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  • Auriol présent au Dakar 2006

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    Hubert Auriol revient à ses premiers amours, le pilotage, après avoir été directeur du rallye-raid Paris Dakar de 1995 à 2003.
    Ce grand Monsieur du sport auto et moto qui a notamment remporté deux victoires en moto au Dakar 1981 et 1983 sur BMW et une victoire en 1992 sur une Mitsubishi vient d’annoncer sont retour à la compétition par l’intermédiaire du journal “L’Equipe”.
    Hubert Auriol partira donc de Lisbonne, le 31 décembre prochain au volant d’un Izuku 4X4 officiel.
    Hubert Auriol reprend donc du service au sein d’un team fondé en 2004 grâce à son ami italien Ed Orioli, quadruple vainqueur moto et ancien équipier Cagiva. Il en sera à sa Seizième participation.
    “Ce projet qui démarre m’a immédiatement séduit. La voiture est bien construite, l’équipe bien structurée. Refaire le Dakar dans ces conditions ne pouvait que me séduire”, a déclaré celui qu’on surnommait autrefois « l’Africain ». Cette 27e édition coïncidera avec l’anniversaire de la disparition de Thierry Sabine, le créateur de l’épreuve, mais ce n’est pas cette commémoration qui a incité Hubert Auriol à reprendre du service. “Tous les anciens y penseront évidemment mais, cela ne m’a pas influencé.”

     

    Hubert Auriol et son nouveau team effectueront leur premiers tests dans une quinzaine de jours en Tunisie.

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  • MotoGP : Randy de Puniet arrive !

    Randy_de_punietLe jeune (24 ans) pilote français Randy de Puniet vient de signer avec Kawasaki pour chevaucher la fprochaine Ninja ZX-RR l’an prochain en catégorie reine MotoGP. Rappelons que Randy est actuellement 7ème au classement du championnat du monde 250 cm3 sur une Aprilia et que son avenir semble très prometteur. Seulement présent depuis 4 ans en MotoGP et actuellement au 4ème rang du championnat constructeur, Kawasaki veut miser sur les jeunes talents pour acquérir, ou plutôt conquérir, son premier titre en MotoGP. Bien évidemment, Randy est particulièrement content : «Passer en MotoGP avec Kawasaki représente une opportunité fantastique : c’est un rêve qui prend forme. Je sais que ce ne sera pas facile, car une machine de MotoGP n’a rien à voir avec les 250 cm3 2-temps auxquelles je suis habitué – c’est un challenge de taille, mais que je suis prêt à relever ! Travailler avec un team de ce calibre sera un plus lors de cette première saison en MotoGP. Evidemment, il faudra attendre les essais de Valence afin de mieux cerner mes possibilités dans cette catégorie et se fixer des objectifs. L’essentiel sera de progresser constamment afin de me rapprocher des meilleurs.»

  • Suzuki Stratosphere 1100

    Suzuki_stratosphere_1Voici un concept bike étrange dévoilé lors du Tokyo Motor Show 2005 : la Suzuki Stratosphere 1100. Elle surprend, d’abord par le style très anguleux de sa tête de fourche mais aussi par l’aspect longiligne de son profil. Côté moteur, on retrouve un surprenant 6 cylindres en ligne 4 temps à double ACT de 1100 cm3 dont les cylindres sont face à la route. La ‘tuyauterie’ se termine par un échappement 6 en 1 très inspiré de l’univers MotoGP par son gabarit très court et sa forme similaire à celui de la GSX-R 1000 de la même marque. D’un point de vue partie-cycle, on retrouve ce qu’il se fait de mieux avec l’ABS sur des freins radiaux, une fourche inversée, un cadre en aluminium, etc… L’équipement est complet avec des feux LED, une bulle électrique réglable, des valises latérales démontables, un système d’aide à la navigation (ETC), un tableau de bord très complet avec un affichage numérique, etc… A n’en pas douter, ce concept bike ne restera pas lettre morte, on devrait le retrouver en version de série d’ici 2 ans dans la catégorie sport/GT. Affaire suivre…

