Blog

  • Honda CRF250R 2006 partie 2

    Crf250_5

    Moteur et transmission :
    – Le puissant monocylindre 4 temps 4 soupapes Unicam de 249 cm3 à refroidissement liquide est conçu pour délivrer sa puissance sur une large plage de régimes pour plus d’efficacité. Compact et léger, il ne ne pèse que 23,9 kg.
    – Très compact et léger, le système de décompression intégré et le décompresseur manuel au guidon facilitent les démarrages, à froid comme à chaud.
    – L’ originale distribution Unicam permet de concilier la légèreté et la compacité d’une commande à simple arbre à cames avec une forme optimale de la chambre de combustion pour une puissance maximale à tous les régimes. Elle comprend aussi un simple arbre à cames en acier cémenté qui commande directement les deux soupapes d’admission de 31 mm en titane. La came centrale actionne les deux soupapes d’échappement de 26 mm en acier par l’intermédiaire d’un culbuteur forgé à rouleau qui limite les frottements.
    – La légèreté des soupapes d’admission en titane a permis d’utiliser des ressorts plus petits, réduisant ainsi la hauteur du moteur.
    – Le vilebrequin est réalisé en acier haute résistance à faible teneur en carbone avec des tourillons cémentés pour une fiabilité accrue à hauts régimes.
    – Le piston forgé et les segments sont plus légers que des composants conventionnels, permettant des régimes plus élevés tout en garantissant un haut niveau d’étanchéité avec le cylindre, un taux de compression élevé de 12.9 : 1 et une forte puissance à hauts régimes.
    – La bielle à double cémentation est équipée d’un roulement à aiguille (tête de bielle) afin de concilier performances à hauts régimes et fiabilité.
    – Le traitement de surface Nicasil appliqué au cylindre est léger et garantit un fonctionnement durable.
    – Le capuchon de bougie est placé entre les bras du culbuteur d’entraînement des soupapes d’échappement pour une culasse plus compacte.
    – Le carburateur FCR de ø 40 mm est équipé d’un boisseau plat glissant sur 4 rouleaux. Il en résulte réactivité ainsi que grand confort d’utilisation.
    – Ce carburateur dispose d’un capteur TPS (Throttle Position Sensor) qui aide à obtenir un fonctionnement équilibré sur toute la plage de régime.

    – Le système de lubrification à pompe double sépare le lubrifiant destiné au vilebrequin, au piston et à la distribution et celui destiné à l’embrayage et la transmission. Cela permet de fournir à l’embrayage une huile plus froide et supprime la contamination de l’embrayage et de la transmission par les résidus présents dans l’huile moteur. Le volume d’huile en circulation ainsi que la taille de la pompe sont également réduits.
    – Les carters moteur à plan de joint vertical comprennent le logement de pompe à huile, réduisant le poids par rapport à une conception conventionnelle.
    – Le balancier d’équilibrage entraîné par pignons limite les vibrations en même temps qu’il entraîne la pompe à eau.
    – Les huit disques d’embrayage offrent une surface de contact suffisante pour transmettre le couple moteur tandis que les ressorts sont calibrés de manière à offrir une faible résistance au levier.
    – La transmission dispose de 5 rapports.
    – Les couvercles d’alternateur, d’embrayage et le cache culbuteurs sont réalisés en magnésium afin de réduire le poids du moteur.
    – Le double radiateur dispose d’une surface d’échange accrue par rapport à des composants classiques, permettant une dissipation plus efficace de la chaleur.

