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  • Cushman, l’indestructible scooter

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    Il y aura très certainement quelques scooters sous les sapins de Noël cette année. Et même si le prix de l’essence semble vouloir suivre l’exemple de la température en descendant cet hiver, l’idée d’avoir un moyen de transport économique dont l’usage ne se transforme pas en frustration, fait tout de même son chemin.
    Ainsi, pour l’une de ces soirées d’hiver alors que de gros flocons tombent doucement à l’extérieur et que tous sont réunis au coin du feu, voici le récit d’un petit scooter qui débuta sa carrière en 1936 au Nebraska, son nom était Cushman.

    Avec son allure de moto minuscule, le petit Cushman fut rapidement populaire, mais ce sera la Seconde Guerre mondiale qui lui apportera gloire et fortune. Enrôlé dans l’armée sur sa réputation, un peu comme Elvis Presley, le simple soldat Cushman fut rapidement muté dans un commando de parachutistes de l’armée de l’air. Déjà costaud, on le solidifiera pour qu’il puisse survivre à un égarement de son parachute, ce qui, paraîtrait-il, il faisait de bonne grâce pourvue que le sol ne fasse pas trop preuve de résistance. La compagnie put même poursuivre ses activités pendant la guerre, car on la considérait comme utile à l’effort de guerre américain, offrant un moyen de transport économique en ces temps difficiles.
    Le succès public viendra donc avec les années 50, mais les années 60 furent plus difficiles avec l’arrivée des motos japonaises. Devenues des éléphants dans des magasins de porcelaines qu’ils s’étaient eux-mêmes édifiées, plusieurs compagnies comme Cushman se retrouvaient sans marge de manœuvre pour affronter ce changement radical qui survenait dans un marché qu’il croyait captif.
    C’est ainsi qu’au début de l’année 1966, l’on annonça la fin des scooters Cushman, et que du même souffle, débuta la petite histoire de sa survie.

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    Déjà, le début des années 60 avait vu des tentatives de rajeunissement d’un concept suranné, passant par exemple d’un bloc moteur en acier à un bloc en aluminium, mais c’était trop peu trop tard. D’ailleurs, ce nouveau bloc, plus léger certes, mais miné par d’excessives vibrations, dû être retiré de la circulation. Ce jeu de va-et-vient n’aidait pas le maintien de la confiance des consommateurs, et encore moins celle des concessions qui regardait outre-mer pour des produits fiables et attrayants.
    Début 66, c’était la fin, mais il subsistait un important inventaire, surtout celui des moteurs et de ses pièces associées. Devant respecter une garantie de 7 ans sur tout ce qu’il vendait, Cushman était réticent à laisser sortir des moteurs, mais les voir prendre la poussière alors que la compagnie continuait ses activités dans d’autres secteurs n’était pas profitable non plus. C’est ainsi que de grandes quantités de pièces prenaient régulièrement la route des ferrailleurs.
    Certains amateurs gravitant autour de la compagnie et apprenant le sort réservé à ces engins, utilisés comme motorisation dans certaines séries sur circuit tels les Micro Midget, se pressèrent aux portes des ferrailleurs pour acheter, au poids, des caisses de pièces, parfois mêmes, des moteurs entiers. C’est ainsi qu’à mesure que Cushman vidait ses entrepôts, des particuliers garnissaient leurs sous-sols et garages de l’inventaire du constructeur. Un marché s’est alors développé autour de ce stock de pièces, car lentement mais sûrement, un culte autour du petit scooter se développait. Ne manquait plus qu’un Club pour faire le lien entre tous ces amoureux du Cushman, ce qui fut fait au début des années 80 avec la publication du premier bulletin d’information.
    Avec plus de 2000 membres moins de 10 ans plus tard, le modeste club était devenu la bougie d’allumage de toute une foule d’activités, rencontres annuelles, catalogues de pièces, bouquin d’astuces et même un magazine. Et quand les pièces manquent, les membres en fabriquent, certains allant même jusqu’à racheter les machines-outils d’origines de l’usine Cushman.

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    Aujourd’hui, grâce à internet, l’avenir du Cushman, du moins de ceux qui restent, semble assuré, le Cushman Club of America comptant plus de 5000 membres. Et il est d’ailleurs assez ironique de penser que si Cushman ne s’était pas départi de ses surplus d’inventaires auprès de ferrailleurs, permettant ainsi sa récupération par des amateurs passionnés, la survie même du scooter aurait pu être sévèrement menacée.

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    Par ici, la Grande histoire de Cushman Co.

  • Les bécanes futuristes de Zamak.

