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  • La solution au très dangereux silence des deux-roues électriques ?

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    Trouvé sur le Blog W3sh, avec un concept-bike que je vous présenterai dès demain, voici un dispositif  qui ressemblerait à des prises d’air de moto (pour ceux qui ont connu la petite sportive Triumph TT), s’il ne s’accrochait au guidon d’un vélo. Créé par le designer Coréen, Joseph Kim, qui a eu l’idée d’utiliser le vent lors des déplacements, il pourrait – dans son principe – remplacer le feulement de nos moteurs en tant qu’avertisseur sonore des véhicules électriques. Un silence que je reprochais déjà dans ces commentaires et que les aveugles (et avec eux tous les piétons et usagers de la route) risquent d’apprendre à leurs dépens dans un futur proche ou non, si ce n’est pas déjà fait.

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    Revenons rapidement sur le concept présent qui est d’une simplicité presque enfantine: le vent fait siffler les deux entrées d’air sur le guidon et à l’aide des poignées, le cycliste tourne l’entrée d’air, et produit ainsi des notes avec des sons différents.

    Certes il faut certainement une vitesse minimale pour qu’un son soit émis mais pourquoi ne pas imaginer un tel système fonctionnant sur les deux-roues électriques ? Le côté mélodieux en moins, le bruit salvateur (au sens strict) en plus.

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  • Premières photos de la V-Max 2009 et ressemblances-dissemblances.

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    Décidément avec le Deus Ex machina, l’entreprise aux diapasons est à la fête aujourd’hui. Cette bécane abritant un bouilleur V4 de près de deux litres, soit 2000cc, devait être présentée dans une semaine, mais nos voisins d’Outre-Manche chez MCN ont dégoté l’exclusivité, grâce à une fuite savamment orchestrée par la firme japonaise elle-même, sans doute. Vous pourrez juger, à l’aune de ces images empilées, des différences avec le modèle d’exposition tel que présenté aux salons de Paris, Bruxelles et bien évidemment Tokyo. Mais aussi la comparer avec l’ancienne V-Max. A signaler grâce à la vigilance d’un de nos lecteurs, Antoine, le concours Volumemax de Yam. Qu’il en soit remercié.

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  • Le concept Yamaha Deus Ex Machina de Jake Loniak.

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    Un signe (du pied) en remerciement à Gizmodo, blog pour geeks où nous sommes tombés sur cette combinaison entre un trike, un Segway, et un exosquelette motorisé. Cette chimère est issue de l’imagination fertile de Jake Loniak, étudiant au Centre d’Art de Pasadena en Californie. Le concept-bike appelé Deus Ex Machina est selon nos voisins, mû par des ultra-capaciteurs et dopé par des batteries au nano-phosphate (similaires à celles déjà utilisées dans les véhicules hybrides) et par 36 muscles pneumatiques, contrôlés par 2 canaux de moelle épinière parallèles qui courent le long de sept vertèbres artificielles. "Même le casque vient se fixer pneumatiquement." Bigre, moi qui croyais être blasé en concept-bike.

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    On croirait cet hybride directement sorti du manga Ghost In The Shell, ou d’un album de Spiderman avec le docteur Octopus. Un petit schéma, ci-dessus, pour comprendre l’accélération, et ses phases. Je citais en préambule des véhicules bien connus de nos lecteurs, mais il y a dans l’attitude du conducteur du Deus, un peu du pilote de deltaplane, notamment dans la position adoptée, comme "suspendue".

    Loniak nous promet un 0-60 mph en 3 secondes. On objectera que cela ne lui coûte rien de chronométrer un départ-arrêté en rêvant, les yeux fermés, de prendre place aux commandes virtuelles de sa création. Sa vitesse maximale serait de 120 km/h (le papier rose dans le portefeuille vous salue bien bas), et il serait doté d’une autonomie d’une heure pour 15 minutes de charge.

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  • Loi mini-motos: la FFMC entre approbation et critiques.

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    Selon une dépêche AFP datée d’hier après-midi, la Fédération française des Motards en Colère considère que le Parlement aurait pu "mieux faire" concernant l’adoption de la loi renforçant la législation sur la vente et l’utilisation des mini-motos (en fait la catégorie, comme on l’avait déjà noté, est vaste et englobe les pocket bikes, les dirt bikes comme sur cette photo, les pit bikes, les mini quads…). La FFMC reproche – ce que nous n’avions pas relevé lors de notre précédent commentaire plutôt bienveillant – le fait que l’utilisation de ces deux-roues devienne interdite sur un terrain privé, au mépris des libertés individuelles.

