Catégorie : Ducati

  • Où l’on se fiche de la symbolique de la couleur rouge.

    Où l’on se fiche de la symbolique de la couleur rouge.

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    J'avais prévu de vous faire un petit speech sur la symbolique de la couleur rouge dans les sports méca, mais aussi en Asie (sensée porter chance, bonheur, ou je ne sais quoi en Chine). Mais j'ai rapidement abandonné l'exercice. Car plus que la rencontre entre une latine et une asiatique, c'est surtout un métissage entre une latine et une scandinave que nous avons devant nous, même si cela ne saute pas aux yeux. La partie cycle de cette Hypersport fait en effet la… part belle aux suédois d'Öhlins, dans la fourche, mais aussi l'amortisseur de direction, ainsi qu'à l'arrière entre cadre et monobras. Une 1098 S qui voit sa puissance conservée par rapport à la version de base, toujours 160 chevaux. Le tout est mis en scène et en image par Darren Chang et a été repéré sur le Motoblog italien. Les seuls éléments de couleur rouge que je retirerais volontiers de cette photo, en plus du bustier carmin de la demoiselle évidemment, ce sont les liserés de jante. Pour la jolie asiatique sur la selle, je vous laisse juge. En tout cas voilà un peu de changement dans l'accorte escorte ducatiste après nos pulpeuses amies anglaises.

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  • Fusion WSBK et Moto GP: 2+2 = 1 ?

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    La question se pose, et elle est posée par beaucoup de médias, alors pourquoi pas ici?
    Cette question demande si la fusion du WSBK et du Moto GP est une bonne idée ou pas?
    Je vous la pose, parce qu’après le succès sur piste et dans les gradins – hausse de l’assistance – en WSBK après ce week-end Australien, qui voit le nombre de ses concurrents presque doublés celui du Moto GP, de nouveaux constructeurs qui s’y lancent (Aprilia et BMW) alors que l’autre peau chagrine ses efforts (Kawasaki), et une compétitivité jouissive pour les spectateurs, il y en a qui risque de regarder par-dessus la clôture les petits rigolos qui ont plus de plaisir que les grands et en tirer les conclusions qui s’imposent.

    C’est la déprime, on rationalise, les Japonais n’ont jamais eu le moral si dévalué depuis des lustres, les banques européennes sont, semblent-elles, encore plus mal en point que les américaines, ce qui veut dire que le robinet à liquidité est plus souvent fermé qu’ouvert, ne demeure alors que l’essentiel, du pain et des jeux.
    Et les jeux sont ce qui nous intéresse ici, et la pression pour des jeux plus viables à tous les points de vue viendra sans aucun doute des quatre constructeurs Japonais. Ils n’ont certainement pas besoin de deux séries de prestige pour mousser leurs produits, surtout que c’est le même (Yamaha) qui s’impose dans les deux (le cas Ducati est différent, n’ayant pas la même pression du marché que les Japonais pour faire rouler ses activités).

    Un WSBK plus permissif donc, plutôt qu’un Moto GP bridé, car l’idée étant de vendre des motos le lundi au lendemain de la course, pas de faire l’étalage d’une technologie coûteuse qui laisse dans l’indifférence la majorité des amateurs. Ce seront toujours les exploits des pilotes qui feront rêver pas les prouesses des ingénieurs, aussi ingénieux soient-ils.
    Alors, croyez-vous à une unification Superbike et Moto GP?

  • Alors que Jennifer Walcott lave votre moto, Kaleigh Pearson l’assure.

