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  • Album du vendredi, Quand la mode était aux Mods

    Logo Après les Rockers et leurs Café Racers, il était normal d’en venir à cet autre groupe qui partagea l’imaginaire collectif britannique du début des années 60.
    Les Mods furent, pendant les brèves années où le mouvement occupera le devant de la scène, de 1958 à 1965 environs, la toute première génération de l’après-guerre qui exprimera avec panache les aspirations et exaspérations d’une jeunesse enfin libre du carcan social.

    Issus de la classe ouvrière et de sa petite bourgeoisie, les Mods avaient leur triumvirat de prédilection, soit la mode, la musique et les amphétamines, pour passer à travers le week-end. Comme pour les Rockers qui passaient d’un café à l’autre en moto, les Mods eurent rapidement besoin d’un moyen de locomotion, pour passer d’une boîte de nuit à l’autre et pour courir les boutiques de disques et de vêtements. Le scooter s’avéra donc la machine de choix, y retrouvant dans ses lignes sobres et élégantes, l’allure moderne si prisée, sans parler de son pedigree italien.

    Développé par l’ingénieur Corradino D’Ascanio, le scooter tel qu’il est devenu chez Piaggo, fut d’abord pensé pour le Lambretta, mais un désaccord sur la nature du cadre qu’Innocenti voulait en tube d’acier pour utiliser les excédents de ses autres activités, verra les idées D’Ascanio profiter à la Vespa.
    Trouvant les motos conventionnelles inconfortables, salissantes et difficiles à entretenir, D’Ascanio développera des solutions pour venir à bout de ces irritants. Pour éliminer la chaîne, il installera le moteur directement sur la roue arrière, les changements de vitesse directement au guidon, et la position de conduite se verra démocratisée pour permettre à quiconque, même les filles en jupes, d’enfourcher l’engin sans compromettre sa dignité en créant un vide entre le tablier avant et le siège.

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    Les Mods adopteront donc le scooter, avec une prédilection pour le Lambretta. Plus qu’un véhicule, il sera un accessoire de mode au même titre que leurs vêtements. Surtout reconnu pour l’abondance de rétroviseurs et de phares, la légende veut que ce soit à la suite de l’adoption d’une nouvelle réglementation obligeant toutes motos à avoir au moins un rétroviseur. Il me plaît de croire que c’est le «au moins un» qui déclencha cette débauche visuelle, un sain réflexe ironique envers l’autorité prise à défaut sur son revers. Cette jeunesse tout à coup voyante et parfois bruyante prenant la rue était une curiosité à cette époque, et les médias avides de nouveautés y verront un beau sujet de scandale. La rivalité entre bandes et groupes rivaux, bien que monnaie courante, semble plutôt banale par nos standards actuels. Et les accrochages entre Rockers et Mods décrits à grand renfort d’onomatopées par les commentateurs étaient exagérés. N’empêche, ce n’était pas l’amour fou entre les deux groupes aux aspirations opposées. Et les épithètes utilisées de part et d’autre pour se désigner sont tellement savoureuses, qu’il faut conserver l’anglais pour en apprécier toute la juteuse acidité. Pour les Rockers, les Mods n’étaient que des «effeminate nancies», «cissified», «stuckup», «dressed up», «weedy». Et pour les Mods le groupe d’en face n’était que «greasy», «scruffy», «uncouth», «out of date louts», «layabouts».

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    Mais si les Rockers ont inventé un type de machine inédit, le café Racer, l’influence des Mods sur les deux roues sera plus discrète, si je peux me permettre. Seuls les amoureux du style Mod’s se permettent aujourd’hui de faire de leurs scooters d’époques, un arbre de Noël. Cela tient plus de la citation que de l’innovation.
    C’est plutôt musicalement que leur influence sera marquante, influence encore palpable aujourd’hui avec l’émergence des Amy Whinehouse, Adele, Duffy et The Last Shadow Puppets.
    Au cinéma, on ne peut passer à côté du Quadrophenia des Who, des deux films de Francis Ford Coppola adapté des romans de S. E. Hinton, «Outsiders» et «Rumble Fish», et «Absolute Beginners», autre adaptation à l’écran d’un roman, celui de Colin MacInnes.

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  • Comme la corde soutient le pendu, dit la sagesse populaire.

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    Les compagnies pétrolières vous soutiennent comme la corde soutient le pendu: c’est peut être la sensation, à tort ou à raison, que vous avez en ce moment. Si c’est effectivement votre cas, pourquoi ne pas vous offrir ce Tshirt que nos voisins de w3sh présentent sur leur blog, des voisins de la blogosphère chez qui nous (mais pas seulement) avons eu une discussion très animée récemment. Ce tee est vendu à 26 dollars le baril… non je plaisante, je reprends: il est vendu à 26 $ l’unité sur le site de Robust Flavor. Il est également disponible en noir, couleur de cet or qui se raréfie, et sur lequel aussi on spécule. Ce nœud coulant est une façon comme une autre de montrer à vos ami(e)s et proches que contrairement à une croyance tenace, la hausse des prix du carburant touche durement le motard. Aussi.