    Crf250_2

  • Honda CRF250R 2006 partie 3

    Crf250_3

    Châssis et suspensions :
    – Le cadre double poutre aluminium de quatrième génération est dérivé de celui des CR. Les poutres principales, la potence de direction en aluminium forgée ainsi que les berceaux ont été adaptés afin d’optimiser la rigidité. Les platines supports de bras oscillant plus grandes et les poutres principales plus fines permettent d’obtenir un cadre étroit pour un meilleur confort et une meilleure manoeuvrabilité.
    – L’architecture en simple berceau dédoublé fait appel à un tube central de grand diamètre. Deux berceaux fixés à la base de ce tube supportent le moteur. Une colonne de direction en aluminium forgé constitue un point d’attache compact et résistant pour le tube inférieur et les poutres du cadre.
    – La forme du cadre aluminium a été conçue de manière ergonomique afin de privilégier la maîtrise de l’ensemble par le pilote.
    – Le bras oscillant de type CR adopte une double courbure avec une partie centrale en aluminium moulé.
    – Les roues avant et arrière disposent de rayons aluminium similaires aux éléments utilisés sur les machines d’usine afin de réduire le poids non suspendu.
    – La roue avant reçoit un axe de grand diamètre et des roulements à large portée afin d’ajouter à la rigidité.
    – L’axe de roue arrière de 25 mm et les larges roulements offrent une rigidité et une résistance optimales sur les pistes difficiles et tortueuses.
    – La fourche inversée à cartouche Showa de ø 47 mm avec double chambre et amortisseur aluminium autorise un débattement de 315 mm. Elle est réglable en amortissement et en détente (16 crans). La surface interne des fourreaux reçoit un traitement similaire à celui des motos d’usine pour limiter les frottements.
    – La suspension arrière Pro-Link dispose d’un monoamortisseur Showa permettant 315 mm de débattement. Il est réglable en précontrainte, en compression basses vitesses (13 positions) et hautes vitesses (3,5 tours) alors que la détente est réglable en 17 positions.
    – Le diamètre du piston d’amortisseur arrière est de 50 mm afin de garantir la constance des performances dans les pires conditions.
    – Les disques avant et arrière ont un diamètre de 240 mm.
    – Très compact, l’étrier à double piston aluminium anodisés et le disque ajouré réduisent le poids non suspendu pour de meilleures qualités de maniabilité.
    – Similaire à celui des machines officielles, le système de freinage arrière associe le maître-cylindre et le réservoir de liquide, éliminant le besoin d’un bocal indépendant et de Durits.
    Caractéristiques supplémentaires :
    – Tous les élements d’habillages plastique (flanc de radiateurs, caches latéraux, garde-boue, selle et réservoir) présentent un dessin dynamique et affichent un poids limité.

    – Le dessin de cadre permet aux caches latéraux de présenter des prises d’air plus larges qui augmentent de manière significative la quantité d’air admise à bas et haut régimes.
    – L’ergonomie a été optimisée en accordant précisément la hauteur du guidon, de la selle et des repose-pieds à la partie la plus étroite du cadre. Le confort de pilotage et le contrôle de la moto en sont améliorés.
    – La selle épouse la forme du réservoir sans décrochements, augmentant la mobilité et le confort du pilote.
    – La housse de selle à revêtement antidérapant favorise le contrôle de la moto.
    – La pédale de frein arrière repliable et le sélecteur sont fabriqués en aluminium et dessinés pour correspondre parfaitement à la position de conduite. La pédale de frein voit son rapport de démultiplication adapté aux caractéristiques du maître-cylindre arrière.
    – Les larges repose-pieds en acier inox sont de type “autonettoyant”. Ils résistent à la corrosion, offrent un excellent grip et ne limitent pas la garde au sol.
    – Le guidon Renthal Aluminium 971 est monté sur silentblocs afin de réduire la fatigue du pilote et accroître son confort.
    – Les supports de guidon des CR permettent trois positions différentes : les supports d’origine de la CRF250R (idem CRF450/CR125R) offrent une amplitude de +/- 3 mm alors que des supports optionnels (CR250R) offrent une position neutre.
    – Les poignées de type « usine » participent au confort de pilotage.
    – Le levier de frein avant est réglable pour un meilleur contrôle.
    – Le levier d’embrayage dispose d’un système de réglage rapide.
    – Le matériau du guide chaîne offre une durée de vie 5 fois supérieure par rapport aux matériaux conventionnels.
    – La protection de disque avant évite les dommages sur le disque ou l’étrier. • La boucle arrière démontable facilite les opérations d’entretien.
    – Le filtre à air est lavable et constitué de deux éléments afin de protéger parfaitement le moteur tout en étant facile à entretenir.
    – Les silencieux peuvent être reconditionnés afin de maintenir les performances et limiter le bruit.
    – La visserie et les éléments de fixation sont robustes et de haute qualité.
    – Le câble d’embrayage est fabriqué en acier inoxydable pour une plus grande longévité.
    – Les coloris et la décoration sont dérivés de ceux des modèles d’usine.