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    J’ai du mal à comprendre ce qui nous vaut ces associations de babes avec des 749 ou 999, les modèles parmi les plus controversés de Pierre Terblanche, l’ancien directeur du design de Ducati, parti de la firme de Bologne en 2007 pour développer son propre studio. Non que je trouve ces sportives laides (j’avoue avoir un peu de mal avec ces têtes de fourches), mais simplement les roadsters de la marque sortis à la même époque ont à mon avis beaucoup plus de présence avec leur ligne, leur rutilante mécanique et leur tripes à l’air. A moins que ce ne soit pour mettre en valeur les mannequins et it girls qui les accompagnent. Evidemment. Cela tombe bien, car Kaleigh Pearson a des arguments à revendre. Celle qui continue à poser pour le magazine FHM a même poussé la chansonette avec un certain succès, vu les places qu’elle a atteint dans les charts. Un second coup d’oeil à sa bio montre que Bath ne sera plus seulement connu pour fournir un très sérieux adversaire à nos clubs de rugby hexagonaux. Le site Hollywood Lingeries où j’ai trouvé ces quelques photos les présente comme issues du calendrier 2009 de la belle de 23 ans. Mouais, j’en doute. Pourquoi une pub pour un assureur sur son petit top alors ? Pourquoi aussi ne pas la faire poser aux côtés d’une sportive actuelle genre 848 ? Comme avec trois photos, cela aurait été un peu chiche, je vous ai trouvé sur le même site des images de la playmate Jennifer Walcott sur son cross Kawa sponsorisé par Monser Energy, datées d’il y a deux ans. Blonde et châtain.

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  • Un vice-champion entre grosses inquiétudes et maigres satisfactions.

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    J’ai failli intituler l’article "Stoner, un dauphin entre deux eaux", mais vous pouvez remercier mes scrupules de vous avoir épargné ce jeux de mots foireux, et ce, malgré son accessit au championnat 2008. L’australien déclare sur Autosport qu’il aura des raisons d’être sérieusement inquiet pour sa saison 2009 s’il continue à se battre avec sa douleur au poignet lors des essais au Qatar, le mois prochain. Et espère, sans trop y croire, que sa condition physique se sera améliorée d’ici le premier mars, jour auquel reprennent les tests à Losail. Un circuit qu’il connaît et apprécie, pour y avoir déjà gagné, sous les projecteurs. Il déclare à Motosprint que "trois mois sont passés et mon poignet n’a que peu de mobilité et me fait mal. Pour tout vous dire, je n’aime la façon dont cela se passe." Malgré son détachement, il finit par renchérir: "Je vais essayer de ne pas y penser jusqu’au Qatar, puis nous verrons. Si mon état ne s’est pas amélioré d’ici Losail, cela signifie que je dois m’en faire". Bien que jeune sur le plateau, il ne peut s’empêcher d’établir un parallèle avec sa précédente intervention: "J’avais déjà eu une opération à cette articulation, et après deux semaines, j’allais déjà bien". Malgré cette douleur chronique, Stoner a réussi à être le plus rapide des pilotes, pendant deux jours, sur les trois que comptaient les essais en Malaisie. Mais il ne se leurre pas.

    Ces chronos ont en effet été réalisés lors de runs courts, rien à voir avec une séance d’essai précédant un grand prix.

    Ce qui ne l’empêche pas d’être étonné par ses résultats sur la feuille des temps. Il donne en passant les solutions (des pis-aller) qu’il a adopté pour remédier à sa méforme. Des solutions qui passent par l’adoption de postures différentes sur la GP9: "J’essaie de m’adapter, de modifier la façon dont je m’assieds sur la moto, je fais quelques mouvements pour compenser le fait que mon poignet bouge à peine, et plus que tout, tout cela me fait mal lors des freinages".

    Et il conclut "Je trouve irréel d’arriver à être si rapide, car la situation est pire que celle à laquelle que je m’attendais. Je ne m’attendais pas être super bien, mais pas aussi mal non plus."

    Crédit photo Robert Gilhooly, Casey Stoner et sa femme Adriana Tuchyna en 2007.

    Via Motosprint et Autosport.

  • World Superbike 2009, qui sera chef de meute?

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    Photos Pablo Gutiérrez

    La saison de course s’amorcera bientôt avec le WSBK en Australie dans 2 semaines.
    Espérons que la nature se sera calmée après des semaines de canicules, feux de brousse anéantissant des villages entiers, et des inondations, et que les Australiens voudront avoir le cœur à la fête.
    Parce que pour une fête, ça devrait en être une. Le WSBK édition 2009 s’annonce comme la série la plus relevée, autant côté machines que pilotes. Le seul regret que l’on puisse exprimer est l’absence de Troy Bayliss, mais son retrait permettra sans doute à certains jeunes loups de se faire les dents et espérer devenir le nouveau chef de meute.