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  • Ce motard indien est beaucoup plus relax que vous sur votre chopper.

    A la remorque de Jacques, poursuivons avec les pays d’extrême-orient. La position de conduite, vous devez l’apprécier pas trop sur les poignets sinon vous n’auriez pas acheté un roadster, ou un cruiser. Ou, au contraire, le basculement vers l’avant, le corps en plongée vers le guidon ne vous dérange guère, et c’est comme cela que vous concevez le vrai pilotage. Pour autant les longues escapades ou même les trajets "tape-cul" quotidiens peuvent se révéler vite fatigants. C’est personnellement ce que j’aime (quand même). Eh bien voici plus cool et insouciant que le caisseux qui roule avec son bras à la portière. Et je ne vous parle même pas du trafic ambiant, qui voit des voitures se faire des queues de poisson à l’envi, et changer de file sans se soucier de le signaler aux autres conducteurs. Re-la-x, on vous dit.

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    Ce low rider tokyoïte n’est pas mal non plus, mais lui met les mains sur le guidon. Photographié par le membre Tokyo Scooter Stuff chez Flickr.

  • Les Vietnamiens et le casque moto

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    Photos Nha Trang

    Depuis plus de six mois maintenant, le Vietnam est une nation qui porte le casque.

    Avec le développement de son économie, le Vietnam a vu des générations de cyclistes devenir des motards. En 1990, le pays comptait environ un demi-million de 2 roues, mais maintenant, ils sont plus de 22 millions à engorger les artères des grandes villes et à sillonner les petits chemins de campagne.
    Avec un taux de croissance de 22% par an, les images où l’on voit une famille complète sur la même machine deviendront-elles aussi du folklore, chacune et chacun ayant le sien.

    Mais avant le 15 décembre dernier, le port du casque n’était pas obligatoire, et le prix à payer était élevé en vie humaine. Dans les principales grandes villes du pays, c’était parfois jusqu’à 30 morts par jour des suites d’un accident de motos.
    Les campagnes de sensibilisations et les incitatifs n’ayant rien donné, une loi musclée s’imposait. Avant la mise en application de la loi, les observateurs estimaient que seulement le quart des motocyclistes portaient le casque, mais dès l’entrée en vigueur de la loi, les rares qui s’aventuraient sur les routes sans casques, risquaient de se faire intercepter, avec à la clé, une amende d’environ 6 euros, ce qui est le prix moyen d’un casque.

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    Le principal obstacle au port du casque était la peur du ridicule. Il était mal vu de le porter, et c’était surtout catastrophique pour la chevelure. Compte tenu des périls de leur circulation, on peut parler de «Fashion Victim» dans tous les sens du terme. Mais ce que la mode interdisait, la mode révèle. Devenu un accessoire obligatoire, il se pare maintenant de tous les attributs possibles. L’imagination débordante des revendeurs, qui écoulaient jusqu’à 2000 casques par jour en décembre dernier, semble sans limites.
    Toutes les couleurs du spectre sont bienvenues, et les ajouts presque une nécessitées. Frange en dentelle pour les coquettes, style Shelock Holmes pour les ténébreux ou polo pour les sportifs, tous les goûts sont dans la nature, et sur la tête des Vietnamiens.

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    Maintenant que les autorités ont vaincu la peur du ridicule, une autre s’est installée. La loi n’obligeant pas les enfants de moins de 14 ans à porter le casque, plusieurs parents qui n’en ont pas les moyens, laissent leur petit sans casque, coincé entre le père et la mère casqués. De plus, la croyance populaire, relayée par certains médias, voulant que le port du casque soit dommageable pour les enfants, a fait naître des doutes chez plusieurs, enlevant le casque sur la tête de ceux qui en l’avait déjà.

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    Et pourtant, les casques sur le marché ont été créés pour tenir compte des conditions climatiques parfois extrêmes. Léger et très aéré, il tient plus du casque de vélo occidental que du casque de motos satisfaisant à nos normes.

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    Ne reste plus maintenant qu’à mettre un peu d’ordre dans l’apparent chaos qu’est le spectacle de ces milliers de motocyclistes dans les rues des d’Hanoï et Hô-Chi-Minh-Ville. Il faudra peut-être plus qu’une loi pour venir à bout de cette autre couleur locale.

  • Libération brosse un portrait de James Toseland en mélomane averti.