    Ce faisant, la Fédération constate que "Pression gouvernementale oblige, la vente des engins motorisés de loisirs semble désormais plus réglementée que celle de l’alcool ou du tabac*, mais c’est surtout leur utilisation qui est considérablement restreinte."

    Elle regrette aussi le manque d’écoute de certains intervenants aux débats. Rien d’étonnant, quand on connaît le climat et la célérité avec lesquels la loi a été adoptée; on faisait également remarquer l’incurie du législateur au sujet des motos, à part des cas – exceptionnels – de parlementaires bien informés, voire motards pratiquants.

    La FFMC donc "déplore que les amendements qu’elle avait formulés en concertation avec d’autres associations motocyclistes et syndicats de professionnels, afin d’améliorer cette loi, n’aient pas été pris en considération."

    *je me permets de vous ressortir la photo prémonitoire, il y a quelques mois, façon interdiction sur les paquets de cigarette, en plus soft, et la question, en titre, que l’on se posait déjà.

  • Qui pour le Mugello, Rossi ou Ducati?

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    Le cœur des Italiens doit battre de travers en prévision de ce week-end de course sur le circuit de Mugello!
    Qui choisir entre Valentino Rossi, 8 fois vainqueur toute catégorie confondue dont six (6) en Moto GP, et Ducati, l’équipe Championne du monde, mais toujours sans victoires aucunes malgré des pôles sur ce circuit rapide et technique?

    Vu d’ici, Rossi sur sa Fiat Yamaha M1 semble avoir une bonne longueur d’avance. Il est gonflé à bloc, il gagne de nouveau et mène le championnat.
    Par ailleurs, l’équipe Marlboro Ducati semble parfois à la peine malgré la victoire en ouverture de la campagne 2008.
    L’occasion serait pourtant belle pour Casey Stoner et Ducati de se remettre en selle, et d’envoyer un message clair au cabinet du médecin, comme quoi la santé va mieux.

    Et vous, qui voyez-vous sur le podium en Italie ce dimanche?

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  • Le Casque Race issu du partenariat Schumi-Schuberth.

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    Déjà sponsor et fournisseur du septuple champion du monde en Formule 1, la firme allemande continue l’expérience avec son compatriote dans sa nouvelle carrière. Ou occupation, loisir, hobby, violon d’Ingres, comme Fabien Barthez au volant mais en plus abouti, hé hé. A l’heure actuelle, Schuberth équipe d’ailleurs ses cadets dans la discipline reine de la vitesse (souveraine, du moins hors USA): Nick Heidfeld, Felipe Massa, Kimi Räikkönen et Mark Webber, ainsi que Monsieur Frère (surnom justifié de Lionel Froissart pour Ralf Schumacher, retraité de la F1).

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    Schubert assure que son casque aux couleurs très Katoche est très léger, aérodynamique (non, sans blague ?) et qu’il comporte de nombreuses innovations techniques (itou) mais ne communique pas son prix. Si je me souviens bien les Schub’ sont d’excellents casques (ce ne sont pas les seuls), mais quand même vraiment pas donnés. Je vous invite à consulter le site de l’autoblog pour découvrir le communiqué de presse – très consensuel et soporifique, je vous préviens – en Anglais du fabricant.

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  • Jeu de chaises musicales chez Harley et Honda France.

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    Un superbe blason de réservoir du centenaire pour introduire cet article, alors que la firme de Milwaukee fête ses 105 ans d’existence et que les directions du géant américain et du titan japonais sont sujettes à un joli turnover, ces constructeurs s’échangeant leurs cadres dirigeants. C’est ainsi que Jean-Louis Mars directeur général pendant cinq ans de Harley-Davidson France s’en est allé chez la firme à l’autre blason ailé, prendre la succession de Florent Lionet, parti en novembre de l’année dernière de la direction générale. Et c’est Gérard Staedelin (photo) qui le remplace. 

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    Ce passionné (on s’en doute) de moto de 42 ans a fait ses armes chez BMW France au service commercial, puis a occupé le poste de District Manager de Harley Davidson pour les marchés indépendants, et a continué sa progression au sein de la même entreprise en tant que Directeur Général de Harley Davidson et Buell Suisse, pendant quatre ans. Il assurera effectivement le job dès cet été.

    via motorevue

  • Un casque sur la tête

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    Depuis quelque temps, je jouais avec l’idée de changer de casque. Et comme ce n’était pas une nécessité, je regardais plutôt distraitement, rebuté par les design mis de l’avant par les fabricants.
    Je voulais bien un nouveau casque, mais pas trop bariolé, ni noir, comme c’est la mode actuellement.