    Crf250_6

  • Honda CBF 250 2006

    Cbf_1

    La Honda CBF 250 sortie en 2004 commencée à vieillir et c’est probablement pour cette raison que la marque a décidé d’offrir aux passionnés des moyennes cylindrées, en 2006, une CBF 250 remodelée.
    Si la refonte du modèle n’a pas atteint le cœur de la machine, Honda s’est attachée plus particulièrement à son look.
    Côté moteur, on retrouve donc le monocylindre 4 temps, 4 soupapes double arbre à cames refroidi par air qui a su donner à cette 250 toute sa valeur, dotée d’un excellent comportement routier. La nouveauté réside essentiellement dans la ligne d’échappement qui dispose d’une nouvelle cartouche catalytique placée à l’entrée du silencieux pour réduire encore plus efficacement les rejets de monoxyde de carbone, d’hydrocarbures ou d’oxide d’azote. Ce nouveau système d’échappement entre donc dans la législation Euro 3.
    Côté châssis, la CBF 250 reste inchangé. La fourche garde donc le même diamètre de 37 mm et le même monoamortisseur arrière agissant sur un bras oscillant caissonné en aluminium.
    Côté look, la CBF 250 a subi un sérieux lifting, à commencer par les écopes de réservoir qui présentent désormais, grâce à des prises d’air plus proéminentes, des lignes plus angulaires et agressives et un nouveau tableau de bord dont l’instrumentation intègre tous les cadrans et les témoins nécessaire à la bonne utilisation de la machine, complétée par un phare à multiréflecteur particulièrement efficace.

    La nouvelle CBF 250 est proposée en 4 coloris, noir et argent, identique à la 250 de 2004 en bleu Candy Itauna, qui met en évidence son côté sportif et en fin en blanc Ross.
    Enfin Honda propose en option sur sa CBF 250 un Top Case, une béquille centrale, etc.

    Cbf_2

    Cbf_3

    Cbf_4

  • Honda SilverWing 400 2006

    Silver1

    Cette année, lors du salon de la moto à Paris, Honda a présenté le petit frère du 600 SilverWing, le 400 SilverWing. Si Honda a repris quasi à l’identique le maxi scooter de la marque, Honda n’a pas pour autant bâclé la machine.
    Côté moteur on retrouve le même bicylindre en ligne à injection et refroidissement liquide que son aîné, mais rabaissé à 398 cm3. Placé tout comme le 600 en position horizontal, ce moteur affiche la même vigueur le même potentiel digne des gros maxi-scooters.
    Côté châssis, Honda garde le même type de cadre poutre/double berceau en tubes d’acier, conçu pour encaisser la puissance initiale de 600 cm3.
    Le système de freinage éprouvé sur le 600 reste identique sur le 400 et garde par conséquent le fameux système exclusif Honda “Combined Brake System” qui associe les disques avant et arrière pour une répartition optimale des forces de freinage.
    Côté équipement, le SylverWing 400 reprend les mêmes équipements que son aîné le 600. Il est équipé de l’antidémarrage HIIS. Il possède aussi le même coffre volumineux sous la selle et propose en plus une paire de vide-poches disposant de couvercles à double paroi pour une étanchéité améliorée et sont équipés de charnières à ressort qui autorisent l’ouverture et la fermeture par simple pression.
    La béquille centrale reste aussi une nouveauté exclusive au 400, elle a été entièrement revue et son implantation comme sa forme ont été changées afin de réduire l’effort nécessaire au béquillage, en particulier lorsque le coffre est plein.

    Le nouveau Silverwing 400 propose en option, toute une série d’équipements : une bulle haute de 630 mm, des déflecteurs de jambes, des poignets chauffantes, un antivol en U, etc.
    Avec le SylverWing 400, Honda propose une véritable alternance entre le gros 600 et le Forza EX ABS.

