Catégorie : Vidéos

  • Vidéo de la Red Bull Knock Out remportée par Steve Ramon.

     

    Une vidéo de la sauvage troisième Red Bull Knock Out qui se déroulait à Scheveningen, il y a un peu plus d’une semaine. Cette sorte d’Enduro du Touquet en terres bataves, a vu le pilote officiel Suzuki Teka, Steve Ramon, l’emporter dans les derniers tours devant Arnaud Demeester, à 47 secondes du vainqueur, et Johan Boonen. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a eu un sacré écrémage dans les rangs, mais qui s’en étonnera, puisque sur 605 pilotes au départ, 102 seulement franchiront la ligne d’arrivée. Parmi les déceptions, Marc de Reuver, Timoteï Potisek et David Knight ont dû abandonner sur panne mécanique. A noter que Potisek s’est bien refait depuis, puisqu’il a remporté la Ronde des Sables à Loon-Plage pas plus tard qu’hier, devant… Steve Ramon. Nous y reviendrons dans un autre article.

  • Des bécanes avec et sans roues pour le dernier Star Trek.


    Star Trek XI : Bande-Annonce  [VF]

    Voici le tout dernier Star Trek, le onzième du nom, avec J.J. Abrams aux commandes, le fils prodige et prodigue, scénariste, producteur et réalisateur des séries Alias et Lost. Le synopsis de cet épisode qui sortira chez nous le 6 mai prochain, raconte la rencontre entre James T.Kirk et Spock, et les suit dans leur toute première aventure. Le (demi) Vulcain est joué par Zachary Quinto, alias Silar, le découpeur de boites crâniennes dans la série Heroes. Pour ce qui nous concerne, le film fait la part belle aux guidons, du moins dans sa bande annonce. La mise en bouche commence immédiatement avec une course poursuite (encore une !) entre une Corvette Stingray des années soixante et une moto du type JetBike de la Guerre des Etoiles, la nouvelle majeure étant que les policiers auront définitivement abandonné leur BMW baleines et cachalot dans un avenir proche. La seconde bécane, beaucoup plus classique, est une belle sportive inconnue, équipée de curieux protèges-mains, pour lui donner une apparence futuriste sans doute. Pour les intégristes de la V.O (dont je suis), le trailer en Anglais est ici.

  • Le Canada en Ducati Multistrada

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    Traverser un pays a mari usque ad mare (d’un océan à l’autre) demande non seulement du temps (peut-être pas tant que ça pour le Luxembourg, mais vous voyez l’image), mais aussi de la préparation, autant physique que psychologique et spirituelle.
    C’est pourquoi novembre et décembre sont des mois propices à l’élaboration d’un tel périple, avec comme point de mire un printemps bourlingueur.

    On ne m’en voudra pas de pontifier pour mon royaume et de recommander à nouveau ce livre sur le Québec pour motards, et de vous invitez à lire, regarder et écouter deux récits qui s’avancent à coup de milliers de kilomètres.

    Le premier est celui de Gary Eagan qui traversa le Canada d’ouest en est, de Vancouver en Colombie-Britannique jusqu’à Halifax en Nouvelle-Écosse en 51 heures et 4 minutes au guidon d’une Ducati Multistrada 1100S en septembre 2006, soit 6000 km. Bien peu en fait pour celui qui deux ans auparavant, toujours au guidon d’une Multistrada, avait, en 101 heures, parcouru la distance entre Prudhoe Bay en Alaska et Key West en Floride.
    Ce n’est sans doute pas l’idéal du touriste moyen, mais c’est créateur d’opportunité pour d’intéressantes histoires.

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    L’autre aventurier est Neil Johnston, toujours en Multistrada, qui a parcouru cet automne l’est du Canada à partir de Toronto. Pas de record de vitesse cette fois-ci, mais un regard curieux et ouvert sur ce coin d’Amérique.

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    Pour qui a un après-midi de pluie à liquider par le rêve des grands espaces canadien, ces deux rendez-vous (en anglais) devraient faire l’affaire.

  • Se rincer l’œil devant la combinaison et le casque parfaits.


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    Attention, avertissement: que celles et ceux qui s’attendent à voir une combinaison et un casque aux couleurs bigarrées qu’ils pourront étrenner au Ledenon ou au Sequestre passent leur chemin. Cette vidéo n’est qu’un prétexte pour se rincer l’œil à peu de frais devant les courbes d’une jeune femme et sur une musique très inspirée par Testarossa Autodrive de Kavinsky. Mais ne vous inquiétez pas, on reste dans le domaine des protections, la combarde et l’intégral élaborés devant vos mirettes ébaubies sont le dernier cri en la matière, à n’en pas douter. Pour les fans de la magnifique vacuité de Mare Street et de nos pépés carrossées, voici le sujet ultime qui réussit à unir les deux. Que ces lecteurs-là restent donc avec nous, ils ne le regretteront pas. Via l’excellent Mikropikol.

  • Mutt Jones, The Wild One

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    Visionnant dimanche soir dans le confort de mon foyer, le chat sur les genoux, le dernier Indiana Jones, j’ai été frappé, malgré les images largement diffusées, les pubs à la télé, la bande annonce en glorieux HD sur le web, par la référence directe à Marlon Brando et le film «The Wild One», dans l’apparence et le style du personnage interprété par Shia Lebeouf.