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    Après les bécanes avec et sans gommards du dernier Star Trek, nous récidivons dans la même veine futuriste avec les réalisations numériques de Zamak. En plus d’insuffler la vie mécanique à des droïdes aux formes de bulbes sur pattes, Zamak leur attribue des véhicules très bien modélisés. Le premier avec ses optiques caractéristiques, tient tout autant du XB-12 de chez Buell (plus le Firebolt que le Ulysse), que de la grosse multiprise sur roues. Le second à des allures de beignet frit, de donut, ou de poisson lune, au côté duquel pose son étrange pilote, sorte de calmar géant à la combarde zippée. Des bécanes aux physiques singuliers qui ont de quoi inspirer la convalescente MZ, mais aussi BMW avec ses modérément réussis F 800 R et K 1200 R. Et quand l’on voit ses dessins de voiture (en fait des trikes inversés plutôt) avec leur énormes monofourches, on se dit que ce dessinateur en garde sous le pied, et pourrait nous réserver quelques concept-bike avec des monobras superbes. Un site sur lequel on reviendra certainement… à l’avenir. Au sens strict du terme ce coup-ci.

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  • Motos et scooters, qui sont les plus gros rouleurs ?

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    Un peu las des récriminations de nos amis scooteux dans les fils de discussion (ici et ) qui reprochent aux "tarmo" de ne prendre l’air qu’à la belle saison, de rouler moins qu’eux, je suis tombé hier sur cet avis d’un pro du compteur (source Hors-série de la moto 2008 de Moto Revue). Un avis qui, au final, renvoie tout le monde dos-à-dos, et bat en brèche les idées reçues, notamment sur la fameuse barre des 10.000 km que nous franchirions annuellement. Un chiffre qui, à mon niveau et parmi les motards que je connais, m’a toujours surpris, et surtout paru fantaisiste. Ô évidemment, j’entends déjà ceux qui crient à l’évidence, dans nos rangs comme dans ceux des scootéristes, affirmant qu’ils n’ont jamais douté de cela, etc. Mais au moins, voici une opinion argumentée. Par Didier Granneau, le rédac’ en chef du mensuel professionnel L’officiel du Cycle, de la Moto et du Quad.

    "Chaque année nous réalisons une moyenne des kilométrages annoncés sur les machines mises en vente dans les petites annonces de la Centrale, et en moyenne, le résultat tourne autour de 6000 km par an. Seuls quelques irréductibles au guidon de leurs routières BMW, FJR (photo) et autres Pan European peuvent dépasser ce kilométrage, mais ils sont rares. Quelques gros scooters, parmi les deux roues, peuvent également dépasser la barre des 6000 km par an."

    Je ne dis pas que ces chiffres sont d’une parfaite exactitude puisqu’on se déleste de sa moto (parfois rapidement) et pour x raisons, mais ils auront le mérite de refroidir les prétentions des deux camps.

  • Piaggio MP3 400: interview de Philipe Monneret (featuring Franck Fubosc)

    Au cours de notre précédent tournage du making off d’auto moto avec Franck Dubosc, nous en avons profité pour discuter quelques minutes avec Philipe Monneret sur sa vision de ce tricycle, la formation nécéssaire et le débat autour de la conduite d’un scooter de 34cv avec un simple permis B.
    Franck Dubosc a insisté pour nous rajouter une petite contribution (suite de la note)  que nous avons finalement incluse car il est aussi de notre devoir de promouvoir la carrière de jeunes artistes. (Ne nous remercie pas Franck, c’est Noël c’est cadeau).

    Lire également: Franck Dubosc sur MP3 400

  • Album du vendredi, Bettie Page

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    Le monde des sports mécaniques lui doit une bonne partie de son atmosphère, que ce soit dans les paddocks de F1 ou de Moto GP et autres, sur les murs de garages ou les chambres d’ados, Bettie Page fut non seulement une inspiration pour tout le consumérisme du sexe, de la libération sexuelle des années 60 et même d’une certaine branche du féminisme, mais aussi de tout un imaginaire qui se perpétue encore.

    Bettie Page qui décédait la semaine dernière à l’âge de 85 ans fut dans les années 50 l’incarnation de la Pin Up. Les actrices plantureuses, mais tout de même prudes d’Hollywood ne pouvaient rivaliser avec son charme de «girl next door» prête à toutes les fantaisies.

    Sa consécration fut la page centrale de Playboy en 1955 (en Mère Noël rien de moins), ainsi qu’une convocation, sans suite, devant une commission sénatoriale sur la pornographie.

    Au sommet de la gloire, mais en en subissant la pression, elle se retira des affaires. Dépression, mariages ratés, violence, internement, les années 70 ne furent qu’une succession de mauvais rêves. Mais à la fin des années 80, l’image de Bettie Page redevint à la mode, lentement mais sûrement, et une décennie plus tard, Internet aidant, ce fut de nouveau l’apothéose. Mais c’était la Bettie des années 50 qui faisait toujours recette, la vielle dame demeurait secrète, voulant figer dans le temps une image d’elle-même qui était son seul beau souvenir.