    Silver2

    Silver3

    Silver4

  • Mondial 2005 : BMW K 1200 S ’Racing’

    Bmw_k1200_s_racing_1Dérivée de la nouvelle BMW K 1200 S, voici la libre interprétation de ce que pourrait être une version encore plus sportive, logiquement dénommée K 1200 S ’Racing’. Motorisée par le 4 cylindres en ligne 4 temps refroidi par eau de 1157 cm3, la K 1200 SR développe 167 ch à 10 250 tr/mn pour un couple de 130 Nm à 8 250 tr/mn ce qui correspond à la version libre de la K 1200 S. La version France est bridée à 107 ch pour 110 Nm. BMW annonce une vitesse maxi de plus de 300 km/h, une accélération de 0 à 100 km/h en 2,8 s et une accélération de 0 à 200 km/h en 8,2 s, bluffant ! D’un point de vue modification apportée sur ce concept bike, hormis la peinture spécifique BMW Motorrad Motosport Venom et le chronomètre Altano Fun, on constate une monte pneumatique slick Michelin, un frein avant signé Brembo Superbike, un carénage en carbone de CFP, des commandes reculées en aluminium taillé dans la masse signées Gilles Tooling, une visserie en titane Lightech, un échappement Laser Hotcam en titane… le tout pour un poids de 195 kg contre 222 kg pour la version de série. Du grand art, dommage que cet exemplaire unique ne prenne pas le chemin de la production… peut être prendra-t-il celui de la compétition en Superbike ? Affaire à suivre…

    Bmw_k1200_s_racing_2Bmw_k1200_s_racing_3_2Bmw_k1200_s_racing_4_1
    Bmw_k1200_s_racing_3_1Bmw_k1200_s_racing_5

  • Harley-Davidson en grande forme

    Harley_logo_1Une hausse de la demande a permis à Harley-Davidson d’enregistrer une hausse de 16 % de son bénéfice au troisième trimestre et l’action a réagi par une hausse de plus de 4 % sur Inet. Le bénéfice net de Harley-Davidson a représenté 264,9 millions de dollars (219,4 millions €), soit 96 cents par action (0,79 €), contre près de 229 millions (189,6 millions €) (77 cents / 0.64 €) un an auparavant. La croissance du bénéfice par action est de près de 25 %. Le consensus de Reuters Estimates donnait un BPA de 90 cents (0,74 €). Le chiffre d’affaires a progressé à 1,43 milliard de dollars (1,18 milliard €) contre 1,3 milliard de dollars (1,07 milliard €) et a correspondu aux attentes de Wall Street. En juillet, le constructeur a relevé sa prévision de croissance du BPA annuel, en raison de rachats d’actions, à 10-13 % contre 5-8 % précédemment. L’action Harley-Davidson est en hausse de 4,4 %, à 47,60 dollars (39,4 €) sur Inet. Elle a perdu près de 25 % depuis le début de l’année. Le constructeur de motos affirme qu’il reste bien parti pour vendre 329 000 Harley cette année. Pour 2006, compte tenu d’une confiance du consommateur incertaine et de la hausse des prix des carburants et des taux d’intérêt, Harley se fixe un objectif "prudent", aux dires de son directeur général Jim Ziemer, de 348 000 à 352 000 unités.

    NB : BPA = Bénéfice Par Action

    Source : Reuters via Daniel Bour

  • Matra, de la Formule 3 au Vélo Electrique !

    Matra, de la Formule 3 au Vélo Electrique !

    Coucherdesoleil1_blogimage
    40 ans déjà que Matra s’est pour la première fois essayé à la Formule 3 et a remporté son premier grand prix avec la Matra MS 1 piloté par Jean Pierre Beltoise le 1 juillet 1965 à Reims.

    Depuis lors, Matra n’a cessé de remporter des victoires sportives et industrielles telles que
    nous prouve cette retrospective en 4+1 dates :
    1968 : Début de Matra en Formule 1 et 3 victoires
    1969 : Champion du Monde des constructeurs et Pilotes
    1972 : Première victoire aux 24h du Mans
    1984 : Collaboration avec Renault pour produire l’Espace
    2002 : Lancement de l’Avantime.