    Parlant de jeunes loups, des écuries de pointe en alignent, dont Ducati Xerox avec Michel Fabrizio qui voit l’année 2009 comme une chance unique de s’imposer. Malheureusement pour lui, son coéquipier n’est nul autre que Noriyuki Haga, qui ne voudra pas s’en laisser imposer. Haga est sans aucun doute le plus sérieux prétendant au titre, surtout que les autres pointures, Corser et Biaggi vont devoir se contenter de s’amuser en milieu de peloton aux guidons de leurs nouvelles BMW et Aprilia.

    Autre jeune loup à surveiller est l’américain Ben Spies chez Yanaha World Superbike. Nouveau venu, non seulement dans la série, mais sur le continent, il devra composer avec l’apprentissage des circuits et des mentalités. On pourra tout de même compter sur un rythme d’enfer de la part du triple champion en AMA Superbike. Et si ses prestations lors des essais pré saison sont garants de ce qu’il nous réserve lors des différentes manches, il sera, à n’en pas douter, l’un des prétendants au titre.
    Il peut paraître présomptueux de si bien placer Spies dans la course au titre, alors qu’il n’a pas encore disputé une seule manche en WSBK, mais si Bayliss l’y voit au côté de Haga, qui sommes-nous pour en contester les conclusions?

    Chez les indépendants, Shane Byrne sur sa Ducati 1098RS a très bien fait lors des derniers essais fin janvier au Portugal, malgré ou peut être grâce, à une météo capricieuse, mais cela confirme la belle forme des Ducati.

    Vivement le mois de mars, et heureusement pour nous, nous ne sommes pas dans une année bissextile.

    Corser
    Troy Corser – BMW Motorrad Team Alpha Racing

    Spies
    Ben Spies – Yamaha World Superbike

    Byrne
    Shane Byrne – Ducati 1098R Sterilgarda

    Biaggi
    Max Biaggi – Aprilia Racing

    Fabrizio
    Michel Fabrizio – Ducati Xerox Team

    Haga
    Noriyuki Haga – Ducati Xerox Team

  • Aprilia Dorsoduro vs Ducati Hypermotard

    Motarduo

    Nous n’avons plus les Supermoto que l’on avait, ils se démocratisent et deviennent de purs objets de désir (et de plaisir).
    Remercions monsieur Terrblanche et sa volonté de maximiser la plateforme du Multistrada en en extrayant l’Hypermotard. Ils sont les Adam et Eve du catalogue Ducati, l’un né de la côte de l’autre, littéralement puisqu’il en reprend le cadre.

    L’Hypermotard à ouvert l’espace urbain à un type de motos qui s’y sentaient un peu mal à l’aise, il lui manquait le beau linge et quelques muscles en dessous pour y briller et faire bonne impression.
    Il suffit d’un peu d’expérience et le trafic est à nous, rétros escamotés, parce que c’est devant que ça se passe, on se faufile en puissance et en agilité.

    Aprilia qui n’a plus besoin de faire ses preuves en Supermoto s’insère dans le sillage de l’Hypermotard avec le Dorsoduro. Même allure ravageuse, quoiqu’un peu moins intimidante que le Ducati, c’est sa mère qui l’habille, même hauteur de selle, même inconfort à la longue, siège trop étroit, et trop dur (ben oui, je suis douillet, mais le confort fait aussi parti du plaisir de rouler), même capacité limitée du réservoir qui tourne autour des 13 litres, mais même délectation dès que l’on tord la manette des gaz.
    Le Dorsoduro n’est qu’un 750cm3, mais qui s’en souci, c’est bien suffisant, surtout combiné aux 3 modes de calibration du moteur, R pour la chaussée mouillée, T pour touring et S pour sport, le plus nerveux du groupe.