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    Loin des attentes du public anglais pour son nouvel (et seul réel) espoir dans la catégorie reine depuis Barry Sheene, c’est un double champion de Superbike féru de musique sous différentes formes que dépeint Dino Dimeo pour le quotidien Libération. Que ce soit au clavier de son Steinway (photo) comme dans son groupe de rock maladroitement – ou malicieusement, c’est selon – rebaptisé Crash. Ironique pour un champion dont le dernier grand prix à domicile, couru à Donington pour nos frenchies de Tech 3, ne s’est pas déroulé sans fausse note (vidéo). Oui elle était facile à faire celle-là, mais c’était irrésistible.

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    Pour celles et ceux, les anglophiles de préférence, qui veulent aller plus loin que cet article "Le piano mécanique", bien documenté et écrit mais parfois un peu convenu, voici un sujet encore plus copieux du Telegraph sur deux pages, d’où est d’ailleurs tiré cette photo: "James Toseland from grand prix to grand piano", mais ce papier est un peu moins récent lui (daté du mois de mars).

  • Le record de saut de Jason Bird, motard bien-nommé.

    See <a href="http://www.shredordie.com/videos/0c7883577c">Bird Flies: New Distance Jumping World Record </a> and more <a href="http://www.shredordie.com">skate, snow, surf, and moto videos</a> on <a href="http://www.shredordie.com">ShredOrDie.com</a>

    See <a href="http://www.shredordie.com/videos/a6a33d14b7">306ft. Jump</a> and more <a href="http://www.shredordie.com">skate, snow, surf, and moto videos</a> on <a href="http://www.shredordie.com">ShredOrDie.com</a>

    Repéré sur le site de Reuters en allant pêcher des infos sur la photo des Segway des paramilitaires chinois, voici le saut de l’américain Bird qui effectue sous nos yeux ébaubis le plus long saut en moto, à Taft en Californie, avec 394 pieds et 7 pouces. Soit près de 120 mètres, le 21 juin, pour l’entrée de l’hémisphère nord dans l’été. Il bat ainsi le précédent record de Robbie Maddison avec 378 pieds* établi dans l’hémisphère sud, en Australie, au mois de mars, toujours selon cette dépêche. Le saut de Jason Bird attend homologation tout de même. Mais selon Expn** qui montre quelques photos du (futur ?) recordman, l’Américain est habitué aux sauts non officiels, comme ce fut déjà le cas il y a plus d’un mois, sur une 250cc 2 temps (seconde vidéo).

    Pas mal pour un motard de 34 balais. Mais y a t’il un âge limite pour ces choses-là ? A noter que le site Shred or Die, qui est normalement le seul actuellement à pouvoir héberger ces vidéos appartient en partie à Tony Hawk, le célèbre skater. Histoire d’immortaliser ses prises de risques chez un spécialiste de la chose…

    *bien 378 ft, et non (beaucoup) moins comme je l’ai vu depuis tout à l’heure, ici ou là (je n’ai fait que reprendre les faits d’une dépêche d’une agence très sérieuse).

    **le pendant pour les sports extrêmes de la célèbre chaîne sportive Espn.



  • Une BMW du Kentucky se fait un tour d’Europe

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    On peut se demander parfois ce qui nous pousse à nous dépasser. De l’insouciance, une douce folie, le dérèglement temporaire de la chimie de notre cerveau, toutes ces réponses sont bonnes.

    J’ignore celle qui a poussé Jacqui Van Ham à entreprendre son périple européen au guidon de sa BMW R75/5 de 1972, mais un surplus de ténacité ne sera très certainement pas de trop. Cette fille de 32 ans du Kentucky qui s’est embarqué avec sa moto pour l’Allemagne il y a quelques semaines, a bien l’intention de sillonner le vieux continent de long en large, et en fan de Moto GP en général et du bon Doctor en particulier, non ce n’est pas elle sur les photos du Yatch, assister à quelques Grand Prix.

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    Un mot sur sa BMW, qui lors de sa présentation au début des années 70, marquait l’entrée du constructeur allemand dans la modernité. La série /5 introduite à ce moment-là comptait 3 modèles, un 500cm3 (R50/5), un 600cm3 (R60/5) et le roi de la famille, son 750cm3 (R75/5). Après les forts vents de 1968 et les bourrasques du mois de mai de la même année, les habitudes et les goûts changèrent, la vitesse redevenant à la mode, se démocratisant par l’arrivée sur le marché de nouvelles motos sport. BMW y alla donc d’une moto plus légère avec l’utilisation du plastique, d’une meilleure tenue de route avec un développement sans arrière pensée de side-car et d’une vélocité remarquable, faisant de la R75/5 l’une des plus rapides de son époque, pouvant atteindre les 175km/h. Et ce sont aussi des dévoreuses de kilomètres, étant d’une fiabilité exemplaire, ce qui devrait ravir et rassurer notre amie américaine.

