Libération brosse un portrait de James Toseland en mélomane averti.

James_toseland_oulton_park_may_2007

Loin des attentes du public anglais pour son nouvel (et seul réel) espoir dans la catégorie reine depuis Barry Sheene, c’est un double champion de Superbike féru de musique sous différentes formes que dépeint Dino Dimeo pour le quotidien Libération. Que ce soit au clavier de son Steinway (photo) comme dans son groupe de rock maladroitement – ou malicieusement, c’est selon – rebaptisé Crash. Ironique pour un champion dont le dernier grand prix à domicile, couru à Donington pour nos frenchies de Tech 3, ne s’est pas déroulé sans fausse note (vidéo). Oui elle était facile à faire celle-là, mais c’était irrésistible.

James_toseland_piano

Pour celles et ceux, les anglophiles de préférence, qui veulent aller plus loin que cet article « Le piano mécanique », bien documenté et écrit mais parfois un peu convenu, voici un sujet encore plus copieux du Telegraph sur deux pages, d’où est d’ailleurs tiré cette photo: « James Toseland from grand prix to grand piano », mais ce papier est un peu moins récent lui (daté du mois de mars).

Commentaires

Une réponse à “Libération brosse un portrait de James Toseland en mélomane averti.”

  1. Avatar de Benoît du Blog
    Benoît du Blog

    Dans son style chambreur, The Soup taquine Toseland sur son image de musicos, dans un article paru avant-hier, en le comparant aux Boys band, très bon:
    http://www.superbikeplanet.com/2008/Jul/080709tc.htm

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