    L’Hypermotard et le Dorsoduro sont des champions de la maniabilité, même à basse vitesse, car extrêmement bien équilibré. La position de conduite avancée permet une répartition des masses presque à l’identique sur les deux roues, assurant une réponse sans équivoque en virage, même les plus serrés. C’est d’ailleurs le principal péril de ces petites machines, car elles reculent les limites, repoussant notre zone de confort et prédisposant à des excès qui peuvent s’avérer fâcheux. Et puisque le freinage est exemplaire sur ces machines, espérons qu’il saura nous tirer de l’embarras d’un surplus d’adrénaline.

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  • Complainte pour des jours meilleurs, suite et fin

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    La famille Sportsters

    Les temps sont durs, on est tous frileux, on ne prend plus de chances parce qu’il n’y a plus place à l’erreur, et la règle numéro 1 de l’innovation, c’est le droit à l’erreur.
    Ce droit n’existe plus, car il est assorti d’une condamnation à mort. Un produit qui ne trouve pas preneur est un produit inutile, de la valeur négative qui de nos jours ne peut plus être supportée par une valeur positive, car même cette dernière peine à s’y maintenir.

    L’autre jour, ma première complainte était un plaidoyer pour l’innovation, mais c’était le point de vue du motard, qui veut boire autre chose que de l’eau plate (savez, un minimum de bulles), et qu’importe la forme de la bouteille, le contenu demeure inodore, incolore, donc franchement ennuyeux, mais va falloir s’y faire.

    Terminé l’époque des Tamburini, Terreblanche, JT Nesbitt? Terminé l’époque d’une vérité, bienvenue dans l’ère de La vérité, puisqu’elle émerge du consensus d’une multitude de voix. C’est le design participatif qui nous donne ce que l’on demande, une demande diluée certes, comme tout ce qui émerge d’un consensus, mais comment pourrait-on être contre ce que l’on désire?

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    On ne créé plus, on recréé, variation sur un même thème, une plateforme, de multiples itérations. Plusieurs s’excitaient à l’annonce, l’année dernière, par Ducati de plusieurs nouveaux modèles, alors qu’en fait, une même moto va se voir offrir une garde-robe diversifiée, d’où la multiplication de l’offre.
    C’est l’école Harley-Davidson qui divise sa production en famille, Sportster, Softail, Touring, etc. et on brode autour du noyau de base. D’année en année, on transforme, on améliore, rabote les irritants, c’est meilleur et moins cher, nouveau (sic) et amélioré, dans de truculentes saveurs populaires.
    C’est le changement dans la continuité, pas de vagues surtout, pour ne pas briser le lien émotif, le sentiment d’appartenance, qui s’est créé entre l’usager et le produit.

    Mais innover, c’est être émotif, alors que transformer, c’est être rationnel, le premier poursuit un rêve pendant que l’autre tente de tuer le temps entre 9 et 5.
    Pourtant, la vie est transformation. Notre vie, de la naissance à la mort est une continuelle transformation, mais qui chemine le long d’un arc qui atteint rapidement un pic, physiologiquement parlant, c’est vers les 15, 16 ans chez l’humain (j’y vais de mémoire), et ce pic appartient aussi au monde des objets.
    On aura beau transformer ma moto préférée selon mes désirs, la limite sera vite atteinte. D’abord parce que mes désirs changent, se transforme, quand ce n’en n’est pas des nouveaux entièrement (eh! les rêves sont gratuits, pourquoi se priverait-on d’innover en cette matière?), et que la lassitude de l’usuel finira bien par prendre le dessus.

    Parce qu’il y a une limite à la transformation simpliste que l’on nous afflige en ce moment, c’est ce pic, qui une fois atteint, est condamné, soit à disparaître pour en figer l’image, devenant figure de musée, ou à dépérir.
    Innover, c’est Madonna, transformer, c’est Britney Spears, c’est Sid Vicious par rapport à Boy George, c’est le iPod versus le Zune.
    Transformer, c’est le système Windows de votre PC, toujours le même depuis le début, on rafraîchit juste le crémage en couches supplémentaires.
    Innover, c’est trouver une solution inédite à un problème. Une moto, pour un constructeur, c’est un problème. Il peut transformer, améliorer ses freins à tambour, ou innover et arriver avec des freins à disques. On ne fera pas le tour de la moto, mais vous voyez le portrait.