    Ce n’est pas la découverte du siècle, surtout que c’est revendiqué par les auteurs, The Wild One étant un des films suggérés comme exploration pour le personnage du fils Jones (j’espère ne pas vendre la mèche pour personne).

    Mais comme le cinéma n’invente rien, il se contente, au mieux, de réinterpréter, ce style était celui de la rue, celui que les motards américains de l’époque portaient tous les jours, pour se protéger, un peu, surtout le cuir, alors que la casquette, c’était le l’allure à la mode, l’étendard d’une façon de vivre, et pour le degré de protection qu’elle apportait, une façon de mourir aussi.

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    Images via «The Vintagent»

  • Sur les radars automatiques

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    En 2003 les premiers radars fixes étaient installés dans une certaine incrédulité quant à leur résultat. Ils sont aujourd’hui plus de 2.000, fixes et mobiles et depuis 5 ans 25.604.234 PV ont été envoyés… Toutes ces contraventions ont certainement participé à réduire le nombre d’accident sur les routes mais elles ont aussi couté très cher aux français.

    Les danois, souvent très créatifs, avaient expérimenté il y a quelque mois une solution alternative pour faire baisser la vitesse sur les routes. Comme en atteste la vidéo dans la suite de cette note, leur méthode conjugait efficacité et ….. convivialité.



    Du coté français cette solution n’est pas envisagée et nous aurons droit l’année prochaine à de nouvelles machines automatiques enregistrant le non respect des feux rouges et des interdistances de sécurité…

    Source AFP et vidéo vue chez lebloguidon

  • Album du vendredi, Kodachrome

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    Les souvenirs des années 60 à 80 ont la couleur du Kodachrome. Cette pellicule photographique inventée au début des années 30 pour le cinéma par Leopold Godowsky et Leopold Mannes, surnommés dans certains milieux «God & Man», révolutionnera la façon dont la représentation du monde nous est offerte.

    Son rendu si typique, chaud et précis, plus beau que nature quand l’œil du photographe et les conditions de prise de vue sont optimales, en feront une icône incontestée pendant près de 75 ans.

    Aujourd’hui, sa survie est menacée par le virage numérique, et la Eastman Kodak qui ne produit plus que sporadiquement le kodachrome 64, reste muette quant à son avenir. Avec un seul laboratoire assurant le développement de cette pellicule, Dwayne’s Photo au Kansas, et ce, pour le monde entier (le dernier labo européen a fermé ses portes en 2006), une autre page d’histoire va bientôt se tourner.

    Le petit garçon en passager sur l’image en en-tête, maintenant grand, a publié sur Flickr toute une série d’images prise par son père et ses amis lors de virées en motos.

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    Simon & Garfunkel – Kodachrome

  • Pour ‘Bolt’, Disney met les motos à l’honneur face à ses héros.

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    Voici un superbe extrait de "Bolt" qui sortira le 21 novembre aux USA et le 4 février de l’année prochaine en France, sous le titre à peine corrigé de "Volt". Sur une trame très enfantine, il raconte l’histoire d’un chien qui a vécu sur les plateaux de télévision, et a toujours cru qu’il avait des supers-pouvoirs. Sa rencontre avec un chat et un hamster devrait lui faire prendre conscience de la dure réalité de la vie. Dans la version originale, John Travolta et Miley Cyrus prêtent aux deux personnages principaux leur voix. En espérant que ces dernières ne soit pas gâchées comme souvent par une adaptation française bâclée (vive la V.O sous-titrée !). Mais c’est également l’occasion pour nous de profiter de cette séquence avec des bécanes à hubless wheels (des roues sans moyeu) s’il vous plaît, qui motorisent les méchants (arf) face à un gamin en… trottinette à moteur. Et on en prend plein les mirettes. Même si ce film d’animation n’est pas conçu par le célèbre studio californien spécialisé dans les images de synthèse, la nouvelle influence de Pixar sur Disney a du bon. Via l’excellent blog de Denis Allal, digitalthink.

  • Album du vendredi, Rouge Ferrari

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    Incroyable tout de même cette presque abondance de motos Ferrari, alors qu’Enzo Ferrari ne s’y attarda jamais. Les autres, visiblement, le firent pour lui.

    À ma connaissance, les premiers à s’y mettre, au début des années 50, furent les frères Ferrari, sans aucune relation avec Enzo sinon le même non de famille. Ce sera suffisant pour passer à l’histoire avec de petites machines de 125 et 250cm3. Le moteur était une copie d’un Parilla où l’un des deux frères avait déjà travaillé, et pour être certains de ne pas passer inaperçus, on les peignit de ce rouge si particulier avec le nom Ferrari  sur le réservoir et le moteur.

    Par contre, s’il y a une moto Ferrari avec une certaine légitimité, c’est celle de Kay Engineering qui dans les années 70, avec la bénédiction du saint des saints, proposa un 4 cylindres de 900cm3.

    Pour le reste, il faudra se contenter d’amateur, dans le sens de «qui aime», pour se mettre sous la dent, soit des projets à base moteur Ferrari, ou tout simplement un habillage rouge vaguement inspiré d’un modèle Ferrari.

    Le dernier en date est l’oeuvre virtuelle, mais aboutit, du designer israélien Amir Glinik. Le moteur est une trache du V12 d’une Enzo ramenée à 4 cylindres installés dans une cage d’alu rappelant la forme tubulaire des cadres classiques de Ferrari. Un écran tactile relié à l’ordinateur de bord fait office de poste de commande.

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