    Comme son nom l’indique, l’Avantime était un peu en avance sur son temps, et cet "echec" a marqué la fin de l’aventure de Matra dans l’automobile et la cession des ses activités d’ingenierie automobile. Ainsi Matra Automobile est devenu en Septembre 2004 Matra Manufacturing & Services, et s’est spécialisé dans le secteur des produits récréatifs et sportifs. Ainsi pour le salon International du Cycle de Paris, Matra MS présente ses premières gammes de 2 roues à propulsion Hybride humaine et electrique

    Lire également :
    Motorisation Hybride pour 2 Roues

    Peux t-on s’improviser fabricant de Vélo electrique en quelques mois ? Rien n’est moins sur si l’on en juge des prototypes présentées sur le Salon. Les critères de réussite d’un vélo electrique sont multiples mais je vous rappel ici les principaux : Etre pratique à l’utilisation (Batterie démontable pour raccordement secteur), Poids (Le plus leger possible, + de 25KG danger !) ainsi que l’autonomie (au moins 30km pour un parcours urbain complet d’une journée).

    J’ai malheuseusement bien peur que Matra echoue sur les 2 premiers… Batterie amovible, bien sur
    me répond le responsable de la communication de Matra, "vous enlevez la roue avant dans laquelle se trouve la batterie (près de 12kg tout compris  NDLR) et le tour est joué. Je vais en parler à ma femme, je ne suis pas sur quelle soit d’accord de jouer les mécaniciennes, de desserer les freins, j’en passe et des meilleurs. Coté poids, la gamme TidalForce iO (c’est son nom) avoisine les 30kg, un peu lourd tout cela. Coté autonomie, n’ayant pas pu tester le produit, je ne pourrais me prononcer.

    Bilan, on ose esperer que les prototypes sont loin des produits finaux, la commercialisation prévu pour le printemps 2006 nous laisse donc esperer que le fabricants va revoir sa copie, car pour atteindre le niveau de perfection de certain vélo electrique (Giant LaFree pour ne pas citer de marques), il va falloir se remettre au travail les gars…

  • Side-Bike Celtik 2006

    Celtik_munich_04

    Situé à mi chemin entre la moto et le side-car, le trike se démocratise de plus en plus grâce à son accessibilité avec un simple permis B. Seul petit défaut de son armure, son prix malheureusement très élevé.
    Si ce type de machine est souvent construite au Etats-Unis et cela depuis bon nombre d’années, la France commence à s’intéresser à ce marché et quelques entreprises relèvent le gant.
    C’est l’exemple de Side-Bike située à Colombe qui depuis 15 ans conçoit des side-cars et qui depuis 2001 produit des trikes de toute beauté à l’exemple du Celtik 2006.
    la grande nouveauté de Roadster-trike est le fait qu’il possède 3 roues directrices. Selon son concepteur, Jean-Claude Perrin, “ la “fuite” vers l’extérieur du virage du train arrière, limite considérablement le risque de retournement du véhicule. Ce gain permet de placer les passagers dans une position moto (centre de gravité haut) sans pénaliser la stabilité. Pour le même rayon de braquage, l’orientation de la roue avant est beaucoup plus fiable que sur un véhicule “mono roue directionnelle”. Cette particularité autorise l’utilisation d’une train avant triangulé (sinon non compatible avec la longueur du véhicule). Par une astucieuse géométrie des trains arrières, la partie de la poussée latérale (en virage) est utilisée pour assister la rotation des guidons. Il en résulte une incomparable douceur de conduire.”

    Côté moteur, Side-Bike s’est associé à PSA et à utiliser pour cette machine un moteur de 2 litres, 4 cylindres 16 soupapes placé en position centrale arrière couplé à une boite de vitesse automatique adaptive.
    Côté équipement on retrouve biensur 3 places et un volume de bagages embarqué de plus de 200 litres.
    La petite série et la qualité de fabrication expliquent le prix : compter de 23 000 à 30 000 € selon les options. Side Bike espère en vendre au moins 100 unités la première année. Le Celtik devrait être disponible mi 2006.