    Aujourd’hui, et c’est l’époque qui veut ça semble-t-il, on investit dans la nostalgie, on fouille dans son passé pour le réinterpréter, ne proposant de neuf que le logo. On est frileux alors qu’il faudrait être frivole, qui osera alors se jeter à l’eau pour aller pêcher la perle qui brille au fond?

  • Casey Stoner nous réjouit en battant Felipe Massa en kart sur glace.

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    C’est dans l’avant-dernier des 25 tours que Casey Stoner (photo) prit le meilleur sur Felipe Massa lors de la course de karting clôturant la retraite au ski de Ferrari et Ducati à Madonna di Campiglio, ou "Wroom", confirmant nos remarques sur l’adaptabilité des motards aux quatre roues. Non, on lâche pas l’affaire, Michael Schumacher constituant l’exception qui confirme la règle. En l’absence de Kimi Räikkönen, sur le départ à cause d’une affection aux amygdales, leurs adversaires étaient Luca Badoer pilote d’essai de Ferrari, Nicky Hayden récent pilote titulaire de Ducati en MotoGP, et Vittoriano Guareschi, pilote d’essai Ducati. Était invité pour pallier le départ du Finlandais le frère cadet de Felipe, Eduardo Massa. Marc Gene, le deuxième pilote d’essai de la Scuderia, n’était pas présent à Madonna di Campiglio pour cette course. L’espagnol effectuait au Vairano des essais au volant de la F60, mais ceux-ci ont été annulés en raison du mauvais temps. Pour l’histoire, l’ordre d’arrivée de ces boucles sur glace est le suivant: Stoner, Felipe, Luca, Nicky, Vittoriano, Eduardo. D’autres images dans la suite, en commençant par l’Américain, champion du monde 2006, puis le Brésilien et vice-champion du monde de F1 2008, encore devant l’Australien lors de ces photos.

    crédit photos: Reuters Pictures.

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  • Nous pardonnerez-vous de parler à nouveau d’une Ducati ?

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    Aperçu sur le blog La Tourte, coutumier de ce genre de séances photo sexy, voici, voici… voici une Ducati 999, dans ce topic paru en ligne le 9 janvier dernier sur leur site. Oui concentrez vous bien, et vous pourrez apercevoir une Superbike de la marque de Bologne, à côté de ces accortes hôtesses Lucy Pinder et Michelle Marsh habituées au "pages trois" des tabloids d’Outre-Manche, ainsi qu’aux magazines de charme du type FHM, Loaded, Maxim et consorts. Pour la promo du site inscrit sur leur petit top tout blanc, impossible de trouver quoi que ce soit à l’url indiquée, Riskology.co.uk. Ce n’est pas une grosse perte, sans mauvais jeu de mot. En espérant être pardonnés pour vous bassiner avec les Ducat’ en ce moment. D’autant qu’on vous épargne toutes les considérations d’usage sur le twin en L de 136 canassons (vu ces ouïes sur la tête de fourche, on a à faire au modèle 2003-2004 de la 999), pour vous laisser uniquement contempler les carénages.

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  • Album du vendredi, Borgo Panigale hier encore

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    Vous l’avez peut-être vu, sinon la voilà, cette image du supposé nouveau Multistrada, floue, une photo où on voit rien, comme une fille de dos qui s’cache les fesses avec les mains!?
    On peut comprendre que l’idée est excitante, une toute nouvelle machine, cette mal-aimée de la gamme dont le profil ne lui est pas avantageux, mais qui sait se faire pardonner à l’usage.

    Mais c’est leur destiné à toutes, on n’arrête pas le progrès comme ils disent, et un jour, ils l’auront leur moto volante, mais en attendant, un petit retour en arrière et en image sur la production de la marque de Borgo Panigale.

    Images du photographe Australien Phil Aynsley

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    En chanson, la métaphore de la fille qui se cache les fesses.