’abord, c’est un ingénieur qui a su pousser la technologie du pneumatique à son maximum. Il est la raison première du retour à la compétition de Michelin dans les années 70 et fut un acteur crucial du développement du radial. Nous voulons saluer son engagement, son sens des valeurs, son esprit d’équipe, son sens du fairplay et son respect de nos partenaires…
… Depuis que Pierre a débuté comme directeur de la compétition en 1973, Michelin a connu tant de succès (92 victoires en F1, 534 en Grand Prix moto, 174 en WRC et 57 au Paris-Dakar) qui nous ont rapporté au total plus de 180 titres mondiaux et 1300 courses de championnat du monde. Evidemment, 2005 a été un cru exceptionnel pour nous, avec les titres mondiaux en F1, MotoGP et WRC, sans oublier nos victoires aux 24 Heures du Mans, en Rallye Raid et même en championnat du monde de VTT. C’est pourquoi nous voudrions remercier Pierre, lui dire que nous n’oublierons jamais ce qu’il a fait pour nous et pour la course. Nous lui souhaitons le meilleur dans sa vie à venir.»
Mais l’intéressé ne quitte pas définitivement la scène puisqu’il restera Consultant privilégié de Michelin : «Nous avons réussi en moto parce que nous avons su écouter nos pilotes. Notre seule préoccupation a été la curiosité, le travail incessant afin de comprendre pourquoi nous étions bons ou pourquoi nous étions mauvais, et surtout pour nous améliorer en vue de la course suivante. Quand nous disons que nous allons faire quelque chose, nous le faisons, et nous faisons en sorte que nos pilotes et nos partenaires nous accordent leur confiance. Le produit final a toujours été notre objectif premier. Je vous adresse à tous mes remerciements pour ces grandes années, et maintenant je laisse les clefs de la maison à Frédéric!»
Son successeur, Frédéric Henry-Biabaud lui a aussi rendu hommage : «Quand Mick Jagger quitta les Rolling Stones, les Stones ne furent jamais plus vraiment les Stone. Personne ne remplacera Pierre, mais tout le monde chez Michelin regarde devant avec la détermination d’obtenir à nouveaux d’autres succès, sur deux et sur quatre roues.»
novembre 8, 2005