    Remerciement à Vincent pour les photos prises lors du Mondial Moto 2005

    Celtik_munich_042

    Celtik_munich_05big_004

    Side_1

    100_5215

  • Un Mauritanien au Dakar 2005

    Un Mauritanien au Dakar 2005

    Dakar

    Un jeune pilote mauritanien de 32 ans, Mohamed Zeidane Ould Sweid Ahmed, natif de la ville de Boutilimitt à 150 Km à l’Est de Nouakchott, fera son premier rallye raid Paris Dakar à la fin de l’année 2005, tout en nourrissant le rêve de prendre part un jour au championnat du monde de formule I.
    Dans un entretien accordé mercredi à la PANA, Sweid Ahmed, qui a pratiqué d’abord la moto pendant de longues années avant de s’orienter vers l’auto il y a environ 5 ans, a déclaré qu’il sera sur le Dakar 2005 avec 2 autres compatriotes également membres de la Fédération mauritanienne des sports mécaniques (FMSM).
    « Notre budget de participation est bouclée », a-t-il affirmé, précisant au passage que pour un Dakar « confortable », il faut un pactole de 50.000 euros par participant.
    « En dessous de ce montant ce serait un peu juste et bricolé », a ajouté le pilote qui a rappelé avoir raté de peu l’édition 2004 du rallye raid à laquelle il avait ambitionné de prendre part.
    Ce sera la première fois qu’un concurrent mauritanien prendra le départ du Paris-Dakar.
    En plus du Dakar, le pilote mauritanien, qui vient de boucler un stage de 6 semaines en France et en Italie, nourrit le rêve de prendre part « un jour » au championnat du monde de formule I.

    En France, Zeidane a suivi pendant 3 semaines des cours dans une agence événementielle qui organise des rallies raids « Ici la Terre » à la Rochelle. En Italie, le pilote est resté 3 semaines chef Ferrari, dans la ville de Maranello.
    A l’issue de ces 6 semaines, le pilote mauritanien a obtenu des diplômes d’application pour la formule I et un Reed Racing School (RRS).
    En attendant la levée de la contrainte financière sur une éventuelle participation à la formule I, le pilote mauritanien est déterminé à prendre désormais part à des compétions telles que le Dakar, le rallye du Maroc et le rallye de Tunisie.
    Le pilote et ses compagnons de la Fédération mauritanienne des sports mécaniques mènent une campagne constante en faveur de la promotion de la pratique de ces disciplines dans le pays. Ainsi, ils organisent régulièrement des séances de démonstration à la plage de Nouakchott.

    Source : http://www.jeuneafrique.com »>jeuneafrique.com

  • Yamaha WR450F 2006

    2006_wr450f_eur_dpbse_1_f

    Au même titre que la WR250F, Yamaha a revu sa WR450F en s’appuyant sur les performances de la machine lors du Championnat du Monde d’enduro 2005 ou Stéfane Merriman a su en démontrer tout son potentiel.
    Si le moteur reste un monocylindre quatre temps à refroidissement liquide, double arbre à cames en tête de 449 cc, sa culasse est passée à cinq soupapes en titane. La boite a été entièrement corrigée pour un passage plus en douceur des vitesses.
    Tout comme sa petite sœur la yamaha WR250F, les améliorations apportées à la WR450F se portent principalement sur le châssis. Les WR 2006 sont équipées d’une fourche spécialement développées pour les conditions de roulage enduro. Sur la plupart des fourches à cartouches, la vitesse de l’huile (et donc l’amortissement) est régulée par une soupape constituée de clapets. Sur les WR 2006, la soupape bénéficie en plus d’un ressort hélicoïdal qui est conçu pour répondre à de très petites sollicitations à la compression. Cela a permis d’obtenir un amortissement même à très faible vitesse, situation très courante dans la pratique de l’enduro. Le comportement de la moto est ainsi considérablement amélioré, afin de réduire la fatigue du pilote. Le bras oscillant a quant à lui été renforcé. Sa conception hydroformée a permis d’en abaisser le poids tout en gardant une grande rigidité, améliorant ainsi son efficacité et donnant à la machine une plus grande motricité.

    Autre amélioration, le guidon Renthal est monté sur pontets réglables ce qui donne au pilote la possibilité d’en ajuster la position sur 10 mm.
    Enfin, les étriers de frein ont été repensés afin qu’ils soit mieux protégés des projections de pierres.
    Côté équipement, on retrouve le même nouveau tableau de bord digital multifonctions que sur la WR250F 2006.

    2006_wr450f_eur_dpbse_3_f

    Wr2

    2006_wr450f_action_0002_f