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    On peut suivre ses aventures sur son blog, «The Vintage Advantage».

    Et par ici, des fonds d’écran BMW.

  • A un mois des J.O, les forces chinoises s’affichent sur des Segway.

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    Le Segway qui vous avait déjà été présenté dans une version forces de l’ordre, en des temps immémoriaux par nos prédécesseurs (ainsi que ses improbables successeurs et dérivés) semble pleinement satisfaire ces groupes paramilitaires* chinois qui s’entraînent de façon assez complaisante devant les media occidentaux, ici un photographe de l’agence Reuters. M’est avis que l’on a affaire au modèle i2 Police qui affiche 20 km/h de vitesse de pointe, pour une autonomie – revendiquée – de 25 à 38 kilomètres. Chers lecteurs, serez vous assez cyniques (ou observateurs) pour vous demander si ces specs suffisent pour courser le Tibétain autonomiste ou séparatiste, ainsi que l’étudiant place Tien An men ?

    *Reuters indique "groupe paramilitaire", et l’agence officielle chinoise parle de "police". D’où le titre un peu bateau.

    Via Liberation.fr

  • Le « voyage » du Figaro au cœur de la France des radars.

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    Voici une photographie qui, soyez en sûrs, ne figurera jamais dans les pages de cet honorable et conservateur journal. Après que l’évanescent groupe Fnar, dont le postier reconverti en artificier (très) maladroit, fut définitivement mis hors combat, voici ce que certains ont trouvé pour mettre temporairement hors service les radars. La poubelle. Subtilement technico-tactique et surtout réversible. Mais revenons à cette gazette, émule de Beaumarchais: Le Figaro a parfois de ces images qui surprennent le lecteur occasionnel que je suis, c’est donc à un voyage, oui, oui, que nous convie ce quotidien presque deux fois centenaire. Un voyage ? Mais pour certains motards et quelques lecteurs du Figaro amateurs de berlines allemandes, c’est un relevé tachymétrique sur circuit !

    Plus sérieusement: Du préfet à la Dipica et à la CNT, en passant par la résistance de certains présidents de Conseils Généraux, la rédactrice de l’article nous accompagne dans ces acronymes qui fleurent bon les bureaux administratifs.

    Le journal nous explique sans l’ombre d’une ironie, comment se décide l’installation de ces tristounettes boîtes de métal, en prenant l’exemple qui marque: le carrefour accidentogène. On objectera que ce n’est vraiment pas les seuls endroits où ils sont placés, qu’importe, l’expression frappe la ménagère qui laisse ses marmots rentrer de boîte le week-end.

    Bien que le placement de tels radars est, selon moi, incontestable à de tels endroits, on aurait aimé plus de nuance* dans le traitement de l’information.

    Et le quotidien de nous annoncer des nouveautés: "le radar qui pourra « prendre» quatre voies d’autoroute d’un coup, ou encore le radar «intelligent», qui reconnaîtra les formes pour flasher les poids lourds, lesquels échappent aujourd’hui à ce genre de sanctions. Est aussi à l’étude, le radar réagissant à la pluie : il pourrait changer automatiquement ses réglages de vitesse, pour passer de 130 à 110 km/heure. Fait certain, en 2009, une dizaine de tunnels seront équipés de radars qui sanctionneront le non-respect des distances de sécurité. Les premiers radars aux feux rouges seront installés au cours de cette même année."

    Vous voilà avertis. C’est à lire ici.

    *le fameux "carrefour mortel", dans ce texte: c’est l’intersection qui tuerait, pas ses usagers, ni la vitesse, les conditions météo, la signalisation foireuse, le marquage au sol ennemi du deux-roues, ou le conducteur de PL qui accumule les heures au volant de son 15 tonnes.

  • Règle n°1, ne jamais confier sa moto à un ami débutant.

    Tout est pourtant réuni pour que ce premier contact avec une bécane se déroule bien: un n00b ni trop fanfaron, ni trop discret, visiblement prudent avec ses manches longues (très important) comme il le fait remarquer au cameraman. Peut-être se révèle t’il déjà malhabile une fois posé sur la selle. Sa monture, parlons-en, est une bonne vieille sportive Honda de service qui cache bien son jeu. Mais ça, le "bleu" ne le sait pas encore. Le couvre chef est un chouette HJC, pas un de ces casques de "Carouf" en carton qui coiffe le livreur de pizza qui vient sonner à votre porte. Mais dès l’ouverture des gaz… Pour le reste de ses aventures, ne vous inquiétez pas, je dois avoir une règle-numéro-deux qui traîne par là.