Dans le billet de ce matin qui traitait de la Journée des Chemins organisée par le CODEVER le 1er avril 2007, je citais en exemple les chemins communaux de la petite vallée où je demeure.
Sur et autour de ces chemins, volontairement fermés à la circulation motorisée de loisirs pour des raisons » écologiques », de « responsabilité » communale et/ou simplement d’appropriation illégale par des riverains, j’ai recensé 3 décharges sauvages récentes.
Il est triste de constater que des « écologistes » provoquent indirectement l’inverse de ce qu’ils ont cherché. Pire, l’une des 3 décharges est « institutionnelle » puisqu’il s’agit de bornes France Télécom jetées en pleine nature ! Cela dépasse les bornes…si l’on peut dire…ce n’est pas du biodégradable, c’est du biodégueulasse !
Autre exemple, ce chemin communal entravé par un câble et un panneau « défense d’entrer ». Le riverain l’aurait placé pour empêcher les ramasseurs de champignons de rafler les cèpes de son bois. Sauf que les victimes de cette interdiction parfaitement illégale sont TOUS les randonneurs motorisés, équestres, voire pédestres puisque le « défense d’entrer » fait croire que l’on a à faire à une propriété privée. Privée de quoi ? de liberté surtout !
Troisième exemple les panneaux de la mairie qui jalonnent les chemins de la vallée. Leur conformité avec la législation est plus que douteuse.
Ce ne sont que 3 exemples qui se trouvent à un jet de pierre de mon habitation, et je suis loin d’être le seul dans ce cas.
En attendant des centaines de kilomètres de chemins ruraux disparaissent chaque année à tout jamais.
Est-ce cela que recherchent les «défenseurs de la nature ? ».
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