    Non seulement sa superbe fit école, un film «The Notorious Bettie Page» en 2006 lui rendait hommage et la Jenny Blake (Betty dans la bédé) du Rocketeer n’était rien d’autre qu’une jeune Bettie, celle d’avant la frange. Frange aussi célèbre que le reste, reprise par Uma Thurman dans «Pulp Fiction», Sophie Marceau dans «La Disparue de Deauville» et quantité de starlettes reprenant l’allure et/ou la pose.

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  • BMW K1300S, vers un ménage à trois?

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    Difficile de déterminer une catégorie reine dans le monde de la moto, le téméraire risquerait d’y perdre des plumes avant d’en dénicher le roi de la jungle. Évidemment, c’est aussi une question d’allégeance, voire de tradition, mais on peut s’avancer et murmurer que les Suzuki Hayabusa et Kawasaki ZZR1400 sont dans une classe à part, offrant une puissance phénoménale dans un habillage de prêt à porter griffé.

    Voilà que BMW avec une refonte de sa K1200S, dû en partie à des problèmes d’admission qui minaient la série des K1200, s’invite au point d’eau avec la nouvelle K1300S. Une cylindrée de 1293 cm3 (4 cylindres en ligne, 4 soupapes par cylindre et double arbre à cames en tête), 175 ch. (d’accord, 106 pour les adeptes du bridage, qui, mécanique, raccourcit la rotation de la poignée), boîte 6 rapports et transmission par arbre à cardan, programmation de l’injection, révision de l’échappement, plus compact et à la sonorité plus ronde, réglage électronique des suspensions, Duolever à l’avant et monobras en alu. avec Paralever combiné à un monoamortisseur central à l’arrière, antipatinage (ASC) que l’on peut débrancher et l’ABS (permanent), carénage et ergonomie revue et corrigée, jantes de 17pouces, réservoir de 19 litres, 4 en réserve, sans oublier le «Shifter» en option pour monter les rapports du bout des doigts sans couper les gaz. Et, les fameuses commandes des clignotants (les commodos comme ils disent à Paris, surtout dans le 12e) qui passent l’arme à gauche, comme à peu près tout le monde maintenant, transition vers une ergonomie plus traditionnelle qui affectera toute la gamme BMW éventuellement.

    La BMW se veut donc un peu plus raffinée que ses rivales japonaises, jouant gagnante sur la tenue de route et le confort, mais certains aiment leurs monstres de nature caractérielle, ce qui laisse de belles opportunités pour un ménage à trois harmonieux… tant qu’elles ne s’affronteront pas.

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  • Quand Flavio Briatore juge son compatriote Valentino Rossi…

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    Flavio Briatore, directeur de Renault F1 Team, est tout autant connu pour son flair en affaires, que pour son management intraitable, notre Jean Alesi l’a ainsi tour à tour qualifié de requin et de personne malhonnête. Normal, me direz-vous, pour quelqu’un qui arborrait souvent une très distinguée dent de squale en pendentif. Sans parler de ses conquêtes féminines dont il pourrait très bien être le père, et à ce train là, bientôt le grand-père. A moins qu’elle ne soient tombées amoureuses de l’ombre tutellaire qui sied si bien à cet ancien moniteur de ski. Pourtant, en dehors de ses indéniables succès* en Formule 1 et du sex appeal que semble apporter un compte bancaire très bien fourni, il y a des domaines où Flavio fait figure dans le coeur de nos voisins transalpins, de bambino en culotte courte. Notamment dans les domaines du charisme et des résultats obtenus sur la piste. Pour quelqu’un qui n’aime pas partager son pré carré (les quatre roues), il y a fort à parier que le classieux homme aux lunettes aux verres bleus-violets solde quelques comptes dans cette récente interview. Consciemment ou pas. "Je ne lui donnerais pas de voiture" dit-il ainsi sans détour au quotidien Il Riformista.

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    La phrase est sans équivoque. Même si le tout est enveloppé d’une gangue d’inévitables compliments sur son statut actuel en MotoGP: "Il fait partie du monde des motos, là-bas il est sans égal et certains disent que le motoGP ne serait pas la moitié de ce qu’il est aujourd’hui sans lui". En résumé qu’il reste chez lui, il est très bien là où il est.

    On est en droit de douter de la sincérité de la remarque quand on voit le nombre de pilotes payants en Formule 1 dont les aptitudes sont douteuses, et le comportement actuel de Nelson Piquet Jr. Un fils à papa qui n’est là que pour plaire au marché Sud-américain et dont Briatore (Ô surprise) est le manager à titre personnel, un pilote qui n’a glané une seconde place (GP d’Allemagne) que grâce à l’intervention miraculeuse du safety car, véritable deus ex-machina.