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  • Kawasaki KX450F 2006

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    Si vous prenez la course au sérieux, vous vous rendrez vite compte que la KX450F vous donnera un avantage incontesté sur le circuit.  Ce sont les pilotes intermédiaires et expérimentés qui apprécieront le plus le potentiel de la KX450F. Son nouveau cadre périmétrique en aluminium et les suspensions type compétition collent la machine au sol avec des accélérations phénoménales. Des détails raffinés comme les disques pétale et les repose-pied en titane donnent à la KX450F ce petit plus qui s’appelle un dixième de mieux au tour, celui qui fait toute la différence entre la victoire et rien.
    Côté moteur, la kawa n’est pas en reste grâce notamment à son monocylindre de 449 cm3 quatre temps à refroidissement liquide, deux ACT, soupapes en titane à doubles ressorts et culasse type course qui déverse ses chevaux sur toute sa plage de régime et même au-delà en vous permettant de tirer tous les tours quand les autres doivent changer de rapport. Muni d’un décompresseur centrifuge à double masselotte, la nouvelle KX450F démarre comme une horloge.

    Côté châssis, on retrouve une fourche Kayaba de 48 mm AOS totalement réglable ce qui permet d’adapter la bête à toutes les conditions de piste. Le nouveau cadre périmétrique en aluminium, d’une légèreté et une rigidité totales, est composé de pièces forgées, coulées et extrudées. Son centre de gravité et les dimensions principales du châssis (placement du pivot du bras oscillant, du pignon de sortie et de l’essieu arrière) sont agencées pour que pneu arrière entraîne la moto vers l’avant plutôt que vers le bas. le moteur lui-même est orienté très à la verticale, ce qui aide à centraliser la masse.
    Une nouvelle géométrie du bras de suspension améliore la motricité de la roue arrière et est facilité par un double réglage de vitesse en compression.
    Une habillage et un réservoir super étroits garantissent une maniabilité supérieure. Les ouïes étroites du radiateur facilitent le déplacement vers l’avant, ce qui permet de charger la roue avant pour une meilleure inscription en courbe.
     
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  • Mondial 2005 : Triumph – Live

    Triumph_daytona_675_1_1Le stand Triumph était particulièrement intéressant avec notamment les nouvelles Daytona 675 et Scrambler. Je passe la Scrambler puisque ce n’est pas trop ma tasse de thé, pour vous parler des autres motos qui ont attiré mon attention. La première est bien évidement la Daytona 675 avec son design époustouflant et son gabarit étonnant. En effet, on a l’impression de chevaucher une 250 cm3 tellement la moto est étroite, malheureusement je n’ai pas du tout aimé la position de conduite que j’ai trouvé trop caricaturale puisque le corps est vraiment basculé vers l’avant. Hormis ce détail que les passionnés sportifs ne verront guère, la qualité de fabrication est de bonne facture et la tableau de bord très lisible. Mon regard a aussi été attiré par l’immense Rocket III puisque ces chromes brillaient de milles feux sous les spots lights. La position de conduite est kitch mais donne envie de voyager cheveux au vent sur la route 66. La Speed Triple m’a aussi séduite avec ses deux petits yeux globuleux, sa fourche dorée et son arrière tronqué avec double sortie d’échappement. En revanche j’ai moins apprécié l’imitation (je crois) carbone des flancs. Enfin, la Sprint ST a une vraie réussite sur le plan du style avec son concept à 3 cercles : 3 feux circulaires à l’avant, 3 cadrans ronds sur le tableau de bord et 3 sorties d’échappement. Si on ajoute à cela les clignotants intégrés dans les rétroviseurs et la barre d’insert chromé des ouïes latérales, il y a vraiment de quoi voir son cœur chavirer.

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  • Mondial 2005 : Suzuki M 1800 R – Live

    Suzuki_m_1800_r_0Suzuki ne pouvait pas rester longtemps à la traîne dans la catégorie des customs de grosse cylindrée face aux Triumph Rocket III, Kawasaki VN 2000, Yamaha 1700 Warrior et Honda VTX 1800. La Suzuki M 1800 R fait peut être même mieux puisqu’à l’image de son physique imposant conçu pour le marché américain, cette grosse japonaise affiche une solide fiche technique. Ainsi, le Twin 4 temps, double arbre à came en tête, 4 soupapes par cylindre, refroidi par eau de 1 783 cm3 développe 120 ch. L’alésage x course de 112 x 90.5 mm en fait l’alésage le plus gros jamais conçu sur un moto de série, mais la course témoigne de la volonté de privilégier la puissance au couple par les ingénieurs. La M 1 800 R est donc un monstre de puissance qui tutoie les 240 km/h ! La partie-cycle est composée d’un cadre double berceau en acier, d’une fourche avant téléscopique inversée, d’un monoamortisseur arrière, d’un frein avant double disque à étriers à fixation radiale à 4 pistons (grande première sur un custom), d’un frein arrière à disque avec étrier à 2 pistons. On retrouve également les éléments typiques d’un custom avec un angle de colonne de 32°, 130 mm de chasse, 1 715 mm d’empattement, une longueur de 2 460 mm, un poids à sec de 300 kg environ et un pneu arrière de 240 mm de large. D’un point de vue stylistique, la Suzuki M 1800 R se démarque bien de la concurrence avec une ligne fluide et élancée assez futuriste bien mis en relief par la tête de fourche très personnelle, les jantes en forme de lames tranchantes et surtout le double combiné d’instrumentation : l’un digital sur le guidon et l’autre analogique sur le réservoir. Magnifique…ment démesurée ! Disponibilité fin février 2006 pour 14 000 € environ.