    Et puis, il y a trois semaines environ, alors que je roulais en auto dans les embouteillages du soir, je me suis fait doubler par une jeune fille en scooter portant un casque rouge. Déjà qu’elle n’était pas la première, je n’y ai pas accordé trop d’attention, mais plus le trajet jusqu’à chez moi s’éternisant, plus le point rouge du casque de cette jeune fille devenait et demeurait un repère familier, malgré la distance de plus en plus grande entre elle et moi.

    Et c’est alors que j’ai eu cette épiphanie. Une des meilleures façons d’être vu, ce n’est pas la moto, pas notre veste, mais bien par le casque, lui qui dépasse d’une tête au milieu du chaos urbain dans lequel le motocycliste s’engouffre.
    Ce point rouge dans la grisaille de l’heure de pointe réclamait, de par sa seule couleur, sa place dans cet enfer de bitume. Et mieux encore, il la prenait.

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    Mon choix fut arrêté ce soir là, et après un essai en magasin d’une vingtaine de minutes pour m’assurer que le modèle voulu s’accommodait de ma tête sans trop de rejets, je passais la commande. Sa couleur est, comme la brochure le spécifie, rouge Monza.

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    Les casques représentés sont, de haut en bas et de gauche à droite:

    Laura Smith, Trendy
    Borsalino, Lapin tabac
    Caberg, Breeze ginger
    Roof, Bamboo
    Arai, Chaser jungle
    Shoei, Y-Sprint klyonari
    HJC, Junior CLX-4C
    X Lite, X-801 RR Agostini
    Santiago Choppers, Skull
    SOCOM, Mich
    Stormtroopers

  • Il y a du gaz dans ma turbine!

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    La mode des turbines à gaz sur les deux roues revient périodiquement faire son tour dans l’actualité, comme la saison des ouragans dans le Midwest américain, avec beaucoup de bruit et de fureur.

    Peu pratique pour tout ce qui roule en raison des variations importantes et rapides de poussées avec, à la clé, un faible rendement, environ 25% de l’énergie consommée, selon le modèle et la qualité de fabrication, la turbine se révèle plutôt inadaptée pour faire face aux embouteillages urbains.

    Par contre, elle donne tout un spectacle, et se retrouve donc tout naturellement sur les pistes d’accélérations.

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    Cela vaut pour la turbine utilisée telle quelle, mais un constructeur américain a harnaché une turbine d’hélico sur un châssis de moto sport. Et si les départs n’ont pas la foudroyante accélération d’une Hayabusa, un coup parti, ça va vite, très vite. Voir la vidéo ci-dessous.

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    Les modélistes avertis utilisent depuis longtemps la turbine pour propulser leurs maquettes d’avion à réaction, et rien n’empêche les plus aventureux d’en installer un sur leur vélo pour épater la galerie.

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    Les bricoleurs voudront fabriquer leur propre engin, et comme pour à peu près tout maintenant, le mode d’emploi se trouve aisément sur internet. Deux suggestions parmi plusieurs, une en anglais et l’autre en français.

  • Le concept-bike Suzuki Crosscage roule.

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    Nous vous avions longuement parlé* du Suzuki Crosscage lors du salon Tokyo Motor Show il y a quelques mois, restant perplexe quant à l’avenir de cette moto androïde, et nous demandant si cette bécane serait un jour produite. Suzuki et Intelligent Energy, le fabricant de piles à combustible ENV, ont travaillé d’arrache-pied pour la rendre viable, apparemment.  Au sujet de son apparence générale justement, elle a gardé les solutions techniques de la partie cycle du modèle original, telles que la monofourche et le monobras**. Mais son allure ressemble toujours à R2D2 qui vous tirerait la gueule.

    Il est aussi amusant de voir que les rétros sont directement importé d’un roadster moderne… des années 80. Concernant sa motorisation enfin, la selle se relève et se rabat sur le dosseret pour pouvoir remplir le réservoir d’hydrogène. Quant à ses optiques nous avions vu juste en pariant sur des LEDs.

    *rappelez-vous, on se demandait si le transport d’hydrogène n’était pas dangereux en cas d’accident.

    **regardez un peu où est placée la béquille d’atelier.

    via autobloggreen

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