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    Pourtant le pilote moto que l’on voit ici au Rallye Wales remporté par Sebastien Loeb, n’est pas du tout maladroit dans une voiture, si vous en doutez encore, lisez l’article "Au Wales, Rossi a fait l’unanimité", une épreuve qu’il terminera en douzième position il ya quelques jours de cela.

    Briatore même s’il doute des compétences (pourtant bien réelles) de Rossi au volant d’une F1, affirme sans rire qu’il est une rock star et que sa personnalité apporterait de la valeur ajoutée au Grand Cirque (surnom de la F1). Pour l’instant, sa présence dans un baquet de F1 s’évalue, comme nous l’avions dit, en terme d’image, et elle est au bénéfice de Fiat.

    Mais on ne peut pas dire que son compatriote voit en lui le futur John Surtees**. C’est dommage, car sans viser le titre de champion de la discipline, il y avait de quoi clouer le bec à Fernando Alonso.

    *sous sa direction, Benetton puis Renault ont remporté trois titres de constructeurs; sans oublier dans les pilotes, les pointures qu’il a fait signer dès le début, ou réussi à ramener au bercail.

    **le seul champion du monde en moto et Formule 1, sur Ferrari qui plus est, ce qui donnait aux tests de Rossi chez la firme de Modène cette saveur si particulière.

    crédits photos: Rossifumi et Daily mail.

  • Encore des panneaux sympas, mais à Lyon cette fois.

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    Après une ville britannique, c’est à Lyon que nous vous convions aujourd’hui pour regarder ces panneaux originaux, à travers un choix éminemment subjectif, et revendiqué comme tel, de 10 panneaux parmi les quelques 96 mis en ligne sur le site bopano. Je sais bien que l’interdiction est un sujet qui en inspire beaucoup, mais on peut vraiment regretter le faible nombre de panneaux d’obligation (un seul !) dans le lot. D’autant que dans un autre domaine, les priorités, il y avait matière à des créations originales; mais peut-être qu’il s’agit d’un choix délibéré ou imposé. Dans l’ensemble, je trouve que ce concept de "gallerie d’art sans les murs" est très réussi. Sur l’url proposée vous verrez également quelques photos de leur installation. Les emplacements rappelleront sans doute aux habitants de la troisième ville de France et lecteurs de LBM des lieux de vie ou de passage qu’ils connaissent déjà. Notez que malgré ces louables efforts, ni la capitale des Gaules, pas plus que la ville rose, n’ont été retenues pour être la capitale européenne de la culture 2013; puisque ce sont Marseille et Kosice qui ont recueilli les faveurs du jury.

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  • Des selles sur lesquelles on regrette presque de s’asseoir.

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    Remarqué sur Knucklebuster, voici les œuvres de David Theobald de l’Ohio. Sur son site, Dave explique qu’il est venu à la sellerie presque par accident, alors qu’il réalisait des couteaux et leurs étuis. Son fils impressionné par son travail  sur ces derniers, lui a demandé de réaliser les cuirs de sa nouvelle moto. Sa première "bavette" a donc été la reproduction du tatouage de son rejeton, en l’espèce, un roi de cœur. S’en est suivi son premier travail sur commande pour une bécane d’expo, un V twin, à Cincinnati. Depuis cette première réalisation commerciale passée il y a trois ans, il a réalisé plus de 200 selles. Pas surprenant que les deux qui sont présentées ici aient décroché le meilleur prix à l’International Federation of Leather Guilds Show en septembre dernier, qui se tenait justement à Columbus, dans "son" Buckeye state. Et puisque l’on parle de travail (extrêmement) soigné, c’est l’occasion pour nous de vous faire redécouvrir le pin striping de hot rods et de réservoirs de choppers, déjà montré chez le Blog Auto. Un grand frère auquel en passant on souhaite un joyeux anniversaire (quatre ans !).

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  • Franck Dubosc sur Piaggio MP3 4OO: le making off

    Pour ceux qui auraient raté AutoMoto ce week-end, Franck Dubosc était l’invité de Philippe Monneret (notre dernier blogueur en titre) pour essayer le Piaggo MP3 400 porte de la Muette à Paris sous une neige de saison. Le blog moto a répondu à l’invitaton de Philippe Monneret pour filmer le making off du tournage que nous vous livrons tel quel.

    Le tournage s’est passé dans une ambiance décontractée, entre le professionnalisme indéniable de l’équipe d’ automoto et les joutes verbales incessantes de nos deux comiques du jour qui n’en étaient, de toute évidence,  pas à leur première rencontre.

    Un grand merci à Philipe Monneret pour son invitation, à l’équipe d’automoto pour leur patience à chaque fois que nous étions dans le champ de la caméra et finalement à Franck Dubosc pour sa gentillesse et au temps qui l’a consacré en exclusivité à notre modeste blog.