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  • Boxer SS/R 1000

    Boxer_1Je vous en parlais dans cet article, voici quelques petites précisions sur cette 2 motos en 1. La SS/R peut donc se transformer en SuperSportive (SS) ou en Roadster (R) d’où son appellation. Côté motorisation, deux moteurs sont à l’étude : le Twin Voxan ou celui de l’Aprilia RSV 1000 R, tout deux dans une configuration avoisinant les 140 ch. La partie-cycle s’annonce sympathique avec des freins radiaux Brembo, des suspensions Öhlins, des échappements 2 en 2 mégaphone comme sur la Honda RCV de MotoGP avec chambre de transquilisation sous le moteur, de nombreuses pièces en carbone, l’huile moteur dans le bras oscillant comme sur les Buell, une batterie dans l’extrémitié du bras oscillant, un cadre treillis, in poids à sec de 180 kg, des jantes Marchesini, etc… Le constructeur annonce un prix compris entre 14 000 et 15 000 €, mais il est probable que celui-ci soit légèrement supérieur compte tenu de la fabrication en petite série et du véritable engouement du public pour ce concept.

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  • MotoGP : Rossi expédie le GP de Philip Island

    Motogp_australie_1Après une passe d’arme captivante, Valentino Rossi remporte sur le file (+1.007 s d’avance) le GP d’Australie le plus rapide de l’histoire (-17 s par rapport à 2004) devant Hayden et Checa. Melandri se retrouve aux pieds du podium puisqu’il concède sa 3ème place dans les derniers mètres de la ligne d’arrivée. Rossi et Hayden se sont donnés du fil à retordre tout au long de l’épreuve, Rossi d’abord en tête puis second, lorsque les poursuivants recollèrent, pour enfin reprendre la tête du peloton. Course difficile pour Rossi : « Ce fut difficile de lâcher Nicky, il a réalisé une course magnifique. Quand j’ai rendu la main et qu’il m’a passé, les autres nous ont rapidement rejoint et c’était alors risqué de rester dans cette situation. J’ai donc repassé Nicky et attaqué de nouveau, ce qui m’a permis de prendre un avantage d’une seconde, qui valait de l’or. »

    Hayden, son poursuivant et désormais second au classement du championnat MotoGP est satisfait de sa course : «C’est parfois dur et douloureux de tenir un tel rythme, mais là je me sentais bien derrière Valentino, même quand il haussait le rythme. La moto et les pneus se sont très bien comportés, et je vise désormais mieux que la seconde place car je veux absolument décrocher une seconde victoire cette saison !»
    A l’inverse, Melandri est déçu de sa prestation : «Je pensais pouvoir contrôler Checa mais au final j’empoche quand même de gros points et suis toujours dans la course pour la place de vice-champion du monde. L’avant de ma moto n’était pas parfait, ce qui n’a pas aidé le train arrière.»
    A noter que Yamaha gagne par conséquent le titre constructeur en MotoGP, Jeremy Burgess, Chef mécanicien de Valentino Rossi est satisfait de son poulin et de cette saison : «Ce fut un bon week-end pour nous, avec de bons temps dès le vendredi et le samedi et le maintient de notre compétitivité alors que les autres pilotes progressaient. Valentino a contrôlé la course aujourd’hui et donné un nouvel exemple de la raison pour laquelle il est champion du monde. Il a couru autant avec sa tête qu’avec son poignet. Ce fut sympa pour les Australiens de l’équipe de gagner leur course à la maison, mais plus que cela, nous sommes ravis pour Yamaha de gagner le titre constructeur. C’était notre dernier but à atteindre cette saison et maintenant nous pouvons attendre les deux dernières courses et voir comment ça se passe.»

