«Ce qui au début n’était que le plaisir de rouler est maintenant devenu un petit miracle de paix intérieure. Qu’importe les conditions de la route, sous la pluie ou sur la neige, chaud, froid, rien ne peut empêcher un sourire d’apparaître sur mon visage».
Ainsi s’exprime Steve Williams, un photographe de Pennsylvanie qui semble avoir trouvé le bonheur mécanique.
Le désir initial était une Triumph Bonneville T100, mais un ami lui laissant sa Vespa pour un week-end, la contagion fut immédiate. Et pour un photographe, le scooter s’avère un moyen de transport idéal, car suffisamment versatile pour permettre à l’oeil du chasseur d’images la souplesse nécessaire pour ne rien rater.
Et la Vespa qui, au début n’était que véhicule, est devenue petit à petit un personnage, attirant vers lui le cadre. Alors, quand un paysage intéresse le photographe, il positionne la Vespa pour en tirer le meilleur effet, mais cela n’en demande pas moins un mélange d’heureux hasards et de poses soigneusement étudiées.
Ce qui n’empêche par Steve d’avoir certains desiderata comme capturer son scooter sous le ciel étoilé, de ceux où l’on peut voir la trace des étoiles de par la course de la terre.
Une raison pour plus de mettre «Vespa in the Sticks» dans ses signets.












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