    Motogp_australie_3Arrivée du GP
    1. V. Rossi (Yamaha, Ita)
    2. N. Hayden (Honda, EU)
    3. C. Checa (Ducati, Esp)
    4. M. Melandri (Honda, ita)
    5. S. Gibernau (Honda, Esp)
    6. C. Edwards (Yamaha, EU)
    7. S. Nakano (Kawasaki, Jap)
    8. M. Tamada (Honda, Jap)
    9. T. Elias (Yamaha, Esp)
    10. J. Hopkins (Suzuki, USA)

    Motogp_australie_4Classement pilote MotoGP
    1. V. Rossi (331 pts)
    2. N. Hayden (170 pts)
    3. M. Melandri (170 pts)
    4. C. Edwards (162 pts)
    5. M. Biaggi (159 pts)
    6. L. Capirossi (148 pts)
    7. S. Gibernau (137 pts)
    8. A. Barros (129 pts)
    9. C. Checa (114 pts)
    10. S. Nakano (87 pts)

    Motogp_australie_2Classement constructeur MotoGP
    1. Yamaha (345 pts)
    2. Honda (291 pts)
    3. Ducati (178 pts)
    4. Kawasaki (115 pts)
    5. Suzuki (96 pts)

  • Peugeot Satelis 2006

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    Lors du Salon Mondial de la moto, Peugeot a présenté son nouveau scooter, le Satelis qui devrait entrer en concurrence directe avec les Piaggio X8 et X9, avec un prix à partir d’environ 3700€ pour le 125.
    Côté Moteur, le Satelis 125 sera équipé d’un monocylindre 4 temps 4 soupapes à refroidissement liquide et injection électronique. D’une cylindrée de 124,8 cm3, il offre une puissance raisonnable de 15 chevaux. Le Satelis Compressor 125, quant à lui, sera équipée d’une culasse deux soupapes mais il bénéficiera d’une suralimentation par compresseur volumétrique.
    Les autres caractéristiques des Satelis :
    – aérodynamisme très étudié (Scx 0,402 m?)
    – motorisations toutes équipées d’une sonde Lambda
    – hauteur de selle limitée à 784 mm
    – cadre double berceau en acier avec réservoir central, centre de gravité bas
    – fourche diam. 37 mm en 125 cm? (41 mm pour le 500)
    – 2 amortisseurs à l’arrière
    – freinage assisté ABS/PBS, disque avant simple ou double et disque arrière (diamètres de 210 à 260mm)
    – jantes 14 pouces AV / 13 pouces AR
    – double projecteur H7
    – coffre pour 2 casques intégraux (sauf en version 125 Compressor)
    – hayon de coffre à ouverture automatique par télécommande (option)
    – anti-démarrage par clé à transpondeur électronique + « boa » mécanique 140 cm logé dans un tunnel extérieur
    – rétroviseurs grand angle asphériques
    – réservoir d’essence de 13,5 litres

    Le Satelis 125 sera disponible début 2006 avec trois niveau de finition :
    Premium, moto d’entrée de gamme
    City, finition Premium + chaîne antivol Abus
    Executive, finition Premium + ABS + chaîne antivol Abus
    Le Satelis 250, monocylindre 4 temps d’origine Piaggio, 22 ch., 1,97 daN.m, 161 kg, sera disponible milieu 2006
    Le Satelis 500, monocylindre 4 temps d’origine Piaggio, 39 ch., 4,04 daN.m, poids NC, sera disponible début 2007.

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  • Mondial 2005 : Elf R – Live

    Elf_r_1986_2Sur le stand Elf, trônait l’Elf R de tous les records. Sa naissance remonte à 1986 lorsque Elf décida de marquer l’histoire de son sceau en s’attaquant à divers records de vitesse avec cette fantastique moto, dérivée des motos d’endurance de 1980-83, et dotée d’un 4 cylindres en ligne de 1000 cm3 développant 125 ch. Comme vous pouvez le constater, son carénage avait fait l’objet de tous les soins des ingénieurs de la marque avec une étude approfondie en soufflerie pour assurer la meilleure stabilité possible à hautes vitesses. De la vitesse il y en avait puisque l’Elf R a atteint les 321 km/h sur l’anneau de Nardo en Italie. Pas moins de 6 records tombèrent ce jour là (14 septembre 1986) dans les mains de E. Courly, C. Le Liard et H. Auriol.

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